C’est écrit sur la page Facebook du cyberharceleur depuis ce matin :
Bizarrement, le journaliste n’a pas contacté celle de ses victimes qui est visée dans ces propos calomnieux, c’est-à-dire moi-même.
Mais est-ce tellement bizarre ?
Plusieurs journalistes, tous complices de mes harceleurs et pour la plupart sollicités par eux, ont déjà fait preuve de malhonnêteté dans cette affaire, et pas un seul ne s’est encore intéressé à ce qui se passe vraiment.
Espérant qu’il daigne au moins me lire au lieu de n’écouter que des menteurs et affabulateurs, je lui suggère d’interroger Jean-Marc Donnadieu sur ses piratages à mon encontre, objectivés par ces échanges de courriels dans lesquels sont évoqués par un de ses complices leurs vols de tous mes courriers électroniques (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :
Il pourra également se reporter à cet article récent pour savoir dans quelles conditions Jean-Marc Donnadieu a commencé à me harceler au mois d’avril 2010 :
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/02/27/pascal-edouard-cyprien-luraghi-de-puy-leveque-et-jean-marc-donnadieu-de-beziers-deux-predateurs/
Et encore à tous les autres articles dans lesquels j’ai déjà décrit par le menu, éléments de preuves à l’appui, les escroqueries au jugement qu’il a réalisées à l’encontre de mon ancien hébergeur de blog OverBlog.
Qu’il sache enfin que je tiens à sa disposition des copies des plus de 2000 (bien deux mille) commentaires d’injures et de menaces en tous genres que j’ai reçus de Jean-Marc Donnadieu sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog entre 2010 et 2013, ceux-là même où il venait aussi me parler de son divorce et de la garde de son fils – vous savez, les prétendues « atteintes » à l’intimité de sa vie privée à raison desquelles il a ensuite fait condamner OverBlog… – et plusieurs des textes que ce M. Donnadieu a aussi publiés ailleurs pour me calomnier… et révéler au public mon identité dès le mois de juin 2010….
Je rappelle à cet égard qu’il prétendra mensongèrement l’année suivante n’avoir assigné au Tribunal de Grande Instance de Béziers en mars 2011 que mon hébergeur de blog OverBlog, et non moi-même, auteur du blog dont il demandait la suppression, car il ne connaissait pas mon identité… ce qui était évidemment totalement faux, comme indiqué précédemment, et il sait pertinemment que j’en ai bien des preuves puisqu’au mois de juillet 2011, interrogé à la suite d’une plainte que j’avais déposée contre lui au mois de janvier 2011, il a reconnu être l’auteur des textes publics que lui avais alors reprochés, et à travers lesquels, notamment, il révélait au public mon identité et toutes mes coordonnées…
La vérité, c’est qu’il ne voulait absolument pas que je puisse le contredire dans le cadre de ses procédures, car toutes ses demandes contre mon hébergeur de blog OverBlog n’étaient fondées que sur des mensonges éhontés. C’est l’unique raison pour laquelle il m’en a toujours écartée.
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Ce matin un mail (et qui ne vient pas de n’importe où) me demandait si le cas échéant je veux répondre à un journaliste qui veut faire un papier sur le cyber harcèlement.
Cool, ce sera avec plaisir…
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Jean-marc Donnadieu Deux appels, deux fois je gagne la dernière a été la bonne, 7 ans ça a duré …
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Jean-marc Donnadieu Deux plaintes sont déposées j’attend des nouvelles.
Bizarrement, le journaliste n’a pas contacté celle de ses victimes qui est visée dans ces propos calomnieux, c’est-à-dire moi-même.
Mais est-ce tellement bizarre ?
Plusieurs journalistes, tous complices de mes harceleurs et pour la plupart sollicités par eux, ont déjà fait preuve de malhonnêteté dans cette affaire, et pas un seul ne s’est encore intéressé à ce qui se passe vraiment.
Espérant qu’il daigne au moins me lire au lieu de n’écouter que des menteurs et affabulateurs, je lui suggère d’interroger Jean-Marc Donnadieu sur ses piratages à mon encontre, objectivés par ces échanges de courriels dans lesquels sont évoqués par un de ses complices leurs vols de tous mes courriers électroniques (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :
Il pourra également se reporter à cet article récent pour savoir dans quelles conditions Jean-Marc Donnadieu a commencé à me harceler au mois d’avril 2010 :
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/02/27/pascal-edouard-cyprien-luraghi-de-puy-leveque-et-jean-marc-donnadieu-de-beziers-deux-predateurs/
Et encore à tous les autres articles dans lesquels j’ai déjà décrit par le menu, éléments de preuves à l’appui, les escroqueries au jugement qu’il a réalisées à l’encontre de mon ancien hébergeur de blog OverBlog.
Qu’il sache enfin que je tiens à sa disposition des copies des plus de 2000 (bien deux mille) commentaires d’injures et de menaces en tous genres que j’ai reçus de Jean-Marc Donnadieu sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog entre 2010 et 2013, ceux-là même où il venait aussi me parler de son divorce et de la garde de son fils – vous savez, les prétendues « atteintes » à l’intimité de sa vie privée à raison desquelles il a ensuite fait condamner OverBlog… – et plusieurs des textes que ce M. Donnadieu a aussi publiés ailleurs pour me calomnier… et révéler au public mon identité dès le mois de juin 2010….
Je rappelle à cet égard qu’il prétendra mensongèrement l’année suivante n’avoir assigné au Tribunal de Grande Instance de Béziers en mars 2011 que mon hébergeur de blog OverBlog, et non moi-même, auteur du blog dont il demandait la suppression, car il ne connaissait pas mon identité… ce qui était évidemment totalement faux, comme indiqué précédemment, et il sait pertinemment que j’en ai bien des preuves puisqu’au mois de juillet 2011, interrogé à la suite d’une plainte que j’avais déposée contre lui au mois de janvier 2011, il a reconnu être l’auteur des textes publics que lui avais alors reprochés, et à travers lesquels, notamment, il révélait au public mon identité et toutes mes coordonnées…
La vérité, c’est qu’il ne voulait absolument pas que je puisse le contredire dans le cadre de ses procédures, car toutes ses demandes contre mon hébergeur de blog OverBlog n’étaient fondées que sur des mensonges éhontés. C’est l’unique raison pour laquelle il m’en a toujours écartée.
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