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dimanche 24 mars 2019

Où en suis-je avec la justice ?


Je ne cesse de me plaindre depuis maintenant plusieurs décennies d’écoutes illégales dont mes proches et moi-même avons tous constamment été victimes depuis le mois de janvier 1993.

En fait, pour moi, cela avait commencé encore plus tôt. Les premières écoutes illégales dont j’ai été victime avaient servi aux proxénètes et trafiquants d’armes et en tous genres qui alors me harcelaient à identifier tous mes proches, lesquels se retrouveront eux-mêmes tous sur écoute à compter du mois de janvier 1993, car mes harceleurs s’étaient rendu compte que je ne parlais plus vraiment par téléphone lorsque que je recevais des appels téléphoniques ou en donnais à partir de mon domicile.

En effet, je préférais sortir et appeler d’une cabine publique pour éviter d’être enregistrée et harcelée dès le lendemain sur mon lieu de travail avec les contenus de mes conversations téléphoniques de la veille au soir – parce que cela se passait comme ça au quotidien… c’est une méthode de harcèlement dont le but est de conduire la victime à se jeter par la fenêtre assez rapidement, tant le viol est profond, d’une brutalité, d’une violence inouïes, et totalement insupportable lorsqu’il se répète tous les jours, et d’ailleurs, à chaque défenestration d’un salarié sur son lieu de travail, je soupçonne immédiatement ce type de harcèlement, sachant très bien ce qu’il peut produire, et aussi qu’il est bien pratiqué pour obtenir des effets aussi radicaux.

Donc, au mois de janvier 1993, pour ne plus perdre aucune de nos conversations téléphoniques, mes harceleurs avaient décidé de mettre aussi l’intégralité de mes proches sur écoute, ainsi que toutes les cabines téléphoniques de mon quartier, dans un certain rayon autour de mon domicile, ce qui donnera lieu à partir d’un peu plus tard à des agressions physiques systématiques à mon encontre par les hommes de la milice qui désormais ne me quittaient plus d’une semelle à chacune de mes sorties de mon domicile, lorsque j’essayais de téléphoner à partir de cabines publiques qui ne se trouvaient pas dans le périmètre de celles qui étaient toutes sur écoute, ceci afin de m’empêcher de donner des appels qui échappent à ces écoutes…

Certains de mes lecteurs pourraient s’imaginer que contrairement à ce que je soutiens, toutes ces écoutes auraient toujours été légales, et que mes harceleurs de la bande du cybercriminel et mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi ne seraient pas alimentés en informations sur l’intimité de ma vie privée par le biais d’écoutes illégales, mais toujours à l’aide d’écoutes parfaitement légales et justifiées je ne sais comment. Je sais bien que les auteurs de ces écoutes toutes illégales ont effectivement toujours inventé n’importe quoi pour les justifier auprès de tiers qui pouvaient leur poser des questions. Ainsi, par exemple, dans les années 1990, disaient-ils à mes collègues de travail qu’il s’agissait de prouver que j’étais bien une prostituée comme ils le leur affirmaient, bien sûr mensongèrement. Sauf que dans ce cadre-là, des écoutes téléphoniques ne peuvent se justifier au-delà de six mois, et que dans mon cas et celui de mes proches, elles perdurent maintenant, sans discontinuer, depuis plusieurs décennies…

Je tenais donc à bien mettre les choses au point à l’attention de tous mes lecteurs.

Non, je ne me trouve sous le coup d’aucune accusation régulière, ne fais l’objet d’aucune poursuite judiciaire, et ne me trouve mise en examen strictement dans aucun dossier.

Les seules poursuites judiciaires dont j’aie jamais fait l’objet restent à ce jour celles que la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest avait engagées contre mon ancien hébergeur de blog OverBlog et moi-même avec ses plaintes avec constitution de partie civile d’août et décembre 2011, qui n’étaient en fait rien d’autre que des dénonciations calomnieuses caractérisant des tentatives d’escroquerie au jugement, comme celles de ses complices Jean-Marc Donnadieu de Béziers dans l’Hérault, également contre mon ancien hébergeur de blog OverBlog, de 2011 à 2017, et Pascal Edouard Cyprien Luraghi contre moi-même à Paris à compter du printemps 2016 et jusqu’au 11 avril 2018 (cf. les six pages de ce blog consacrées à ces affaires).

Je rappelle que ces poursuites se sont conclues par ma relaxe totale et définitive en appel à Rennes le 2 décembre 2015 et que les procédures parisiennes de Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre se sont également toutes les deux soldées par des échecs, et il n’y a bien évidemment jamais eu aucune écoute judiciaire dans le cadre d’aucune de ces procédures.

Officiellement, je n’ai jamais été mise sur écoute de ma vie, nulle part, par aucune autorité.

Je suis pourtant effectivement sur écoute de manière continue depuis de très nombreuses années, et tous mes proches également.

Ces écoutes ont toujours été, toutes, totalement illégales.

Depuis le début, elles sont le fait de criminels agissant hors tout cadre légal, elles le sont toujours.

Et il en va de même pour tous les piratages informatiques dont je suis aussi victime.

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