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samedi 2 mars 2019

Ligue du LOL : les "cool kids" ont pour mère une prostituée nommée... Jean-Marc Manach !


Ouah… quelle formation il a celui-là… six mois et demi comme « animatrice de Minitel rose »… et c’est leur référence à tous…

Et l’on s’étonne du résultat… et de le voir monter au créneau pour défendre ses petits… et comment…

On le qualifie désormais sans hésiter de « misogyne » dans les commentaires sur sa dernière émission TV pour ASI, comme par exemple dans celui-ci qui est un des plus récents :


https://www.arretsurimages.net/discussions/on-ne-peut-pas-reduire-la-ligue-du-lol-a-du-harcelement

Drôle d’émission, drôle de titre. C’est la première fois que je suis autant outrée et choquée par les propos tenus dans une émission d’ASI et la première fois aussi que j’éprouve le besoin de laisser un commentaire. DS, malgré plusieurs réactions justes, étonne par moment par la complicité qu’il semble avoir avec les invités. Je pense notamment à ce moment hyper gênant où il est question des jeunes filles préados qui se lacèrent les bras. Les sourires des invités, leur amusement à ce sujet m’a laissée et continue à me laisser sans voix.
Les rires, les rires de complicité sont de la violence. La bande du lol, une bande de petits cons arrogants et manipulateurs. Les invités de l’émission, deux misogynes.Daniel S trop complaisant et donc complice. Alerte alerte !!!!!
Merci de vous réveiller un peu et de mieux choisir vos invités à l’avenir. Ce n’est pas normal d’avoir une telle émission sexiste de la part d’un média alternatif. Et puis aussi, puisque j’y suis, il me semblerait pertinent d’être plus sur un mode de coanimation. Les assistantes de DS que l’on voie sur le plateau sont toujours des femmes, jeunes et la plupart du temps très effacées. Merci de permettre à ces journalistes d’avoir plus de place dans le débat en apportant elles aussi la contradiction aux invités. On sent bien qu’elles n’y sont pas autorisées.


Je ne connaissais pas ses début de « webjournaliste » jusqu’à ce jour et viens tout juste de les découvrir, d’abord ici :

https://www.streetpress.com/sujet/134228-la-lecon-de-journalisme-d-investigation-2-0-de-jean-marc-manach

Puis là :

http://owni.fr/2012/06/28/jai-ete-animatrice-de-minitel-rose/index.html


Etant toujours très occupée à me défendre contre ses protégés Pascal Edouard Cyprien Luraghi (dont la tata Rollande, prostituée à Strasbourg, s’est installée en Tunisie avec son dernier souteneur quand elle a pris sa retraite, lui-même s’étant fait connaître sur le net avec de nombreux écrits pornographiques et sado-masochistes dont un traduit de l’anglais sur des pratiques BDSM), et Jean-Marc Donnadieu (orphelin de père élevé aux films pornographiques qu’il regardait avec sa tata quand il était petit, puis devenu échangiste adepte de BDSM, ayant eu pour beau-frère le patron de l’unique boîte gay de Béziers, etc, etc…), je n’avais jamais pensé à fouiller le net à la recherche de renseignements sur le soi-disant « journaliste » qui le 10 septembre 2013 s’était permis de faire une émission à mon sujet sans avoir jamais cherché à me contacter au préalable, émission au cours de laquelle il n’avait bien évidemment exposé à son public que la version entièrement fausse, mensongère, du cybercriminel, harceleur et mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi concernant nos différends.

Pour le coup, je commence à comprendre qu’avec ma formation d’ingénieur informaticien ayant débuté par les classes préparatoires aux grandes écoles d’ingénieurs (maths sup et maths spé), je suis complétement has been, juste bonne à jeter chez les fous… Ce n’est pas du tout ce qu’il faut pour être crédible chez les journaleux dans le vent, mieux vaut avoir bouffé de la pornographie à toutes les sauces dès le plus jeune âge et terminé par un CAP de coiffure décroché assez péniblement à l’âge de 19 ans (cas de Jean-Marc Donnadieu de Béziers) ou quitté l’école à 14 ans en situation d’échec et sans aucun diplôme (cas du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi).


C’est donc ici que Jean-Marc Manach raconte son expérience selon lui très formatrice d’ »animatrice de Minitel rose » :


http://owni.fr/2012/06/28/jai-ete-animatrice-de-minitel-rose/index.html

“J’ai été animatrice de Minitel rose”


Le 28 juin 2012


J’ai bien connu, et pratiqué, le Minitel, qui sera définitivement débranché ce 30 juin 2012. J’ai même été payé pour ça. Etudiant, au mitan des 90′s, j’avais besoin de gagner de l’argent : le mercredi, j’étais animateur dans des centres de loisirs pour enfants, la nuit, j’étais « animatrice » minitel rose.


Ligue du LOL : les


France Telecom a décidé de débrancher le minitel ce 30 juin 2012. En 2011, 420 000 personnes “seulement” se sont connectées, contre 25 millions à son apogée. 3615 Ulla, la plus connue des messageries roses, totalise encore 21 000 connexions par mois, contre 2 millions il y a 10 ans.

Je n’ai pas travaillé pour Ulla, mais pour un de ses concurrents. J’ai plusieurs fois eu l’occasion d’en parler autour de moi, et les réactions amusées de ceux à qui j’expliquais comment je me faisais passer pour JFbi21ans, et/ou Jacqueline69 me poussent à faire ce “coming out” télématique. C’était il y a près de 20 ans, j’avais besoin d’argent, c’était un petit job pour étudiant, ça m’a permis de faire mes premiers pas sur les réseaux (en étant payé pour communiquer), et même si ce n’était pas très bien payé, j’ai vraiment beaucoup appris.

J’avais quatre ou cinq minitel devant moi afin de pouvoir mener autant de “chats” en simultané. J’avais un minitel dédié aux scénarios coquins -ou messages généraux- que j’envoyais à l’ensemble des connectés (qui pensaient, pour la plupart, que je ne discutais qu’avec eux, en privé), et je me servais des quatre autres minitel pour avoir des conversations individualisées, notamment pour ceux qui avaient l’impression de ne discuter qu’avec des “animatrices” ou des robots. J’ai fait ça pendant un peu plus de 6 mois, et ce fut… passionnant, vraiment.

Je ne vendais pas mon corps, mais mes mots


J’y ai d’abord appris à taper sur un clavier (discuter en temps réel avec des dizaines de gens sur cinq minitel en même temps, ça vaut tous les cours de secrétaire), mais aussi et surtout que la “télématique“, les réseaux, le “virtuel“, c’est pas une question de tuyaux ni de technologie : ça sert aussi, d’abord et avant tout à connecter des êtres humains entre eux (même s’ils avaient l’impression de causer avec JFbi21ans ou Jacqueline69 :~). D’aucuns l’ont découvert avec le web2.0, moi, ce fut avec le minitel rose, au milieu des années 90.

Lire la suite ICI.



Ah ben moi, à cette époque, j’avais déjà une expérience conséquente et assez variée d’ingénieur d’études en informatique et discutais avec mes collègues via messageries professionnelles. Personne n’est parfait, hein… J’utilisais aussi le Minitel, mais pas pour discuter… Suis-je nulle, quand même… A propos, savez-vous ce qu’est le Minitel ? C’est une de ces escroqueries faramineuses dont l’administration française a le secret, France Télécom qui disposait alors du monopole d’Etat sur les télécommunications ayant réussi à vendre très cher en l’habillant de son fameux Minitel ce qui n’était en fait que le réseau… Internet… ce qui aura énormément retardé son accès direct pour le public français, et uniquement celui-là… Passons…

Je m’arrête là dans la recopie du texte de M. Manach, dont la suite devient salace, pour faire remarquer qu’à ce stade, outre qu’on est quand même, déjà, assez éberlué de savoir quels sont ses débuts de journaliste web, on a bien du mal à dépasser cette phrase : « discuter en temps réel avec des dizaines de gens sur cinq minitel en même temps, ça vaut tous les cours de secrétaire ». Personnellement, je bute complètement là-dessus, et n’aurais certainement pas poursuivi ma lecture si je n’avais cherché à en savoir un peu plus sur son auteur, et même en étant très motivée, j’ai dû me forcer… C’est dire à quel point ça choque : il est bien profondément misogyne et n’en est même pas conscient !

Voici, pour l’exemple, le programme d’une formation au secrétariat de direction :

https://www.adiscos.com/programme-formation/secretariat-de-direction

Un ou une secrétaire ne doit pas seulement savoir taper sur un clavier, mais comme la plupart du temps, c’est encore une femme, M. Manach méprise son travail et réduit toutes ses compétences à celle-là, faisant notamment l’impasse sur des qualités humaines et relationnelles qui lui font totalement défaut, à lui, prétendument « journaliste d’investigation », qui ne voit même pas l’intérêt de recueillir les versions des différentes parties en cause avant de faire une émission sur un conflit ayant déjà donné lieu à plusieurs procès… mais l’une d’elles n’étant qu’une femme, il peut ou doit la mépriser comme toutes les autres…

La suite du texte est intéressante. On y apprend comment le Minitel rose réunissait en fait beaucoup d’hommes passant leur temps à satisfaire mutuellement leurs fantasmes les plus débridés… M. Manach comme les autres, car il y trouvait bien son compte lui aussi, il le dit assez clairement.

Il s’est donc plu à cette époque à jouer des personnages de femmes parmi les plus méprisées de la gent masculine, à s’imaginer ce qu’elles pouvaient être, penser, ressentir, afin de leur faire tenir des propos qui étaient en fait les siens, ou à leur conférer des personnalités de son point de vue plus évoluées que celles des vraies femmes également animatrices du même service, qui elles n’avaient sans doute pas autant de patience que lui avec les clients, ou ne prenaient avec eux aucun plaisir, n’étant nullement perverses…

Il n’est pas tombé dans cette marmite-là par hasard.

Tous les étudiants ayant besoin de gagner de l’argent pour vivre n’ont pas fait ce job. Le panel des possibles est tel qu’il faut bien des prédispositions ou inclinations particulières pour s’arrêter à celui-là, de nature à faire fuir la plupart des demandeurs d’emploi, hommes et femmes.

J’ose à peine faire remarquer qu’il était aussi, le mercredi, animateur dans des centres de loisirs pour enfants, il va m’accuser de le traiter de pédo, m’enfin, c’est bien lui qui le dit, je n’invente rien.

Sur ce, je termine par le début de cette interview ou conférence de mai 2014 où il rappelle lui-même que le net de la fin des années 1990 était le royaume des pédophiles, des terroristes et des nazis – mais il s’en moquait et surtout, dit-il, se « moquait » de cette prétendue « diabolisation d’Internet », étant déjà dans le déni de ses phénomènes pervers ou de la perversité de ceux qu’il y côtoyait (no comment…) :


https://www.streetpress.com/sujet/134228-la-lecon-de-journalisme-d-investigation-2-0-de-jean-marc-manach

La leçon de journalisme d’investigation 2.0 de Jean-Marc Manach


Le journaliste-hacker donnait une conférence pour la Street School


Street School | Podcasts | par Johan Weisz | 20 Mai 2014

Jean-Marc Manach, pionnier du journalisme d’investigation sur le web, nous parle des hackers des débuts d’Internet, de datajournalisme et nous rélève la liste des centres d’écoute de la DGSE.

Lundi 12 mai au Numa (link is external) – Jean-Marc Manach qui raconte 15 ans de métier dans une conférence, c’est une liste sans fin de « trucs rigolos » – c’est comme ça qu’il qualifie ses scoops, découverts à force de bidouille et de bon sens. « Animatrice de Minitel rose et vidéaste expérimental », Manach est devenu journaliste, « par hasard », à 29 ans. Quelques connaissances en programmation web plus tard, il devient @manhack (link is external), journaliste-hacker que le manuel « de recherche sur Internet » de la NSA (link is external) fait bien rigoler :

« En fait, toutes les techniques présentées par la NSA pour faire de l’open source intelligence, on les connaissait déjà, c’est plutôt rassurant ! »

Mais passer une heure et demie à écouter Manach, c’est aussi refaire une partie de l’histoire du webjournalisme made in France : Transfert.net (link is external), Vendredi (link is external), Owni.fr (link is external), ou encore Lemonde.fr (link is external) où Manach raconte comment il a hacké le CMS pour pouvoir intégrer des vidéos dans ses articles, quand le service informatique ne l’autorisait pas.

1Les extraits de la conférence


Aux débuts d’internet, des « pédo-nazis » et des hackers

« A la fin des années 1990, on parlait d’Internet au 20 heures pour dire que c’était vachement bien, qu’il y avait la bibliothèque du Congrès et les œuvres du Louvre en ligne, mais qu’il y avait des pédophiles, des terroristes et des nazis. C’est à ce moment-là qu’on a inventé cette expression de « pédonazi », pour se moquer de cette diabolisation d’Internet (link is external) et des hackers.

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