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jeudi 22 février 2024

Charles Mouloud sur Twitter de 2009 à 2015 : récap

 Ah ben... j'ai encore pécho Vincent Glad... entre 2010 et 2012...

+ Alexandre Hervaud dès 2009 et David Doucet, ainsi que "Languedeuxpute"...

Il y a aussi Marine Turchi et Fabrice Arfi de Mediapart.

Et même le violeur d'habitude Gérard Miller et sa complice Isabelle Alonso.

Bien évidemment, aussi, Jean-Luc Mélenchon.

Et sans aucune surprise, des journalistes de Rue89 et Fabien Abitbol (Menilmuche).

Et du cul pratiquement tout du long. 

Un obsédé...

 

Quantités :

2009 : 171 tweets du 5 mai au 29 décembre, dont 2 en mai, 11 en juin, 27 en juillet, 19 en août, 43 en septembre, 27 en octobre, 22 en novembre, 20 en décembre (environ 22 par mois);

2010 : 279 tweets du 1er janvier au 7 décembre, dont 51 en janvier, 9 en février, 60 en mars, 28 en avril, 18 en mai, 33 en juin, 18 en juillet, 11 en août, 11 en septembre, 21 en octobre, 13 en novembre, 6 en décembre (environ 25 par mois);

2011 : 268 tweets du 2 mai jusqu'au 31 décembre dont 5 en mai, 7 en juin, 26 en juillet, 3 en août, 4 en septembre, 3 en octobre, 66 en novembre, 154 en décembre (environ 33 par mois);

2012 : 758 tweets du 1er janvier au 31 décembre, dont 264 en janvier, 146 en février, 210 en mars, 137 en avril, 52 en mai, 60 en juin, 31 en juillet, 20 en août, 24 en septembre, 7 en octobre, 1 en novembre, 4 en décembre (environ 63 par mois);

2013 : 58 tweets du 3 janvier au 31 décembre, dont 6 en janvier, 1 en février, 4 en mars, 2 en juillet, 26 en novembre, 19 en décembre (environ 5 par mois);

2014 : 15 tweets du 10 janvier au 23 mai, dont 8 en janvier, 4 en février, 2 en mars, 1 en mai (environ 3 par mois);

2015 : 1 tweet le 23 mars.

Belle explosion de tweets après la condamnation d'OverBlog en appel à Montpellier le 15 décembre 2011, et grosse retombée de l'euphorie à l'automne 2012, parallèlement aux soucis qui amèneront le terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi à fermer son blog à la mi-décembre pour ne le rouvrir que fin avril 2013 avec un système de commentaires désormais privés.

Chez les misogynes voire violeurs de la bande à Charles, la jubilation est à son comble en mars 2012, pour la journée de la femme du 8 mars 2012 et les attentats "halal" de Mohammed Merah. Elle est déjà retombée au mois de mai 2012, à l'occasion des réquisitions du procureur de la République de Brest suite à ma plainte avec constitution de partie civile, déposée en février 2012, contre toute la bande de mes cyberharceleurs, le terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi en tête.

Ma toute première plainte contre eux, du 7 décembre 2010, les précédentes, dont j'avais confié la charge à un avocat à compter de juin 2010, n'ayant jamais été enregistrées, ni peut-être même déposées, avait déjà suffi à rendre Charles Mouloud totalement muet jusqu'au 2 mai 2011, tandis que dans cette période le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, rendu fou furieux par ce dépôt de plainte dont il avait été immédiatement informé de manière illégale, multipliait encore au vu et au su de tous les infractions pénales à mon encontre, provoquant de ma part de nouveaux dépôts de plaintes - il en reste aujourd'hui, dans les archives de son blog, un trou béant pour les mois de janvier et février 2011.

Ce pauvre Mouloud avait aussi perdu chez Rue89 son journaliste préféré, le pervers du genre sadique David Servenay, dont le départ sera publiquement annoncé le 4 janvier 2011.

Bien noter ses derniers tweets de décembre 2010 :

 



 

Et celui-ci, du 13 mars 2013 :

 



 

Qu'attendait-on encore, à cette date ? Les conclusions d'une réunion entre mon avocat et celui de la criminelle Josette Brenterch ou d'autres de mes adversaires, d'où devaient sortir ses conclusions pour ma soi-disant "défense" à l'audience du 9 avril 2013 ? Personnellement, je n'en pouvais plus de les attendre et ne les découvrirai avec horreur (strictement aucune défense au fond...) qu'à l'audience elle-même, alors que le président m'appelait déjà à la barre...

Rappelons donc le calendrier de cette procédure abusive à base de dénonciations calomnieuses : première plainte avec constitution de partie civile le 19 août 2011 (nulle en ce qui concerne les faits d'injures et diffamations publiques allégués pour ceux qui ne seraient pas prescrits, mais ils sont tous prescrits, et irrecevable pour ce qui est des faits d'atteinte à l'intimité de la vie privée allégués, lesquels sont par ailleurs imaginaires), réquisitoire du procureur le 4 octobre 2011, désignation du juge d'instruction le 25 octobre 2011, première audition de la partie civile le 13 décembre 2011, suivie le même jour, l'intégralité des faits d'injures et diffamations allégués par la plaignante étant prescrits, de l'autosaisine illégale de la juge d'instruction de faits éhontément qualifiés d'injures et diffamations publiques, pour des propos qu'elle a elle-même trouvés sur mon blog dans un article du 23 juillet 2011 dont la plaignante ne se plaignait pas, une publication qu'elle a entièrement jointe à la procédure par procès-verbal du même 13 décembre 2011 (oui, c'est écrit dans le PV, ce jour-là la juge Mathilde Boissy s'est bien autosaisie de manière illégale de faits prétendument injurieux ou diffamatoires qui ne dérangeaient personne et surtout pas la plaignante, la prescription de l'action publique étant à cette date de toute façon acquise, comme pour tous les autres faits allégués d'injures et diffamations publiques par la plaignante elle-même dans sa plainte du 19 août 2011 et lors de son audition du 13 décembre 2011 hors tout formalisme : "Joignons au présent dossier l'article intitulé "Année 1994: Josette Brenterch me pourrit déjà la vie", mis en ligne le 23 juillet 2011 sur le blog "Un petit coucou", que nous avons consulté ce jour sur le blog puis imprimé." - en l'absence de toute autre précision, c'est donc la totalité de l'article qui est jugé par la juge injurieux et diffamatoire à l'égard de la criminelle Josette Brenterch), convocation de la mise en cause pour des faits d'injures, diffamations et atteintes à l'intimité de la vie privée non précisés le 3 janvier 2012 pour une audition le 19 janvier 2012, audition et mise en examen le 19 janvier 2012, mon avocat ne m'ayant, à ce stade, informée de rien alors qu'il a accès au dossier (continuant à ne m'informer de rien, il me communiquera une première partie du dossier de l'information judiciaire allant jusqu'au 25 avril 2012 le 31 juillet 2012, l'information étant terminée depuis le 16 juillet 2012, et le reste du dossier une semaine avant l'audience correctionnelle du 9 avril 2013), audition le 30 janvier 2012 comme témoin assisté pour complicité de diffamation pour la même publication du 23 juillet 2011 de mon hébergeur OverBlog convoqué le 12 janvier 2012 pour le 8 février 2012, jonction à la procédure le 5 avril 2012 d'une nouvelle plainte avec constitution de partie civile de Josette Brenterch du 28 décembre 2011 pour de nouveaux faits qualifiés comme les précédents, plainte présentant exactement les mêmes défauts que la précédente (nullité pour les faits allégués d'injures et diffamations publiques, irrecevabilité pour les faits allégués d'atteinte à l'intimité de la vie privée, par ailleurs toujours imaginaires); nouvelle convocation de la mise en cause le 10 avril 2012 pour être de nouveau auditionnée et mise en examen le 25 avril 2012, nouvelle audition et nouvelle mise en examen le 25 avril 2012, nouvelle audition du témoin assisté le 16 mai 2012 après convocation du 24 avril 2012 pour complicité de faits d'injures et diffamations publiques, nouvelle audition de la partie civile le 26 juin 2012, fin de l'information judiciaire le 16 juillet 2012, observations de la mise en examen agrémentées de très nombreuses pièces justificatives sur la partie de dossier de l'information judiciaire dont elle dispose fin août 2012, nouvelles observations et nouvelles pièces justificatives de la mise en examen début octobre 2012, réquisitoire définitif de non-lieu partiel et de renvoi devant le tribunal correctionnel du procureur de la République le 10 octobre 2012 (l'autosaisine de la juge du 13 décembre 2011 est nulle et aucune complicité n'est retenue contre OverBlog), observations de la partie civile le 7 novembre 2012 (pour ma part, je ne suis toujours pas informée par mon avocat), ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel le 30 janvier 2013 (OverBlog est poursuivi pour complicité de l'intégralité des faits de d'injures et de diffamations publiques pour lesquels j'ai été mise en examen deux fois en janvier et avril 2012, tandis que je ne suis plus poursuivie que pour les seconds, ainsi que pour les faits imaginaires d'atteinte à l'intimité de la vie privée), convocation à l'audience du 9 avril 2013 le 21 février 2013, audience en correctionnelle le 9 avril 2013, jugement le 11 juin 2013, puis appel.

En parallèle, l'information judiciaire ouverte sur ma propre plainte avec constitution de partie civile du 10 février 2012 pour des faits bien réels avançait, j'avais été auditionnée le 23 octobre 2012 et avais continué à fournir pièces justificatives et explications à la juge d'instruction, quoiqu'elle fût entièrement acquise à la cause de mes harceleurs, jusqu'à la disparition brutale le 13 décembre 2012 du blog où j'étais toujours quotidiennement injuriée et calomniée (grâce à ses piratages informatiques à mon encontre, son auteur le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi me voyait quasiment en temps réel rédiger toutes mes lettres à la juge d'instruction et y exploiter tous ses textes publics me concernant).

Brest, ses magistrats, ses avocats : tous pourris...

On est obligé de tout faire soi-même pour limiter les dégâts autant que possible - 264 tweets du Mouloud au mois de janvier 2012, c'était vraiment mal bar'... d'où la fête islamiste de mars 2012, en préparation depuis le tout début des campagnes de calomnies publiques nominatives dont j'étais quotidiennement victime depuis le 19 juin 2010, alors que sur OverBlog où je m'étais réfugiée à compter du 26 mars 2010, j'échappais aux bannissements arbitraires que j'avais subis ailleurs (Rue89, Le Post...) depuis le 6 septembre 2008, toujours sur ordre de mes harceleurs réclamant partout mon exclusion, parfois même bien avant mon inscription ou mon tout premier post, comme sur Le Post en 2009, où le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi exigeait de la rédaction mon bannissement dès le mois de mars alors que je n'y serai jamais inscrite avant septembre (je rappelle ici que deux de ses complices dont le petit prof Laurent Morillon de Montluçon m'ont refait le même coup sur Twitter au mois d'octobre 2022 et y ont de ce fait perdu leurs comptes pour cause de signalements abusifs : ils demandaient la suppression de mon tout nouveau compte, dont ils avaient eu connaissance, comme d'habitude, grâce à leurs piratages informatiques à mon encontre, alors que je n'avais pas encore commencé à tweeter).

 

Lire ou relire :

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