Il est arrivé sur la même messagerie que les précédents ce soir, mardi 17 mai 2016, à 20h26.
Le voici :
X-Originating-IP: [14.186.91.32] From: Mrs. Babette Tidwell <ijiiolo@vnpt.vn> Subject: Get your SENSUAL SEDUCTION with Mrs. Babette Tidwell Date: Wed, 18 May 2016 01:26:12 +0700 MIME-Version: 1.0 Content-Type: text/html; charset="iso-8859-2" Content-Transfer-Encoding: quoted-printable
Well well my porn mas͊ter ..
Would y͐ou m֤ind to finding a young and nice girl?
My name is Bٙabette. I am from Uk֒rain̰e
Have you ever heard that the loveliest girls in t̽he world live in my couͭntry? D͈o͉n’t even douͭbt!
The page is -
It’s me
[photo supprimée]
I have much more sexy pics for you, my sweet.. Cͨall me!
IP-Adresse: | 14.186.91.32 | |
Provider: | VDC | |
Region: | Hanoi (VN) |
Il s’agit donc à nouveau d’un envoi en provenance du Vietnam, tandis que le texte du message m’indique que son expéditrice présumée dont j’ai supprimé le portrait présumé (une très jolie jeune femme photographiée dans une pose aguicheuse) serait ukrainienne, première indication d’une nationalité quelconque dans le corps de message de l’un de ces « spams » personnalisés que m’envoie toujours le même malade depuis le 2 novembre 2014.
Coïncidences ou pas, il survient à la suite de ma précédente publication sur le sexisme particulier dont fait preuve Josette Brenterch du NPA de Brest, dont les seules manifestations « féministes » de l’année 2011 avaient été organisées contre Miss France, et après l’annonce suivante :
http://www.rfi.fr/france/20160517-passeurs-convoyaient-voilier-migrants-vers-royaume-uni-arretes
Des Ukrainiens convoyaient en voilier des migrants vers le Royaume-Uni
Par RFI Publié le 17-05-2016 Modifié le 17-05-2016 à 20:01
Des migrants quittent leur camp à Calais où ils étaient installés depuis des semaines dans l’espoir de rejoindre l’Angleterre. REUTERS/Pascal Rossignol
Pour traverser les mers, certains migrants se tassent dans des embarcations de fortune, parfois au péril de leur vie. D’autres voies existent tout aussi illégales. C’est le cas de cette filière de passeurs, au mode opératoire plutôt inattendu, que la police française vient de démanteler. Cela se passe en Bretagne, dans l’ouest de la France. Pendant plusieurs mois, ce réseau d’Ukrainiens convoyait des migrants jusqu’au Royaume-Uni sur des voiliers.
C’est un trafic auquel même les policiers ne semblaient pas
s’attendre. En échange de 6 000 à 7 000 euros, les migrants, des
Ukrainiens, passaient en Angleterre sur des voiliers. Des bateaux de
plaisance loués dans différents ports français avec à leur bord des
passeurs ukrainiens, là encore, qui opéraient en tant que skippers ou
co-skippers.
Un procédé inhabituel, répété au moins une vingtaine de fois sur des navires différents, jusqu’à l’acquisition, il y a quelques mois d’un bateau amarré à Saint-Quay Portrieux, petit port breton de 3 000 habitants.
Le réseau avait été repéré dès 2014 par les douaniers. L’année suivante, le contrôle d’un voilier suivi de l’interpellation des migrants à son bord avait refroidi les passeurs.
Quelques mois de discrétion avant une reprise de l’activité clandestine. Jusqu’à ce vendredi et l’interpellation de cinq hommes : deux skippeurs et trois organisateurs présumés. Tous ont été déférés devant un juge ce mardi. Les sept migrants arrêtés à leurs côtés à bord du bateau ont, eux, été finalement relâchés avec une obligation de quitter le territoire français.
Un procédé inhabituel, répété au moins une vingtaine de fois sur des navires différents, jusqu’à l’acquisition, il y a quelques mois d’un bateau amarré à Saint-Quay Portrieux, petit port breton de 3 000 habitants.
Le réseau avait été repéré dès 2014 par les douaniers. L’année suivante, le contrôle d’un voilier suivi de l’interpellation des migrants à son bord avait refroidi les passeurs.
Quelques mois de discrétion avant une reprise de l’activité clandestine. Jusqu’à ce vendredi et l’interpellation de cinq hommes : deux skippeurs et trois organisateurs présumés. Tous ont été déférés devant un juge ce mardi. Les sept migrants arrêtés à leurs côtés à bord du bateau ont, eux, été finalement relâchés avec une obligation de quitter le territoire français.
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