Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, j’en ai
encore une pour notre « ami » NEMROD34 qui va pouvoir s’en étrangler
tout autant que des précédentes.
Mes lecteurs les plus assidus se rappellent sans aucun doute qu’à compter de l’année 2011 j’ai publié sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog nombre d’éléments de preuve des piratages informatiques dont j’étais victime de la part de cet individu et de ses complices de la bande du cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et ce jusqu’à des pièces prouvant qu’ils étaient bien les auteurs des multiples actes de piratage informatique dont j’étais effectivement victime.
Ainsi ces éléments assortis d’explications toujours d’actualité que j’ai depuis republiés à plusieurs reprises sur ce blog (cliquer sur les images pour les agrandir et lire les textes) :
NEMROD34 avait beau nier et m’accuser mensongèrement d’avoir fait des faux, tout comme son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi, il faisait bien partie des cyberdélinquants désignés comme mes pirates par ces copies de mails tout à fait authentiques dont la réalité avait été confirmée de façon involontaire par ceux d’entre eux qui s’étaient plaints que l’un des leurs avait été piraté par la personne qui m’avait ensuite fourni ces copies de leurs échanges de courriers électroniques relatifs à leurs piratages à mon encontre et en attestant de manière formelle.
Lui-même m’en a fourni sans le vouloir plusieurs preuves incontestables.
En voici une qui le confond indiscutablement.
Après avoir été interrogé le 12 juillet 2011 au commissariat de Béziers à la suite d’une plainte que j’avais déposée contre lui, il avait parlé de cette audition dans plusieurs de ses commentaires publics, comme celui du 6 novembre 2011 qui est rapporté dans cet article du 4 décembre 2011 :
A chaque fois il raillait l’attestation d’une autre de ses victimes qui aurait été jointe à ma plainte et à laquelle, disait-il, le policier n’avait rien compris.
Toutes les personnes concernées s’en souviennent, il était le premier à évoquer publiquement cette attestation qui existe réellement et ne pourra jamais prouver le contraire car ni sa signataire ni moi-même n’en avions jamais fait mention nulle part auparavant.
Cette attestation m’avait été transmise par son auteure par courrier électronique au mois d’avril 2011 alors que je m’apprêtais à déposer une nouvelle plainte contre mes harceleurs, et afin qu’elle l‘accompagnât, la première venant d’être classée sans suite avec des motifs extravagants et totalement incompréhensibles à la suite de l’audition du cyberdélinquant psychopathe et mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi à la gendarmerie de Puy-l’Evêque le 14 mars 2011.
Les deux compères et leurs complices qui lisaient frauduleusement tous nos échanges de courriers électroniques en avaient donc pris connaissance à cette occasion.
Puis NEMROD34 s’était cru autorisé à en parler après son interrogatoire au commissariat de police de Béziers le 12 juillet 2011.
Le problème avec ce malade mental – comme d’ailleurs avec les autres, notamment leur cheftaine Josette Brenterch du NPA de Brest – c’est qu’il a toujours tendance à prendre pour des réalités tous ses désirs.
Or, à cette époque, il avait hâte d’être interrogé sur ma plainte comme sur l’attestation dont il avait déjà connaissance pour pouvoir en retour dénoncer calomnieusement son auteure et moi-même comme prévu de longue date dans ses plans machiavéliques ou ceux de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ce qu’il a bien fait.
Il était tellement persuadé que cette attestation qu’il souhaitait brocarder avec ma plainte y était jointe qu’il n’a jamais cherché à vérifier si elle était effectivement dans le dossier dont disposait le policier qui l’avait interrogé et ne lui en a en fait jamais parlé, puisqu’il ne l’avait pas, ce que pour ma part je sais avec certitude depuis que j’ai enfin récupéré tous les dossiers de ces plaintes fin août 2014.
Comme d’habitude, donc, NEMROD34 affabulait.
Il n’avait en réalité jamais eu connaissance de cette attestation que grâce aux piratages informatiques dont je me plaignais.
C.Q.F.D.
Mes lecteurs les plus assidus se rappellent sans aucun doute qu’à compter de l’année 2011 j’ai publié sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog nombre d’éléments de preuve des piratages informatiques dont j’étais victime de la part de cet individu et de ses complices de la bande du cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et ce jusqu’à des pièces prouvant qu’ils étaient bien les auteurs des multiples actes de piratage informatique dont j’étais effectivement victime.
Ainsi ces éléments assortis d’explications toujours d’actualité que j’ai depuis republiés à plusieurs reprises sur ce blog (cliquer sur les images pour les agrandir et lire les textes) :
NEMROD34 avait beau nier et m’accuser mensongèrement d’avoir fait des faux, tout comme son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi, il faisait bien partie des cyberdélinquants désignés comme mes pirates par ces copies de mails tout à fait authentiques dont la réalité avait été confirmée de façon involontaire par ceux d’entre eux qui s’étaient plaints que l’un des leurs avait été piraté par la personne qui m’avait ensuite fourni ces copies de leurs échanges de courriers électroniques relatifs à leurs piratages à mon encontre et en attestant de manière formelle.
Lui-même m’en a fourni sans le vouloir plusieurs preuves incontestables.
En voici une qui le confond indiscutablement.
Après avoir été interrogé le 12 juillet 2011 au commissariat de Béziers à la suite d’une plainte que j’avais déposée contre lui, il avait parlé de cette audition dans plusieurs de ses commentaires publics, comme celui du 6 novembre 2011 qui est rapporté dans cet article du 4 décembre 2011 :
A chaque fois il raillait l’attestation d’une autre de ses victimes qui aurait été jointe à ma plainte et à laquelle, disait-il, le policier n’avait rien compris.
Toutes les personnes concernées s’en souviennent, il était le premier à évoquer publiquement cette attestation qui existe réellement et ne pourra jamais prouver le contraire car ni sa signataire ni moi-même n’en avions jamais fait mention nulle part auparavant.
Cette attestation m’avait été transmise par son auteure par courrier électronique au mois d’avril 2011 alors que je m’apprêtais à déposer une nouvelle plainte contre mes harceleurs, et afin qu’elle l‘accompagnât, la première venant d’être classée sans suite avec des motifs extravagants et totalement incompréhensibles à la suite de l’audition du cyberdélinquant psychopathe et mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi à la gendarmerie de Puy-l’Evêque le 14 mars 2011.
Les deux compères et leurs complices qui lisaient frauduleusement tous nos échanges de courriers électroniques en avaient donc pris connaissance à cette occasion.
Puis NEMROD34 s’était cru autorisé à en parler après son interrogatoire au commissariat de police de Béziers le 12 juillet 2011.
Le problème avec ce malade mental – comme d’ailleurs avec les autres, notamment leur cheftaine Josette Brenterch du NPA de Brest – c’est qu’il a toujours tendance à prendre pour des réalités tous ses désirs.
Or, à cette époque, il avait hâte d’être interrogé sur ma plainte comme sur l’attestation dont il avait déjà connaissance pour pouvoir en retour dénoncer calomnieusement son auteure et moi-même comme prévu de longue date dans ses plans machiavéliques ou ceux de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ce qu’il a bien fait.
Il était tellement persuadé que cette attestation qu’il souhaitait brocarder avec ma plainte y était jointe qu’il n’a jamais cherché à vérifier si elle était effectivement dans le dossier dont disposait le policier qui l’avait interrogé et ne lui en a en fait jamais parlé, puisqu’il ne l’avait pas, ce que pour ma part je sais avec certitude depuis que j’ai enfin récupéré tous les dossiers de ces plaintes fin août 2014.
Comme d’habitude, donc, NEMROD34 affabulait.
Il n’avait en réalité jamais eu connaissance de cette attestation que grâce aux piratages informatiques dont je me plaignais.
C.Q.F.D.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire