JO 2024 : le chaos derrière les paillettes...

 

 

Récit intéressant.

Quand les organisateurs décident de se moquer devant la terre entière d'ingénieurs qu'ils ont assassinés ou torturés à mort comme s'est plu à le faire publiquement sur Internet la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest dès que j'ai commencé à commenter anonymement des articles du site Rue89, en 2008, on se doute bien qu'il n'y a pas beaucoup de matheux dans leurs rangs : ils les haïssent, les assassinent et ensuite ne cessent de s'en moquer pour les tortures toutes plus immondes les unes que les autres qu'ils leur ont fait subir et continuent à leur infliger quand ils sont toujours en vie.

Résultat au niveau de leur organisation des JO : un bordel monstre, un "sketch" ubuesque qui n'en finit pas... enfin bref, c'est l'administration française et tous ses petits fonctionnaires syndiqués à la CGT...

Puisque l'artiste qui dénonce parle de son entreprise, avec des détenus derrière, de "l'humain", on comprend très bien sur quels critères il a été sélectionné. Je ne doute pas qu'il soit très bien, ce n'est pas la question. Simplement, je me demande s'il aurait eu autant de succès s'il avait fait le choix d'aider à l'insertion ou la réinsertion d'honnêtes gens qui n'ont jamais volé ni violé ni tué, et je pense que non.

En effet, aider ces gens-là, ce n'est pas humain, on le sait depuis longtemps : ils dérangent, qu'ils crèvent et laissent leur place aux violeurs, assassins, etc...

Et pour finir, on comprend pourquoi les attentats islamistes ont épargné les JO malgré une sécurité défaillante : il s'agissait encore d'une grande manifestation extrême-gauchiste, quoique, pour une fois, de manière évidente absolument pas populaire.