Pour la journée d'hier, 8 janvier 2024, le nombre de mes consultations de blog était remonté à 84, mettant de nouveau l'accent sur le chiffre 8, celui des lendemains de fêtes du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi :
A lire ou à relire :
http://satanistique.blogspot.com/2023/12/le-chiffre-7-fetiche-du-terroriste.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/01/pascal-edouard-cyprien-luraghi-hait-les.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/01/menaces-dattentats-pour-le-nouvel-bilan.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/01/satanistique-toujours-des-statistiques.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/01/58-visites-de-satanistique-le-7-janvier.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/01/lendemains-de-fetes-du-terroriste.html
Guerre Israël-Hamas : en réponse aux décès d'un commandant du Hezbollah et du numéro 2 du Hamas, le Liban frappe un centre de commandement militaire israélien
Le Hezbollah libanais a déclaré, ce mardi 9 janvier, avoir lancé une attaque par drone contre un centre de commandement militaire israélien situé dans le nord d'Israël.
Le mouvement chiite libanais a déclaré, ce mardi 9 janvier, avoir lancé "un certain nombre de drones d'attaque explosifs" sur le quartier général militaire de Safed, indique l'agence de presse reuters. C'est la première fois que ce site est pris pour cible par le Hezbollah.
Des tirs qui interviennent en réponse à la mort du commandant Wissam Hassan Tawil, un haut responsable du Hezbollah qui est décédé ce lundi 8 janvier, lors d'une frappe israélienne. Une information qui avait été confirmée par le parti chiite auprès de nos confrères de l'Orient-Le-Jour.
Il s'agit également d'une attaque en lien avec la mort, début janvier, de Saleh el-Arouri, le numéro deux du bureau politique du mouvement islamiste et l’un des commandants de sa branche militaire, les Brigades al-Qassam. Il est également décédé après une frappe israélienne qui a touché un bureau du Hamas, dans le quartier de Moucharrafiyé, dans la banlieue sud du Beyrouth, au Liban.
Plus tôt ce mardi, des sources proches du Hezbollah ont indiqué que trois membres du mouvement avaient été tués dans une frappe ciblée sur leur véhicule à Ghandouriyé, une ville du sud du Liban.
Le commandant des drones du Hezbollah au Liban tué par une frappe israélienne
Un haut commandant du groupe terroriste chiite libanais du Hezbollah responsable de dizaines d’attaques de drones sur le nord d’Israël au cours des derniers mois, dont la frappe d’aujourd’hui sur le Commandement du Nord de Tsahal à Safed, a été tué par une frappe aérienne israélienne dans le sud du Liban, a appris le Times of Israel.
Ali Hussein Barji, le commandant des forces aériennes du Hezbollah dans le sud du Liban, a été touché alors qu’il se trouvait dans une voiture dans la ville de Khirbet Selm, quelques instants avant les funérailles d’un haut commandant du Hezbollah, Wissam al-Tawil, qui a été tué hier.
Tsahal n’a pas fait de déclaration officielle sur cette attaque.
La force Radwan, le très secret corps d’élite du Hezbollah, dans le viseur d’Israël
Un haut commandant de cette unité, déployée à la frontière sud du Liban, a été tué, lundi 8 janvier, dans une frappe de l’armée israélienne, qui poursuit sa campagne d’assassinats ciblés contre les cadres du Hamas et leurs alliés. Décapiter cette force est une priorité ancienne des milieux militaires israéliens.
Article réservé aux abonnés
Israël poursuit sa campagne d’assassinats ciblés contre les cadres du Hamas et leurs alliés au sein de « l’axe de la résistance » emmené par l’Iran. Après l’élimination du général iranien Reza Mousavi, à Damas, le 25 décembre, et du numéro deux du Hamas, Saleh Al-Arouri, à Beyrouth, le 2 janvier, un haut commandant du Hezbollah a été, à son tour, la cible d’une frappe israélienne, lundi 8 janvier, à Khirbet Selm, une localité du Liban sud à 15 kilomètres de la frontière avec Israël. Inconnu du public, Wissam Tawil était l’un des chefs les plus expérimentés de la très secrète force d’élite Radwan.
Sur des photos que le Hezbollah a fait circuler après sa mort, le Libanais de 48 ans affiche un sourire discret aux côtés du chef du mouvement chiite, Hassan Nasrallah. D’autres le montrent sur le terrain avec Imad Moughnieh, le chef militaire du Hezbollah éliminé par Israël en 2008 à Damas, et Moustapha Badreddine, qu’il a assisté sur le théâtre syrien jusqu’à son assassinat à Damas en 2016. Il y a aussi côtoyé Ghassem Soleimani, le général iranien responsable des opérations extérieures des gardiens de la révolution, tué à Bagdad en 2020 dans une frappe américaine.
Wissam Tawil figurait dans le commando qui a infiltré Israël, le 12 juillet 2006, et capturé deux soldats, déclenchant une guerre de trente-quatre jours contre Israël. En mars 2023, il avait dirigé une opération d’infiltration inédite depuis le Liban d’un kamikaze qui avait déclenché sa charge explosive au carrefour de Megiddo, en Galilée, faisant un blessé grave. Depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza, le 7 octobre 2023, il a commandé des « opérations spéciales » contre des postes israéliens le long de la frontière, selon le Hezbollah.
L’arme fétiche de Hassan Nasrallah
Décapiter la force Radwan est une priorité des milieux militaires israéliens. Cette obsession remonte bien avant l’attaque du 7 octobre. Ce jour-là, la force d’élite du Hamas, Al-Nukhba, a appliqué à la lettre le « manuel » de la force Radwan, la stratégie qu’elle a élaborée pour s’infiltrer en Israël et frapper l’Etat hébreu en plein cœur. Depuis deux ans, le Hezbollah menace ouvertement l’Etat hébreu d’une invasion, dans ses clips de propagande et même dans un exercice grandeur nature, mis en scène devant un parterre de journalistes au Liban sud, en mai 2023. Fin 2018 déjà, Israël avait découvert des tunnels creusés à la frontière.
« La conquête de la Galilée » est la raison d’être de cette unité depuis sa création par Imad Moughnieh, après la guerre de 2006. L’unité a pris le surnom du stratège militaire, « Hajj Radwan », après son assassinat dans la capitale syrienne, en février 2008, dans un attentat attribué au Mossad. La force Radwan est devenue l’arme fétiche de Hassan Nasrallah et la clé de voûte de la capacité de dissuasion du Hezbollah face à Israël, avec son arsenal très sophistiqué. Le secret entourant son existence a été levé en 2014, mais ses combattants continuent d’opérer dans la clandestinité, dissimulés sous une cagoule noire. Ils seraient entre 2 500, selon des sources israéliennes, et 10 000, selon les médias du Hezbollah.
Il vous reste 65% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire