compteur

jeudi 5 septembre 2024

Survivantes : la réaction s'organise...

 

 

Je n'ai pas tout écouté, les premières minutes m'ont suffi, c'est mot pour mot le discours de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à mon sujet à compter de la mi-juin 2005.

Elle avait décidé de me faire exclure de l'association AC ! Brest après mon intervention publique au nom de cette association sur la question du harcèlement moral en entreprise lors de débats organisés par la Ville de Brest sur le thème Santé et précarité en octobre 2004.

J'en ai déjà parlé plusieurs fois, par exemple ici :

http://satanistique.blogspot.com/2023/03/decembre-2004-youssouf-fofana-se-met.html

En fait, je n'avais vraiment pas dit grand-chose, j'avais juste interrogé le psychiatre conférencier Yves Hémery, exerçant à l'hôpital psychiatrique de Morlaix, sur la question du harcèlement moral en entreprise, et il avait répondu qu'après avoir "traité" en psychiatrie des victimes de tels faits durant des années, les psychiatres avaient fini par conclure que ces personnes ne souffraient d'aucune maladie mentale particulière - ils avaient bien cherché à mettre en évidence le trouble mental commun qui les poussait toutes à se plaindre de harcèlements dans le travail ou à en accuser leurs employeurs, des patrons toujours au-dessus de tout soupçon, puisque patrons, mais n'avaient rien trouvé, disait-il. Un genre de confession publique, en somme : oui, nous avons bien détruit ou achevé en psychiatrie quantité de victimes de harcèlement moral en entreprise pour venir en aide à leurs bourreaux qui, les pauvres, risquaient d'être poursuivis et condamnés au pénal et au civil pour ce qu'ils leur avaient fait. Aujourd'hui, nous acceptons de le dire : en réalité, ces personnes n'étaient pas folles, et comme elles ne sont plus en vie pour la plupart, parce que, précisément, nous les avons bien achevées, nous ne risquons pas d'être enquiquinés par leurs plaintes. Sauf peut-être dans quelques cas de survivantes, mais là non plus, en vérité, nous ne craignons rien, nous sommes toujours LE moyen pour les faire taire... L'essentiel était de régler définitivement tous les problèmes qu'elles pouvaient poser à tous leurs harceleurs, et ça, nous l'avons bien fait.

Ce psychiatre est depuis décédé, aux alentours du 1er de l'an 2017 (sans doute le vendredi 30 décembre 2016), à l'âge de 64 ans, moins d'un an après avoir pris sa retraite :

https://www.letelegramme.fr/finistere/morlaix-29600/spannecrologiespan-dr-yves-hemery-psychiatre-2897845.php

J'ignore quelles furent les causes exactes de son décès, a priori des suites d'un cancer (voir ci-dessous). Ce dont je suis sûre, par contre, c'est qu'il a été très utile pour quantité de malfrats et criminels de toutes sortes durant toute sa carrière et ne leur servait plus à rien, voire, pouvait être devenu dangereux comme susceptible de parler.

En attendant, cette simple question / réponse d'octobre 2004 avec, pour une fois, absence de déni d'un professionnel sur la réalité du harcèlement moral en entreprise, avait permis de lancer dans la salle un débat sur cette question qui intéressait bien du monde.

De quoi donner des envies de meurtre à la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest qui a toujours usé de harcèlements divers et variés contre toutes ses cibles et soutiendra de ce fait jusqu'à son dernier souffle que le harcèlement moral n'existe pas, n'a jamais existé, et que toutes les personnes qui en parlent, en témoignent ou s'en plaignent sont toutes des folles.

Il faut remettre ce débat dans son contexte : la loi n° 2002-73 du 17 janvier 2002 dite de modernisation sociale ayant pour la première fois défini le délit spécifique de harcèlement moral, qu'elle réprime pénalement, n'a pas encore trois ans. Les toutes premières condamnations pour harcèlement moral commencent à tomber. A Brest, le premier procès pour harcèlement moral en entreprise a été gagné au printemps 2004 par un avocat qui était un ancien syndicaliste de la CFDT, bien évidemment au grand dam de tous ceux qui continuaient à soutenir mordicus que le harcèlement moral en entreprise n'existait pas et n'avait jamais existé. Cet avocat est décédé accidentellement peu de temps plus tard, au printemps 2004 : il élaguait des arbres en hauteur dans sa propriété avec une tronçonneuse, a chuté et s'est tué. On ne sait pas si un projectile quelconque avait pu le déstabiliser et provoquer sa chute, et si sa femme a eu des doutes, elle n'a pas pu les exprimer longtemps, car elle aussi s'est tuée cette année-là, seule au volant de sa voiture, au cours de l'été.

Les tensions sur cette question étaient encore énormes, quoique le législateur eût déjà tout à fait officiellement reconnu et affirmé la réalité du harcèlement moral en entreprise, ce qui entraînait la mise en place de consultations spécialisées et la fin des précédents discours systématiquement négationnistes des psychiatres. 

La situation s'est améliorée depuis que la LCR et son syndicat affilié Sud PTT ont vu l'intérêt de reprendre cette problématique que je leur exposais en 2004 et 2005 tout en me battant contre eux à ce sujet, ou plus exactement, en résistant et me défendant continuellement contre toutes leurs attaques à mon encontre à ce sujet, pour l'utiliser de manière restreinte au profit de leur lutte anticapitaliste contre la privatisation de France Télécom : il n'était en effet toujours pas question d'accuser des harceleurs ou des pervers narcissiques, lesquels n'existaient toujours pas, mais des méthodes de management non respectueuses des salariés de l'entreprise furent bien mises en cause avec succès dans le cadre d'une affaire qui a connu un très fort retentissement.

Cependant, tous les harcèlements dont j'ai été victime sur Internet à compter de 2008, puis également dans les tribunaux à compter de 2010, notamment pour m'être exprimée sur cette question du harcèlement moral en entreprise dans des commentaires anonymes sur le site Rue89, harcèlements toujours commis à l'instigation ou sous la direction de la même Josette Brenterch qui a toujours continué à me surveiller illégalement et me faire mensongèrement passer pour folle auprès de l'intégralité de mes contacts et s'était mise à participer elle-même très activement à tous ces harcèlements sans plus aucunement se cacher à compter de juin 2010, prouvent que le sujet reste très épineux, autant à l'extrême-gauche où mensonges et harcèlements ont toujours fait partie des moyens privilégiés de toutes les "luttes" politiciennes, que chez les patrons, qui ont très souvent recours aux spécialistes de l'extrême-gauche pour harceler leurs propres cibles (toutes sortes de surveillances illégales, ouverture de toutes les correspondances et vols de courriers ciblés, écoutes illégales, piratages informatiques, redressements fiscaux arbitraires, etc...).

En 2004, ma première intervention publique sur cette question du harcèlement moral en entreprise avait donc décidé la criminelle Josette Brenterch dont il apparaîtra plus tard qu'elle était déjà très impliquée dans tous les harcèlements dont j'étais victime depuis les années 1990, lesquels avaient débuté dans le cadre professionnel, de me faire exclure de l'association AC ! Brest.

A cet effet, elle tentait de convaincre tous les autres membres actifs de l'association que je n'étais qu'une folle "pipotant" tous les comptes rendus que je rédigeais pour l'association (j'étais surtout la seule à en faire, il n'y en avait jamais eu plus tôt, et ce début d'organisation que je mettais en place dérangeait énormément), m'accusait sans cesse de choses totalement fausses, se faisait prendre à chaque fois en flagrant délit de mensonge, et obtenait ainsi auprès des autres membres de l'association l'effet inverse de celui qu'elle recherchait, c'est-à-dire qu'ils me soutenaient toujours plus contre elle, et ce jusqu'à un clash ultime de la mi-juin 2005 qui l'avait conduite à changer radicalement de stratégie : dès le lendemain, sous les yeux ébahis des autres membres de l'association tous sidérés, au lieu d'aller m'attaquer ou me dénigrer auprès d'eux comme d'habitude dans le but qu'ensuite ils me retombent dessus pour une nouvelle séance d'explications avec production de preuves ou de témoins pas toujours immédiatement disponibles, vu que nous étions tous bénévoles et qu'aucun de nous n'était astreint à la moindre obligation de présence quotidienne ou régulière où que ce soit, elle venait vers moi pour me faire la bise comme si nous étions de grandes copines en les ignorant totalement, tandis qu'elle avait commencé à les faire tous menacer de mort par plusieurs de ses sbires pour m'avoir soutenue contre elle. Son discours était désormais celui-ci : ils étaient tous très très très méchants avec moi la pauvre folle qui tout d'un coup n'était plus à ses yeux ni responsable ni coupable de quoi que ce soit, car ils m'entretenaient dans mes "délires" en me soutenant contre elle au lieu de lui obéir...

On retrouvera en 2008 et 2009 sous la plume de mes harceleurs de la bande du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi exactement les mêmes propos éminemment pervers, cette fois à l'encontre de tous les riverains de Rue89 qui pouvaient intervenir pour me défendre ou me soutenir contre eux.

Mais c'était bien toujours la même Josette Brenterch qui continuait à diriger toutes les opérations de harcèlement à mon encontre.

Le harcèlement moral en entreprise, ensemble de faits délictueux voire criminels beaucoup plus communs que ceux que décrivent les "Survivantes" du film de Pierre Barnérias, est aujourd'hui assez bien connu mais reste néanmoins très discuté voire totalement nié par des groupes politiques très importants, exactement les mêmes qui ont aussi toujours nié l'existence de la pédocriminalité, de ses réseaux et des rituels sataniques parfois associés.

L'Histoire finira par ridiculiser et balayer tous ces malfaisants, délirants ou pervers, comme par exemple les détracteurs d'Hérodote à propos des fêtes annuelles de Bubastis depuis que les découvertes d'archéologues modernes ont rapporté des preuves de l'existence de ces fêtes :

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bastet

Bastet

 

Extrait :

Fête de Bubastis

Les fêtes annuelles de la ville de Bubastis, en l'honneur de la déesse Bastet, étaient des événements très attendus en Égypte. Hérodote en fait une description haute en couleur que l’on tint longtemps pour une invention de l’historien, jusqu’à ce que des archéologues modernes découvrent des preuves de l’existence de ces fêtes mémorables.

Vers la Basse époque, la fête de Bastet était l’une des plus populaires du calendrier égyptien. En cette occasion, la cité de Bubastis (à 80 km au nord-est du Caire) ne pouvait être rejointe que par les voies fluviales.

Hérodote raconte2 :

« Ils arrivent en bateau, hommes et femmes ensemble, en grand nombre sur chaque embarcation ; en chemin, des femmes font de la musique avec des claquettes, et certains hommes jouent de la flûte, tandis que les autres chantent et frappent dans leurs mains. Lorsqu’ils rencontrent une cité le long du fleuve, ils tirent l’embarcation à terre, et certaines femmes continuent leur jeu, comme je l’ai dit plus haut, tandis que d’autres lancent des moqueries aux femmes du lieu et entament des danses en agitant leurs robes en tous sens. À leur arrivée, ils célèbrent la fête par des sacrifices et l’on consomme à cette occasion plus de vin que durant le reste de l’année. »

Hérodote parle d’au moins 700 000 personnes « hormis les enfants » se pressant pour honorer l’occupante du temple de granit rouge, la déesse Bastet.

Hérodote encore :

« Les chats trépassés sont apportés à Boubastis où ils sont embaumés et enterrés dans des urnes sacrées. »

Des milliers de ces créatures furent enterrées dans des galeries souterraines de la ville et des environs, afin qu’ils puissent porter le message de leur maître jusqu’au royaume des dieux. L’importance de la fête de Bastet ainsi décrite parut absolument invraisemblable aux égyptologues de la fin du XIXe siècle, mais, en 1887, un archéologue, Henri Édouard Naville, met au jour le site et démontre qu’Hérodote n’avait pas menti. Il fouille les sites du temple principal de Boubastis, les catacombes aux momies de chats et un certain nombre de chapelles pharaoniques, prouvant que cet évènement religieux considérable attirait toutes les couches de la société égyptienne.



https://www.dansnoscoeurs.fr/yves-hemery/1957654/avis

Les derniers hommages rendus à Yves HÉMERY

Ce message a été déposé par Alain COQUIL

Yves fut mon camarade d'études à Quimper de 1965 à 1969, l'année du bac. Je me souviens qu'il était né à Suresnes, qu'il habitait à Commana puis à Lesconil, que sa maman travaillait aux PTT. Je me souviens de son regard bleu étonné et amusé derrière ses lunettes. Je me souviens que je l'admirais quand il jouait au foot, Yves c'était l'élégance , l'intelligence, l'altruisme. Je regrette beaucoup de ne pas l'avoir revu.


  • Avis de décès

    Morlaix, Montpellier
    Seattle (Etats-Unis)
    Chefchaouen (Maroc)
    Nous avons la douleur de vous faire part du décès du
    Monsieur Yves HÉMERY
    Médecin psychiatre au CH
    de Morlaix
    à l'âge de 64 ans.
    De la part de son épouse et ses enfants.
    Selon sa volonté, ses obsèques se sont déroulées dans l'intimité.
    Remerciements sincères aux personnels soignants des hôpitaux de Morlaix et de la Cavale Blanche à Brest.
    Les dons iront à la Recherche sur le cancer.
    Cet avis tient lieu de faire-part et de remerciements.
    PF Poulichot,
    Morlaix, 02 98 88 00 88.


    Aucun commentaire:

    Enregistrer un commentaire