Intéressant, on n'en parle pas assez.
Aujourd'hui encore, il y a des femmes qui couchent parce qu'elles pensent que c'est obligatoire, que ça se passe comme ça et pas autrement. D'où viennent-elles ? Des écoles de cul (Sciences Po) ?
Qui les oblige à faire de la politique ? Quelles sont leurs motivations ?
Tant qu'il y aura un peu partout de ces femmes qui couchent, les abuseurs vont continuer à exiger des autres les mêmes comportements... toujours avec la complicité de ces femmes qui n'hésitent pas à se vendre pour un peu de pouvoir, de l'argent ou d'autres avantages matériels.
Personnellement, j'ai connu un cas de promotion canapé dans mon environnement professionnel, dans les années 1990. Il s'agit d'une femme qui, à cette époque, a été ma "Directrice Générale", et faisait à ce titre autorité pour tout ce qui me concernait auprès de tiers extérieurs à notre milieu professionnel, où elle était arrivée comme secrétaire dans une SSII, puis était devenue assistante commerciale puis commerciale en couchant avec les deux commerciaux de la boîte, jusqu'au jour où l'un d'eux, venant de découvrir qu'il était cocu, avait fait une crise mémorable, exigé que son rival soit viré, et à défaut de l'obtenir, s'était cassé avec sa meuf pour créer sa propre société. C'est ainsi qu'elle était devenue "Directrice Générale" dans cette nouvelle société.
Bien sûr, elle a fait partie des femmes qui à diverses époques m'ont accusée mensongèrement de n'importe quoi, et qui en fait étaient à peu près toutes de ce même profil de perverse narcissique, que je n'ai jamais rencontré chez mes collègues femmes ingénieurs.
Entre autres choses, elle a aussi fait partie des malfrats qui en 1995 payaient tous mes défenseurs pour qu'ils me plombent durablement.
Ainsi, notamment, celle qui fut mon avocate à cette époque avait-elle diffusé en mon nom des conclusions dont je n'aurai connaissance que deux ans plus tard à la faveur d'une procédure de taxation d'honoraires (parce qu'évidemment elle m'a fait payer très cher tout ce qu'elle faisait contre moi au profit de mes adversaires), et dans lesquelles elle m'avait collé pratiquement la même histoire que ma "Directrice Générale" pour justifier un licenciement : j'aurais eu pour amants et de manière simultanée deux commerciaux de la boîte qui m'employait, d'où clash monumental et licenciement. Sauf qu'en ce qui me concerne, je n'ai jamais été ni secrétaire ni assistante commerciale ni commerciale, j'étais ingénieur d'études en informatique et ne voyais quasiment jamais les commerciaux de ma boîte en dehors des périodes d'inter-contrat, toujours propices, non pas à des coucheries ou des promotions canapé, mais à des violences et des coups bas en tous genres en vue d'un licenciement sans préavis ou d'une démission forcée et antidatée de trois mois - c'est le genre de période où je me suis par exemple retrouvée physiquement dans un placard, parfois seule et parfois avec d'autres informaticiens comme moi en inter-contrat et nous y étions serrés comme dans une boîte à sardines; ce n'est jamais drôle et on peut toujours s'attendre au pire.
Comme par ailleurs je disposais d'une douzaine de témoignages de poids contre mon ancien employeur dans le cadre de la même affaire, un autre de mes défenseurs racontait partout que mes témoins étaient tous des hommes (ce qui était faux, il y avait des hommes et des femmes), et que j'avais couché avec tous ces messieurs pour qu'ils me délivrent toutes ces attestations m'étant très favorables et accusant très clairement mon ancien employeur - il va de soi que je n'avais jamais eu ce genre de relation avec aucun d'entre eux.
De plus, il m'avait fauché un certificat de bonne santé mentale délivré par un psychiatre que j'avais consulté à cet effet sur conseil de la police pour l'utiliser également contre moi, comme attestant du fait que j'aurais été suivie par un psychiatre car folle à lier, ce qui bien évidemment était totalement faux : je n'avais consulté ce psychiatre qu'une seule fois et n'ai jamais eu aucun trouble psychiatrique, ce dont ce professionnel attestait très précisément dans le certificat de bonne santé mentale qu'il m'avait remis.
Dans ces conditions, la grande fête islamiste pouvait commencer et elle a commencé.
Le phénomène est immuable depuis les années 1990 : à chaque fois que je me fais rouler dans la merde, il y a des attentats; ils cessent quand j'arrive à redresser un peu la barre, après m'être débarrassée de mes avocats félons.
A noter : la mère maquerelle et criminelle notoire Josette Brenterch du NPA de Brest, qui était déjà dans le coup en 1995, a recommencé en 2005 à prétendre que je couchais avec tous les messieurs qu'elle ne parvenait pas à convaincre de toutes ses saloperies d'alors à mon encontre, elle l'a même fait écrire et publier sur ses blogs par son complice le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi à compter de l'été 2010. Or, il n'y a jamais eu aucune dispute à mon sujet entre tous ces messieurs, et ce pour une raison très simple : nos relations n'ont jamais été ce qu'elle en prétend. Aussi, nous sommes toujours restés solidaires contre elle et ses complices et toutes leurs inventions calomnieuses à notre encontre.
Pour mémoire, je rappelle encore que l'intellectuelle de ce groupe de membres actifs de l'association AC ! Brest, ce n'était pas elle, mais moi.
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