Il s'est acoquiné au pédophile, trafiquant de drogue et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui vient de le trahir tout juste deux jours après son décès.
Dès l'été 2010, ce cybercriminel qui ne me lâchait pas depuis deux ans avait bien parlé de ce journaliste dans ses écrits publics me concernant, il évoquait alors de longs entretiens avec lui à mon sujet.
Aujourd'hui, il écrit qu'il "collaborait" "depuis un bon bout de temps" avec ce journaliste qui "bien que retraité, continuait à alimenter la presse de ses articles."
Il précise même qu'il lui faisait "la documentation sur tel ou tel sujet, traquant l'info sur des personnages divers et variés, tous fort peu ragoûtants", car "il n'était pas familier de l'internet, contrairement à" lui, Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Francis Christophe aurait ainsi "collaboré avec un nombre conséquent de journaux et de magazines, publiant la plupart du temps sous différents pseudonymes."
Le terme de "collaboration" implique une rémunération. Pour tout ce qui me concerne, ces malfrats ont donc vendu sans aucun scrupule, non pas de l'information, mais leurs propres mensonges et montagnes d'affabulations délirantes et hautement calomnieuses à mon encontre, toujours mêlés comme sur les blogs Luraghi à quelques informations véritables toutes obtenues frauduleusement, notamment au moyen de piratages informatiques.
Même chose, a priori, pour de nombreuses autres de leurs cibles, toutes traitées de "fascistes", "complotistes", etc, etc...
Le journaliste incapable d'assumer toutes les élucubrations délirantes de son complice utilise différents pseudonymes pour apparaître dans différents journaux et magazines comme autant de sources différentes toutes convergentes sur les divers "sujets" ou "personnages" "traités" à sa manière par le cybercriminel, calomniateur public et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi et donner ainsi plus de crédit à toutes ses inventions délirantes et calomnieuses à l'égard de diverses personnes.
Et c'est moi que depuis le début de leurs harcèlements à mon encontre en 2008 ils ont toujours traitée de "corbeau" sous prétexte que je m'étais inscrite sur le site Rue89 sous un pseudonyme, comme la presque totalité des autres commentateurs de ce site...
N.B. : Je reconnais "Numérosix" comme étant l'un de mes harceleurs de la bande Luraghi faisant partie de la dizaine de ses complices dont il s'était entouré pour m'impressionner lors de nos deux rencontres au Tribunal de Grande Instance de Paris en septembre et novembre 2016 - j'étais d'ailleurs bien certaine que c'était lui. Ce "Numérosix", ancien employé des services techniques du Figaro, est également impliqué dans l'assassinat de Patricia Bouchon à Bouloc le 14 février 2011.
BIRMANIE – FRANCE : Disparition de Francis Christophe, décodeur de la Birmanie
Nous avons appris à la lecture du site Asialyst (que nous vous recommandons) la disparition du journaliste Francis Christophe dont Gavroche avait dans le passé publié les analyses sur la Birmanie. Il s’était en particulier spécialisé sur les questions liées au trafic de drogue.
Nous reproduisons ici l’hommage de Pierre Antoine Donnet publié par Asialyst et nous transmettons à ses proches toutes nos condoléances.
Francis Christophe s’est éteint en paix et sans souffrir ce lundi 3 octobre à 22h30, entouré de son fils et de ses proches. Ce journaliste d’investigation d’une grande expérience avait rejoint Asialyst début 2021. Il a permis à notre site de suivre avec une rare grille d’analyse le coup d’État de la junte birmane du 1er février 2021 et ses suites jusqu’à aujourd’hui.
Collaborateur régulier d’Asialyst, journaliste curieux et passionné, parfois intransigeant et opiniâtre, attachant et profondément généreux, Francis a appris le métier à l’Agence France-Presse. Puis, après l’avoir quittée au bout de treize ans de travail, il était devenu enquêteur à l’Observatoire géopolitique des drogues (OGD). Il s’était ensuite très vite intéressé à la Birmanie, un pays qu’il connaissait parfaitement pour y avoir été plusieurs fois et où il comptait de nombreux amis.
Auteur des livres Birmanie, la dictature du Pavot (éditions Philippe Picquier, 1998) et de Total : entre marée noire et blanchiment (éditions Golias, 2000), il était passionné par les « trous noirs de l’information ». La Birmanie fut, de 1962 à 1988 le pays répondant le mieux à cette définition. Aucune information ne sortait de cette dictature militaire autarcique, archaïque, guerroyant contre ses minorités, clamant dans le désert sa marche sur la voie birmane vers le socialisme. Francis avait suivi en direct, bien qu’à distance, le putsch de la junte militaire qui, le 1er février 2021, a renversé le gouvernement démocratique de Aung San Suu Kyi, la « Dame de Rangoun », vénérée comme une icône dans son pays aujourd’hui plongé dans la violence d’État la plus féroce avec déjà des milliers de morts.
Francis Christophe avait comme autre sujet d’investigation l’affaire Boulin, du nom de l’ancien ministre du Travail de Valéry Giscard d’Estaing. À l’époque figure montante du gouvernement, Robert Boulin, avait été découvert mort au petit matin le 29 octobre 1979 dans un étang de la forêt de Rambouillet (Yvelines) de faible profondeur. Un décès présenté comme un suicide. Cette thèse, sa famille et Francis n’y avaient jamais cru : ils étaient convaincus qu’il s’agissait d’un meurtre prémédité maquillé en suicide, d’un assassinat politique. Francis avait travaillé sans relâche sur cette affaire en étroite coopération avec la fille de Robert Boulin, Fabienne. Celle-ci a assigné l’État français pour « faute lourde » en 2021.
Auteur du livre Boulin, le fantôme de la Ve République (éditions OWNI, 2011), il ne verra donc pas l’épilogue de cet épais mystère autour duquel des révélations récentes permettent de penser que la lumière sera peut-être bientôt faite sur ce qui paraît de plus en plus comme un scandale d’État.
Asialyst peut être consulté ici: asialyst.com
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