compteur

mercredi 19 octobre 2022

Le pervers narcissique Cyprien Luraghi et sa mère

 

 

Explications d'ordre général dans la vidéo ci-dessus.

Tous ceux qui connaissent le cas Luraghi vont très bien le reconnaître.

Précisons que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi était arrivé sur le site Rue89 en 2008 en se présentant comme la victime d'une mère bien pire que Folcoche, ce qui constituait carrément sa "biographie" sur ce site, laissant entendre que sa "révolte" et son "génie littéraire" étaient eux aussi immensément plus grands que ceux d'Hervé Bazin, auteur de l'autobiographique Vipère au poing - de la gnognotte en comparaison de son cas.

Et il ne cessait de se plaindre de toute sa famille dont il dépeignait tous les membres l'un après l'autre comme plus horribles les uns que les autres, commentaire après commentaire, toujours hors sujet.

Du même coup, étant, lui, LA victime par excellence, il ne tolérait absolument aucune "jérémiade" d'aucune autre victime, quelle qu'elle fût. 

C'est dans cet état d'esprit qu'il s'attaquait très violemment aux victimes de harcèlement moral dans le travail qui venaient témoigner et s'exprimer à ce sujet dans les commentaires sous les articles des journalistes du site Rue89 consacrés à ce problème social aux conséquences extrêmement graves, et pas seulement à titre individuel pour les victimes directes de tels faits, entraînant dans cet exercice toute sa bande de dingues dits "déconnologues".

Lors de son audition de mars 2011 par la gendarmerie de Puy-l'Evêque à la suite d'une de mes premières plaintes, de 2010, il avait bien expliqué qu'avec ses amis - qu'à cette occasion il avait nommés pour plusieurs d'entre eux -  il se "moquait" de ces "folles" qui se prétendaient victimes de harcèlement moral en entreprise, principalement une autre commentatrice très active sur ce sujet, et moi-même. Il avait aussi reconnu être l'auteur d'autres faits délictueux.

Mais la vice-procureure du TJ de Brest Isabelle Johanny, qui a bien lu ses déclarations de l'époque, avait trouvé absolument génial son concept de "déconnologie" (aujourd'hui, on parle plutôt, entre autres, de "raids numériques" et de cyberharcèlements en meute) pour se "moquer" de ces "folles" qui toutes évoquaient, témoignaient ou se plaignaient d'un problème, le harcèlement moral dans le travail, qui pour elle comme pour le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi et tous ses complices cybercriminels n'a jamais existé. 

Elle a aussi accrédité toutes ses inventions calomnieuses sur mes proches et moi-même tout en lui accordant le droit de tous nous violer 24 heures sur 24 par divers moyens illégaux tels des piratages informatiques pour "révéler" au public, avec nos identités et toutes nos coordonnées, tous les détails, vrais ou inventés, de nos vies privées de soi-disant "paranoïaques" ou "cas lourds psychiatriques" - il en est aujourd'hui à prétendre que mes proches et moi-même serions tous des fous qui l'auraient pris pour cible, lui, comme ça, sans aucune raison, ce qui ne l'empêche pas de continuer à diffuser massivement toutes ses inventions calomnieuses à notre encontre, avec aussi, comme au premier jour, les produits de ses viols de l'intimité de nos vies privées.

Cependant, depuis lors, il s'est aussi fendu de quelques publications sur les multiples maladies mentales de sa mère, qu'il dit toutes résulter de maltraitances subies dans une institution durant son enfance.

Encore récemment sur Twitter (voir ci-dessous).

Depuis environ un mois, je me suis mise à publier un peu sur mes parents et mon enfance, ce que je n'avais jamais fait auparavant, car contrairement au malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, je ne suis pas arrivée sur le net pour parler de moi et raconter ma vie mais uniquement, au départ, en 2008, pour commenter anonymement quelques articles du site Rue89 - puis, à compter de l'été 2010, compte tenu de toutes les publications calomnieuses dont j'étais victime de la part de ce malade mental et de tous ses complices cybercriminels, et de l'absence totale de réaction adéquate des autorités judiciaires, pour publier quelques droits de réponse portant essentiellement sur mon rôle à AC ! en 2004 et 2005, également un peu sur ma formation et mon passé professionnels, puisque mes harceleurs me faisaient passer mensongèrement pour une folle qui sous couvert d'anonymat sur Internet se serait inventé une vie d'ingénieur d'études en informatique qu'elle n'aurait jamais eue, et pas du tout sur toutes les relations sexuelles qui m'étaient également prêtées mensongèrement par ces malades mentaux, si ce n'est pour démentir en bloc tous ces délires calomnieux.

Je rappelle encore à ce sujet que le psychopathe ou malade mental extrêmement dangereux, cybercriminel, harceleur, calomniateur et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi rédigeait tous ses articles me concernant sous la dictée de la mère maquerelle et criminelle notoire Josette Brenterch du NPA de Brest, laquelle a toujours haï toute ma famille depuis les années 1970 et diffusait déjà elle-même toutes ses inventions calomnieuses à notre encontre auprès de très nombreuses personnes, notamment dans tous ses réseaux extrême-gauchistes et autres, depuis plusieurs décennies, sans compter qu'elle nous avait elle aussi toujours fait surveiller illégalement, notamment au moyen d'écoutes illégales et de piratages informatiques, mais pas seulement, puisqu'elle a aussi toujours eu illégalement accès à nos dossiers médicaux grâce à tous ses complices médecins hospitaliers ou de la Sécurité Sociale, dont elle peut même obtenir des assassinats par aléas thérapeutiques ou autres "erreurs" médicales.

Depuis quelques semaines, donc, je publie un peu sur mes parents et mon enfance, d'une part pour montrer enfin quelque peu qui nous sommes réellement, et d'autre part pour la comparaison, tout à fait édifiante, avec un vrai malade mental, l'un des plus dingues de cette histoire, le dénommé Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui a déjà publié par lui-même quantité d'informations sur ses parents, son enfance et tout le reste de son existence.

Nous savons donc depuis longtemps (cela se trouve "en ligne et à l'oeil" sur ses différents sites depuis 2001) que son père carreleur ou maçon a un soir de bal "tiré un coup" avec une fille de mineur qu'il a aussitôt mise enceinte et dû ensuite épouser pour cette raison alors qu'il rêvait d'un bien meilleur mariage, digne de son rang (le maçon méprise les mineurs). Ayant toujours détesté cette femme qu'il avait épousée sous la contrainte des us et coutumes de sa communauté italienne, alcoolique notoire, il se vengeait de son infortune en tabassant sans raison son fils aîné, non désiré et cause de tous ses malheurs. Pascal Edouard est le second et contrairement au premier, il a toujours été chéri par ses deux parents dont il était le préféré, jusqu'à l'arrivée d'une petite soeur de quatre ans sa cadette qui l'aura quelque peu détrôné. Sa mère, intellectuellement assez frustre et psychologiquement pas mal déglinguée, l'avait prénommé Pascal pouvant s'entendre Pascale car elle voulait une fille. Elle l'avait ensuite toujours habillé, coiffé et traité en petite fille au moins jusqu'à l'arrivée de cette soeur - enfin une vraie fille - qui prendra sa place dans le coeur maternel - et qu'il hait tout autant que sa mère depuis des années.

Dès tout petit, il donne des signes de graves maladies mentales et quitte définitivement l'école et sa famille à l'âge de 14 ans en situation d'échec scolaire et sans aucun diplôme, après avoir "cassé la gueule" à son père, dont il obtiendra son émancipation à force de chantage. Puis il sera toujours hors la loi, donnant notamment dans divers trafics.

Quant à moi, comme déjà dit, je suis issue d'une famille d'ingénieurs tous "surdoués" et très bien éduqués, sans aucun problème, si ce n'est la haine absolument incroyable que nous vouent la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses complices, laquelle nous fera basculer dans un cauchemar sans fin au début des années 1990.

J'avais déjà parlé de ma formation ici :

http://satanistique.blogspot.com/2021/12/qui-suis-je-pour-etre-devenue-une-cible.html

J'ai rajouté récemment avoir été un bébé et une petite fille modèle, très facile, sans aucun souci, précoce pour tout et donc très tôt détectée comme "surdouée".

Contrairement à tout ce qui a pu être publié ou mis en circulation à notre sujet, mon père est localement assez connu, non pas comme un "truand", mais bien au contraire comme une terreur pour les truands et escrocs de tous poils, du fait de son intégrité sans faille. Très sobre, sain, sportif, de tous temps soucieux de l'environnement, il a toujours eu la réputation de quelqu'un de très sérieux, assez pour que le marchand de cycles pour lequel il travaillait régulièrement depuis l'enfance lui confie à l'adolescence toutes ses motos neuves à tester. Il fut aussi élève de l'Ecole des Beaux-Arts et de l'Ecole de Musique de Brest, ce qui était encore possible dans une ville en cours de reconstruction après la guerre - à plus forte raison pour ses enfants à la génération suivante. Et scout. Il a toujours eu plein d'amis de divers horizons qu'il invitait notamment à ses séances de cinéma à domicile quand il était petit, mes grands-parents étant eux aussi très sympathiques et accueillants.

Ma mère n'est pas non plus débile mentale ni folle à lier contrairement à ce qu'en prétend mensongèrement le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi. Très bien éduquée elle aussi, également "surdouée", elle a suivi des études dans l'enseignement supérieur après avoir obtenu le baccalauréat scientifique de son époque et a de plus de vraies compétences en matière éducative : enseignante, elle a aussi été animatrice de colonies de vacances.

Encore une fois, donc, rien à voir avec les Luraghi, c'est le jour et la nuit.

Résultat : rien que des ingénieurs très compétents et très bien éduqués dans ma fratrie et strictement aucun malade mental.

 

 





Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire