"L’enquête porte notamment sur les liens suspectés de cette magistrate, en poste en Corse entre 2010 et 2016, avec un membre présumé du banditisme insulaire, Johann Carta, autour de la construction, de la rénovation et de la location de la villa – désormais vendue – de la juge sur le golfe d’Ajaccio, avaient précisé à l’AFP des sources judiciaires et proches du dossier."
A Brest aussi, nous avons une mafia (le fameux "microcosme" brestois) qui sait bien accueillir les magistrats et leur être agréable tout au long de leur séjour brestois.
Ainsi, par exemple, il y a quelques années, celui qui était alors président du TGI de Brest sur le départ, se vantait-il publiquement de n'avoir jamais payé aucun loyer à Brest, ce qui le rendait hilare... Son propriétaire était un promoteur immobilier qui bien entendu n'a jamais été inquiété par la justice locale pour quoi que ce soit, et aucun de ses amis non plus.
Tous les magistrats brestois sont achetés d'une manière ou d'une autre par la mafia locale dès leur prise de fonction. C'est un système. En accueillant tous les nouveaux magistrats brestois, la syndicaliste Isabelle Johanny (accessoirement vice-procureure du TJ de Brest, une fonction qui l'amuse beaucoup, car elle lui permet de se défouler autant qu'elle veut sur des tas de gens dont elle ne supporte absolument pas l'existence) leur en ouvre les portes. Et que je sache, elle est bien la faussaire locale la plus imaginative et prolifique, qu'aucune invraisemblance, même des plus grotesques, n'a jamais fait reculer... En fait, tout ce qu'elle écrit sur mon compte et celui de mes proches est tellement délirant (pas une ligne de texte qui ne comporte au moins un gros mensonge ou une invention à tomber à la renverse) que je la soupçonne de faire rédiger tous ses réquisitoires nous concernant directement par sa copine la criminelle et mère maquerelle Josette Brenterch du NPA de Brest.
Dans un monde normal, où les mots droit, loi, justice et vérité aient encore un sens, il y a bien longtemps que toutes ces personnes seraient chez les fous ou sous les verrous.
Hélène Gerhards, magistrate à Agen, en garde à vue dans une enquête liée au banditisme corse
Depuis le 20 janvier 2021, le parquet de Nice est chargé d’une « enquête susceptible de mettre en cause Hélène Gerhards », avait précisé le parquet général d’Aix-en-Provence en janvier 2023.
Une magistrate à la cour d’appel d’Agen, en Lot-et-Garonne, a été placée en garde à vue, mercredi 3 avril, dans le cadre d’une enquête portant notamment sur ses liens avec un membre présumé du banditisme corse, a appris l’Agence France-Presse (AFP), de sources proches du dossier et du parquet de Nice.
« Je confirme qu’une magistrate a été placée en garde à vue mercredi dans le cadre d’une enquête préliminaire suivie par le parquet de Nice, ouverte des chefs de recours en bande organisée au service de personnes exerçant un travail dissimulé, blanchiment, trafic d’influence actif et passif », a déclaré, à l’AFP, Damien Martinelli, procureur de Nice.
« Elle est en garde à vue également pour faux en écriture publique par personne dépositaire de l’autorité publique et usage de ces faux ainsi que détournement de fonds publics », a ajouté le procureur. Il s’agit d’Hélène Gerhards, magistrate à la cour d’appel d’Agen, ont confirmé à l’AFP des sources proches du dossier.
Liens suspectés avec un membre présumé du banditisme insulaire
Depuis le 20 janvier 2021, le parquet de Nice est chargé d’une « enquête susceptible de mettre en cause Hélène Gerhards », avait précisé à l’AFP le parquet général d’Aix-en-Provence, en janvier 2023.
Cette enquête préliminaire, qui est une incidente d’une information judiciaire de la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Marseille sur la bande criminelle corse dite du Petit Bar, a été confiée à l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF), ont révélé à l’AFP des sources proches du dossier.
Le domicile à Agen de la magistrate et sa villa à Pietrosella (Corse-du-Sud) avaient été perquisitionnés en décembre 2022, avait appris l’AFP d’une de ces sources.
L’enquête porte notamment sur les liens suspectés de cette magistrate, en poste en Corse entre 2010 et 2016, avec un membre présumé du banditisme insulaire, Johann Carta, autour de la construction, de la rénovation et de la location de la villa – désormais vendue – de la juge sur le golfe d’Ajaccio, avaient précisé à l’AFP des sources judiciaires et proches du dossier.
Johann Carta, ancien président du Gazélec Football Club Ajaccio (GFCA), placé en liquidation judiciaire en janvier 2023, a été mis en examen et écroué dans plusieurs enquêtes, notamment, en décembre 2023, dans une enquête ouverte pour escroquerie, extorsion de fonds et blanchiment d’argent en bande organisée par la JIRS de Marseille.
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