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J'attends naturellement son pendant concernant la mafia brestoise et ses magistrats.
A titre personnel, je n'ai jamais entendu parler de vrai défi dans le recrutement de nos magistrats locaux.
Si défi il y a, il réside surtout dans l'éloignement de la ville de Brest, comme de tout le Finistère, de la capitale et du reste de l'Hexagone : ici, c'est quand même le bout du monde...
Du coup, ce défi concerne en fait la totalité des fonctionnaires français qui viennent d'autres régions, notamment de Paris, et il y a fort longtemps qu'il a été résolu par l'octroi de droits particuliers à ceux qui acceptent de venir se perdre au bout du monde, par exemple, et notamment, le droit de cuissage : ici, ces fonctionnaires ont le droit de violer femmes et enfants autant qu'ils veulent, avec un second effet kiss cool pour le pouvoir central, c'est-à-dire que l'on n'a toujours pas fait mieux pour humilier et soumettre un peuple toujours suspect ou suspecté de vouloir son indépendance.
Résultat : on se coltine par ici une quantité phénoménale de pervers, outre les magistrats qui se marrent de n'avoir aucun loyer à payer :
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/helene-gerhards-magistrate-agen-en.html
Le vrai défi de la magistrature brestoise, en fait, ce n'est pas tellement le recrutement mais plutôt la sortie de ses membres :
http://satanistique.blogspot.com/2016/03/deces-de-mathilde-boissy-ancienne-juge.html
http://satanistique.blogspot.com/2022/07/deces-de-lancien-magistrat-brestois.html
Sauf pour certains, comme l'ancien procureur de la République de Quimper Thierry Lescouarc'h, qu'Eric Dupond-Moretti avant ramené dans ses bagages à peine acquise sa nomination comme ministre de la Justice après une petite incursion dans la "justice" locale :
Corruption des magistrats : le défi du recrutement en Corse
En poste sur l’île pendant 5 ans, une magistrate a été mise en examen et écrouée pour 11 chefs d'inculpation. Une affaire inédite par son ampleur, mais qui illustre les liaisons dangereuses de certains juges sur ce territoire. Ces dernières années, plusieurs cas ont défrayé la chronique.
« Nous avions connu quelques sorties de route très localisées. Mais là c'est sans précédent, totalement hors norme ». Ainsi se commente au sein de la magistrature, ce qui est déjà l'affaire Hélène Gerhards, la magistrate qui présidait jusqu'en janvier 2023 la cour d'assises du Lot-et-Garonne, à Agen.
Hélène Gerhards a été mise en examen et écrouée dans la nuit de vendredi à samedi pour 11 chefs d'inculpation, dans une enquête ouverte sur ses liens suspects avec un membre du banditisme corse, lorsqu'elle était en poste sur l’île, entre 2011 et 2016. Un cas unique dans les archives judiciaires, qui tient autant à la personnalité de la mise en cause qu’à l'ampleur de la délinquance qui lui est reprochée.
La proximité présumée de la magistrate avec la criminalité organisée laisse sans voix. La justice lui reproche ses liens avec Yohann Carta, l'une des figures présumées du gang du Petit Bar. Le tout sur fond de rénovation d’une luxueuse propriété dans la baie d'Ajaccio et de contreparties obtenues…
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