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mercredi 17 avril 2024

Assassinat de JFK le 22 novembre 1963

 

 

L'anniversaire des soixante ans de cet attentat a été salué par la production de nouveaux documentaires et même de révélations inédites à propos de l'ensemble des faits de cette journée du 22 novembre 1963 à Dallas.

Mais pas par Thomas Durand de la Tronche en biais qui en toute matière s'en tient toujours à la version officielle... peu lui importe que les officiels mentent comme des arracheurs de dents... voire se contredisent entre eux, d'où il conviendrait de déduire que certains mentent effrontément...

Aucune nouveauté dans tout ce blabla, donc, sinon que Thomas Durand lui-même a bien noté que la voiture de JFK était une Lincoln, mais il n'y croit pas...

Enfin, voilà au moins un assassinat que personne n'a jamais eu l'idée de maquiller en suicide, quoique l'on ait déjà vu des suicidaires organiser eux-mêmes leur propre assassinat, ce qui dans certaines circonstances peut apparaître comme une porte de sortie intéressante. 

En l'occurrence, l'état de santé de JFK n'était pas bon, ce que des bulletins mensongers avaient toujours caché au peuple américain, sa cote de popularité baissait inexorablement, son bilan présidentiel n'était pas mirobolant et sa réélection pas assurée, le laissant à la merci de bien des révélations embarrassantes. 

L'assassinat qui en fit un martyr l'a sauvé des eaux...

Peut-on sérieusement envisager l'hypothèse d'un suicide de JFK ?

Interrogeons l'intéressé.

A cet effet, appliquons comme d'habitude la règle Shanti Devi : 

22/11/1963 + 14 mois et 7 jours = 29 janvier 1965.

Le voilà, donc : 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Violet



Toute une vie à ruminer sur sa précédente fin de carrière, c'est bien lui, il n'y a pas de doute.

On le reconnaît d'ailleurs assez bien, il n'a pas tellement changé et a encore été contrarié par des problèmes de santé dans sa nouvelle incarnation.

Par contre, il est tellement clair que le coup du comique qui tue lui soit resté en travers de la gorge que j'ai du mal à imaginer qu'il ait pu le recruter lui-même pour ce boulot. Ou alors, il est revenu pour dire au monde toute son hilarité après avoir tiré sa révérence dans ces conditions.

 

https://www.rireetchansons.fr/humoristes/laurent-violet/biographie

Biographie Laurent Violet

Jeune footballeur et chanteur savoyard devenu un comique féroce

Enfant, il voulait devenir footballeur et jouait dans un club de Savoie. D'ailleurs il avait seulement 11 ans quand il remporta le championnat de sa région. Une malformation cardiaque le contraindra cependant à quitter le monde du sport.

Côté études, il abandonne l'école à l'âge de 18 ans pour se consacrer à l'écriture de chansons, son rêve étant de devenir chanteur et vivre à Paris. Il se livre alors à des petites activités commerciales afin de récolter les fonds nécessaires pour partir de sa province natale.

Il s'installe enfin à Paris en 1985 et commence par une scène ouverte au Tintamarre mais ses chansons ne plaisaient pas au public. Par contre, le directeur artistique Jean-Baptiste Plait lui reconnaissant des qualités de comédien, le poussa dans cette voie.

Il fera la rencontre de jeunes débutants comme lui tels que Jean-Marie Bigard, Anne Roumanoff, Pierre Palmade et l'imitateur belge André Lamy dans le quartier des Halles. Influencé par ces derniers, il commencera la carrière d'auteur humoriste par la composition de parodies de chansons pour l'émission dominicale de Philippe Gildas à la radio.

Au fil du temps, Laurent Violet se met à écrire ses premiers sketches qu'il offrira de 1986 à 1987 dans « Le comique qui tue », son premier spectacle. Les thèmes qu'il aborde touchent aussi bien les faits de société et les sujets d'actualité que la défense des animaux.

Le grand public découvre en lui un comique féroce suscitant matière à réflexion sur le monde et la société. L'humoriste enchaîne en 1989 avec son spectacle « Laurent Violet fout la merde » qu'il présente au Lucernaire.


Humoriste des spectacles, présent à la radio et à la télé

En 1990, il épate le public français avec « Faites-vous Violet pour 100 balles » au Festival d’Avignon. Il présentera le même spectacle au Petit Palais des Glaces de Paris.

L'été suivant, il s’installe au Café de la Gare et continue à faire rire son public avec sa nouvelle pièce. Plus tard, il est recruté à la radio et anime sur Skyrock dans la matinale d'Arthur et Bruno Robles les «Zigotos».

En 1992, il accompagne Arthur sur TF1 dans l'« Émission impossible ». Ses sketches incontournables « Le handicapé », « Jean-Paul, le lapin » et « Les séries américaines » apparaissent alors à la télévision.

Ensuite l'envie de transmettre son humour à travers l'écrit l'amène à publier en 1993 son premier recueil d’anecdotes « C’est bien ma veine » des éditions Albin Michel. En février de la même année, Laurent Violet est de nouveau au Café de la Gare pour présenter ses nouveaux sketches.

Philippe Gildas, l'invite sur Canal + dans son émission « Nulle part ailleurs » pour promouvoir son spectacle. Résultat, un succès fou pour le comédien qui est alors obligé de fixer d'autres rendez-vous au Théâtre Grévin.

Parallèlement, Laurent Violet devient chroniqueur sur France Inter. Il sera d'abord dans l’émission radiophonique « Rien à cirer » de Laurent Ruquier, avant de rejoindre les chroniqueurs de « Dej’s » puis de « P’tits Dej’s ».

En 1995, l'humoriste présente un nouveau spectacle dans une tournée européenne en passant par la Suisse et la Belgique et bien évidemment dans de nombreuses villes françaises. Une série de représentations au Théâtre Dejazet de Paris couronne sa tournée qui a duré une année.


L'homme du cinéma, créateur de «World comic » et « La tuerie de l’année »

A partir de 1996, le beau Laurent Violet devient acteur de séries télévisées. Il incarne Antoine le séducteur dans « Jamais deux sans toi…t » de TF1 ensuite Peyrac dans « Max et associés » de M6.

Plus tard, il apparaîtra dans « H » de Canal + et jouera dans « SOS 18 » de Dominique Barron et dans le court-métrage « 2x2 versions de l’amour » de Patricia Bardon. Puis Laurent Violet sera toujours présent à la radio.

En 1998, il sera le chroniqueur de France Inter dans la matinale « Rien à voir » puis dans « Le fou du roi » qu'il sera obligé de quitter en 2001. On le retrouvera également aux côtés de Virginie Lemoine, Chraz et Yves Lecoq dans la matinale du dimanche « Les Agités du JT ».

Tout en assurant sa présence dans les médias, Laurent Violet poursuit son aventure scénique. Ainsi de 2001 à 2005, le comédien sillonne toute la France et se présente dans une série de galas.

Entre 2006 et 2007, il se livre à la production de son nouveau one man show intitulé « World comic » au Théâtre Le Temple de Paris. Il reprend ses sketchs favoris « Jean-Paul, le lapin », « Le pilote d’avion » et « Le handicapé » et propose d'autres nouveautés apportées de ses voyages à l'étranger.

Cette fois, il emmène le public dans un tour du monde et aborde plus le thème de la santé. Ses talents de comédien seront récompensés du Grand Prix du Festival d’Humour de Vienne en 2008. Il remportera également le premier prix du Festival des Arts Burlesques de Saint-Étienne l'année d'après.

Mais il n'a pas dit son dernier mot car en juillet 2009, Laurent Violet se présente avec « La tuerie de l’année » à Avignon en rappelant joyeusement que nous allons tous mourir un jour.

Il est décédé le 4 décembre 2015.

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