C'est nouveau, me semble-t-il, ou en tous les cas, je ne me souviens pas que la presse locale ait déjà rapporté de telles plaintes de policiers.
L'un d'eux a été blessé hier soir par des tirs de mortiers à l'occasion d'une intervention pour un vol de motocross dans le quartier de Bellevue, les voleurs n'ayant pas du tout apprécié que la police vienne se mêler de leurs affaires et leur reprenne le véhicule volé.
Les policiers brestois réclament désormais une réponse pénale plus forte à l'égard des délinquants, ils ne les comprennent pas comme les magistrats qui eux ne les voient pas en délinquants mais en robins des bois : ce sont des pauvres qui volent des riches, il n'y a aucun problème, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes extrême-gauchistes.
Pour mémoire, voici un commentaire de Josette Brenterch me concernant, le 1er août 2010 sur le blog Tique Toc de son complice le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi :
Pour commencer, elle donne elle-même son patronyme avec ce commentaire public sur une affaire brestoise de 2010 que j'avais moi aussi quelque peu commentée et m'accusera à partir d'août 2011 de l'avoir révélé au public alors que c'était déjà fait depuis longtemps sur les blogs de son complice, et pas par moi qui n'y ai jamais eu aucun droit d'accès ni de séjour et n'ai de toute façon jamais cherché à y laisser le moindre commentaire - je me suis toujours tenue aussi éloignée que possible de toute la merde Luraghi sans pouvoir toutefois l'ignorer à partir du moment où j'en étais devenue l'un des sujets principaux.
Mais là, c'est surtout le dernier paragraphe qui est intéressant : on ne dénonce pas ceux ou celles qui "profitent" quand il s'agit de fonctionnaires qui perçoivent non pas des salaires en fin de mois selon le bon vouloir de leurs employeurs, mais des traitements de l'Etat dont ils ne sont jamais satisfaits (tout comme les protections, retraites et autres avantages dont ils bénéficient ne sont à leurs yeux jamais suffisants), on les dénonce uniquement quand il s'agit de "rentiers"... Je confirme ici avoir bien été harcelée et dénoncée bien plus que de raison durant tout le temps où j'ai pu bénéficier d'allocations de chômage ou d'indemnités de la Sécurité Sociale : étant privée de mon droit au travail par les mêmes harceleurs, dénonciateurs et calomniateurs, j'étais de ce fait bien tombée dans le catégorie des "rentiers", ce qui donc faisait hurler autant mes anciens employeurs harceleurs qui auraient préféré que j'accepte de leur donner la démission qu'ils m'avaient réclamée avant de finalement me licencier "avec tous [mes] droits" (sic), que leurs complices brestois, à savoir la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous ses amis de la pourriture locale et nationale.
Les chômeurs sont des "rentiers", les malades aussi. Voilà comment ils sont perçus par les collectifs de lutte contre le chômage, la précarité et les exclusions qui se trouvent sous emprise de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest. Ce sont eux qu'elle combat ou tente de détruire absolument par tous les moyens pour lutter contre le chômage, la précarité et les exclusions. Pas d'exclusion sans exclus, pas de précarité sans précaires, pas de chômage sans chômeurs, ces gens-là sont l'unique cause du chômage, de la précarité et des exclusions en France. Il n'y a qu'à tous les supprimer pour régler ces problèmes.
Aussi, dès le printemps 2009, je me faisais bien traiter de "vieille rombière" à plumer par tous les moyens sur le blog du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, notamment par son complice de la première heure Laurent Morillon, le petit prof' de Montluçon.
Aujourd'hui, les policiers ne sont plus d'accord lorsqu'ils se trouvent confrontés à la loi extrême-gauchiste à propos de vols de motocross.
Il leur reste encore à se rebeller lorsque ce sont des vies entières qui sont volées sur les mêmes bases.
À Brest, un policier blessé par des tirs de mortier d’artifice
Intervenus pour un vol de motocross, ce lundi soir dans le quartier de Bellevue, à Brest, des policiers ont été pris pour cible. L’un d’eux a été blessé.
Un policier brestois a été blessé à l’œil par des tirs d’artifice ou de mortier d’artifice, après 23 h, dans la nuit du lundi 8 au mardi 9 avril 2024, dans le quartier de Bellevue à Brest, selon nos informations. Les policiers sont intervenus à la suite d’un appel d’un Quimpérois venu à un rendez-vous à Bellevue pour vendre sa motocross. Il s’est plaint de s’être fait voler sa moto et d’avoir été agressé, notamment à l’aide d’une bombe lacrymogène.
Une dizaine d’individus
La patrouille a vu deux personnes correspondant au signalement, rue du Maréchal-Clauzel. Elle a pu retrouver la motocross. Un groupe d’une dizaine d’individus s’est alors constitué à l’angle de la rue René-Caillé. Des policiers sont partis au commissariat avec les deux personnes interpellées tandis que leurs collègues sont restés, notamment pour protéger la moto. Selon notre source, ils ont essuyé plusieurs tirs de mortier et un membre de la patrouille a été blessé à l’œil. Compte tenu du climat de tension et de l’exposition au danger, les policiers sont partis avec la moto.
L’Unsa Police demande à nouveau des renforts
Le syndicat Unsa Police réagit ce mardi matin. « Visiblement, certaines personnes de ce quartier ne veulent pas de la présence policière et souhaitent une zone de non droit à Brest. C’est intolérable », dénonce le communiqué. Qui se demande « À quand les renforts d’effectifs à Brest ? À quand une réponse pénale plus ferme envers ces délinquants ? ».
À Brest, la police essuie de « multiples » tirs de mortier à Bellevue
Pour une simple histoire de motocross volée, la tension est montée d’un cran lundi 8 avril, dans le quartier de Bellevue. Les policiers ont été la cible de tirs de mortier.
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L’histoire démarre par une transaction sur le site internet Le Bon Coin. Un Quimpérois a trouvé acquéreur pour une motocross. L’acheteur est Brestois et la vente doit se faire dans le quartier de Bellevue ce lundi 8 avril 2024. Mais elle ne se déroule pas tout à fait comme prévu…
L’acheteur ne verra jamais l’argent de la transaction. Au contraire. Sur place, deux individus l’aspergent de gaz lacrymogène et lui dérobent le véhicule, selon des informations dévoilées par une source policière.
Les renforts appelés
Les forces de l’ordre sont prévenues et entament des patrouilles dans le quartier. C’est à Kergoat, rue Maréchal-Clauzel, qu’ils débouchent sur une piste quand ils repèrent deux hommes déjà connus de leurs services. L’un d’entre-eux correspond d’ailleurs au signalement donné par le vendeur de motocross lésé.
Dans une cave du quartier, les policiers retrouvent l’engin, mais doivent vite appeler les renforts car un attroupement commence à se former. La Bac (Brigade anticriminalité) arrive sur place et les deux suspects sont interpellés.
D’autres policiers sont contraints de rester sur place, le temps que la motocross puisse être embarquée. C’est là qu’ils essuient, selon une source policière, de « multiples » tirs de mortier. Un policier est même blessé à l’œil. Les fonctionnaires de police parviennent tout de même à partir… en emportant la motocross !
« Certains jeunes délinquants se croient au-dessus des lois et dans des zones de non-droit, en effectuant des tirs de mortier sur des fonctionnaires de police », réagit le syndicat Unsa Police, qui reprend : « Il va être temps que la réponse pénale soit plus forte et qu’il y ait un renfort d’effectifs policiers à Brest ».
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