Team Jorge, une équipe de mercenaires de la désinformation

 

 

Team "Jorge", comme Georges Cortez, bras armé du NPA en Thaïlande qui dès 2010 se vantait d'avoir organisé et financé tous les cyberharcèlements de la bande de son Konducator Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre ?

Il est en tous les cas curieux de constater que l'une et l'autre équipes de mercenaires de la désinformation ont commencé chacune son activité en 2008.

Et c'est bien exactement la même, avec tous les mêmes procédés et les mêmes piratages informatiques, dont les petites blagues comme celles montrées lors d'une démonstration, où des comptes de messageries piratés sont utilisés pour envoyer des messages à des tiers à l'insu de leurs propriétaires, tout comme il y a quelques années, par exemple, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi s'amusait à pirater une messagerie électronique appartenant à Michel Ucciani pour m'envoyer des menaces de mort.

Voir ici le résultat de l'enquête journalistique menée durant six mois sur "Team Jorge" :

https://forbiddenstories.org/fr/story-killers/team-jorge-desinformation/

Seules différences notables : outre les cibles qui ne sont pas les mêmes, Team Jorge a industrialisé ses procédés au point d'utiliser maintenant l'intelligence artificielle pour produire des multitudes de "trolls" influenceurs sur les réseaux sociaux, là où cette activité est restée artisanale chez les "déconnologues" du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, pour une efficacité qui malgré tout continue à surpasser celle de l'officine israélienne, puisque, d'une part, ils ne sont toujours pas inquiétés, ni par la justice, ni par la moindre enquête journalistique, et d'autre part, ils ont quand même réussi à "pigeonner" à leurs corps absolument pas défendants plusieurs grands titres de la presse francophone.

Outre la liste toujours disponible sur le blog du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, avec ses commentaires mensongers (voir ci-dessous, j'ai juste supprimé les éléments de mon identité qui n'auraient jamais dû être connus de mes harceleurs ni publiés par eux où que ce soit et qu'ils n'ont jamais obtenus qu'au moyen de leurs piratages informatiques à mon encontre, dès 2008), il y eut aussi, notamment, les sites Arrêt sur Images avec Jean-Marc Manach et 20minutes.fr avec Hélène Sergent.

Bien entendu, strictement aucun des différents journalistes ayant participé aux campagnes de calomnies publiques des pervers notoires Pascal Edouard Cyprien Luraghi, Jean-Marc Donnadieu et Josette Brenterch à mon encontre n'a jamais jugé utile de me contacter pour recueillir ma version des faits alors que c'était pour eux extrêmement facile : mon premier blog était resté actif jusqu'au 11 juin 2013, ensuite il suffisait de passer par l'intermédiaire du juriste d'OverBlog qui lui était bien interviewé, puis j'ai toujours eu au moins un blog actif avec possibilité de me contacter à compter du 19 mars 2014.

Je rappelle à propos des procédures citées ci-dessous qu'elles avaient toutes été volontairement viciées par leurs auteurs pour m'interdire toute défense au fond. 

Dans l'Hérault, j'en avais été carrément écartée par les deux escrocs Jean-Marc Donnadieu et Philippe Desruelles de Béziers qui avaient bien mon identité depuis le début, et pour le premier l'affichait même sur différents sites, tout comme ses complices "déconnologues" de la bande du trafiquant de drogue, pédophile, cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ceci afin de m'empêcher de les contredire en leurs dénonciations calomnieuses à mon encontre. Aussi, c'est à bon droit que les magistrats du TGI de Béziers avaient rejeté ses demandes, d'abord en référé au mois d'avril 2011, puis dans la procédure au fond, l'obligeant à chaque fois à faire appel pour gagner contre OverBlog à Montpellier avec l'aide de magistrats qui avaient été achetés, tout comme ceux de Brest, où je m'étais trouvée confrontée à une coalition de magistrats et avocats tous achetés, y compris le mien, ce qui m'avait obligée à faire appel pour être enfin entièrement et définitivement relaxée à Rennes le 2 décembre 2015, une décision dont aucun média ne s'est jamais fait l'écho.

Les procès tous plus scandaleux les uns que les autres que mes harceleurs avaient décidé de me faire en 2010 à la suite de leurs monstrueuses campagnes de calomnies publiques nominatives ne s'étaient pas arrêtés là, ils ont toujours continué sur les mêmes principes de procédures abusives toutes viciées de manière à m'interdire toute défense au fond alors qu'à chaque fois j'étais outrageusement calomniée, accusée mensongèrement de faits délictueux que je n'avais pas commis.

La bande de cybercriminels du terroriste "islamiste", calomniateur et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi s'était ainsi lancée dans des harcèlements judiciaires venus doubler et renforcer tous leurs cyberharcèlements et campagnes de calomnies publiques nominatives à mon encontre, lesquels, bien évidemment, se poursuivaient aussi tambour battant dans le même temps, et n'ont à ce jour toujours pas cessé.

Pour mémoire : après la défaite de son complice Jean-Marc Donnadieu à Béziers au mois d'avril 2011, le criminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait reçu de tiers à ce jour non identifiés une somme d'argent tellement conséquente qu'estimant de ce fait qu'il n'aurait plus jamais aucun besoin de travailler pour vivre jusqu'à la fin de ses jours, il avait décidé de fermer définitivement son atelier de dépannage informatique au mois de mai 2011. Cet argent devait notamment lui servir, non pas pour s'offrir une armée d'avocats, mais pour acheter des magistrats à Brest et Montpellier afin d'assurer toutes les victoires judiciaires alors escomptées par sa bande de malfrats. Trois des magistrats brestois concernés sont depuis décédés de manière prématurée : François Dresen, substitut du procureur de la République, et Mathilde Boissy, juge d'instruction, chacun des suites de son cancer que l'on sait depuis longtemps provoquer, en août et octobre 2015, après avoir quitté la mafia brestoise à l'été 2013 pour le premier et à l'été 2012 pour la seconde, et le juge Raymond André, toujours demeuré à Brest, d'une maladie "foudroyante" en février 2019.

Je rappelle encore qu'en février 2011, ils avaient assassiné Patricia Bouchon à Bouloc car selon eux cette secrétaire d'un cabinet d'avocats toulousain menaçait de les dénoncer pour leurs exactions diverses à mon encontre, notamment les piratages informatiques.

Et à l'automne 2014, faisant fi de mon droit de lui présenter des observations, le juge brestois ultra-corrompu Pierre Jourdin s'était empressé de blanchir complètement le criminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi à sa demande pour toutes ses exactions à mon encontre, afin de pouvoir aussi le disculper en urgence pour l'assassinat de Patricia Bouchon qu'il avait bien commandité et organisé en 2011 pour les motifs que je viens de rappeler.

 

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PRESSE – MÉDIAS

 

 

2011/2012

Procès NEMROD34 vs OVERBLOG :

• Laurence Neuer, sur Le Point : CLIC
• Julien Vlassenbroek sur le site de la RTBF : CLIC
• Jean-Pierre Amarger dans Midi Libre le 19 janvier : CLIC (version papier)
• …et version en ligne (raccourcie par rapport à l’édition papier) : CLIC
• L’arrêt de la cour d’appel de Montpellier sur Juriscom : CLIC
• L’arrêt de la cour d’appel de Montpellier reconnu comme jurisprudence sur Legalis : CLIC 
• Le Chat de Shrödinger a publié un billet tout à fait impeccable sur notre histoire ici : CLIC …avec une suite non moins excellente publiée quelques jours plus tard et lisible ici : CLIC
• Sur Droit des NTIC : CLIC
• Sur le site de maître Alain Bensoussan : CLIC
• La Blonde qui dérange a publié un article-relais, censuré le lendemain de sa parution par le service juridique d’Overblog soudainement zélé ; après remaniement elle l’a remis en ligne ici le 28 décembre : CLIC (lien vers cette parge conservée sur Archive.org : on notera un intéressant − comique ? − droit de réponse du service juridique d’Overblog imposé à la Blonde). Le fil de discussion est à lire. Le 5 janvier elle publie un autre billet : CLIC qui n’est plus accessible, Jess ayant fermé son blog courant 2012 et cette page n’ayant pas été stockée sur Archive.org.
  

 

2013

Pour le second procès opposant Chepita (Josette) à X et Overblog :

• Steven Le Roy a publié dans le Télégramme de Brest un article relatant la première audience publique du procès opposant Chepita (Josette) à X le 11 avril 2013, ayant entraîné sa condamnation ainsi que celle d’Overblog. C’est lisible ici : CLIC.
• Legalis.net publie le jugement de Brest, assorti d’un article fort intéressant, ici : CLIC.
• Jurisexpert en parle : CLIC.
• Une blogueuse − Wendy − s’en indigne : CLIC.
• Marc Rees publie un article dédié à cette affaire sur PC Inpact : CLIC.
• Nicolas Poirier, juriste d’Overblog, est interviewé par PC Inpact : CLIC. Ses explications sont pour le moins… hallucinantes, quand on connaît la réalité de cette affaire. Les amalgames y sont grotesques et répugnants : Josette, qui est la seule victime concernée par le procès de Brest, y est assimilée à une bande de trolls et la comparaison que fait M. Poirier avec le cyber-harcèlement dont a été victime une adolescente sur ask.fm, est particulièrement odieuse. En effet : sur ask.fm la situation était exactement inverse, puisque les salauds qui ont harcelé la malheureuse victime étaient des anonymes, alors que dans notre cas nous étions parfaitement identifiés et… cibles d’un corbeau − par définition, anonyme − et n’avons fait que nous défendre de ses accusations délirantes et affreuses. Et puis les commentaires de Josette, évoqués par Nicolas Poirier dans cette tribune entièrement à charge et d’une mauvaise foi radicale, ont été jusqu’à preuve du contraire, d’une parfaite correction.
• Les Échos se fendent d’un long article traduisant assez bien le petit vent de panique soufflant sur les hébergeurs : CLIC.
• Maître Antony Bem décortique l’affaire sur son site : CLIC.
• Maîtres Virginie Bensoussan-Brulé et Julien Kahn donnent à lire leur point de vue allant à contre-courant de la pensée dominante, ce qui est très bienvenu dans le concert de la presse geek imbécile soutenant les hébergeurs peu scrupuleux sans discernement : CLIC.
• Le Monde du Droit abonde aussi dans le sens du jugement de Brest : CLIC
• La Quadrature du Net s’insurge avec une rare bêtise d’ados attardés sur « la censure privée » et cite le procès de Brest dans cet article publié le 15 janvier 2013 : CLIC. Cette stupidité bornée des hérauts de la liberté d’expression à outrance saute aux yeux en constatant qu’un site haineux d’ultra-droite republie ce même article ici : CLIC… ainsi qu’un des sites de libertariens des plus extrémistes − Contrepoints : CLIC et qu’un site ouvertement fasciste fait de même ici : CLIC.

 

2017

Pour le second procès NEMROD34 vs OVERBLOG

• Le magazine L’INFORMATICIEN a publié un bon petit résumé de l’affaire ici : CLIC. Un fichier pdf de cet article est disponible ici : CLIC
• Excellent article dans LES INFOSTRATÈGES : CLIC.  Un petit extrait :

Il n’est pas rare que les responsables de plateformes de blogs et autres hébergeurs de sites plus classiques se retranchent derrière le caractère « manifestement » illicite pour refuser de bouger dans tous les cas de figure, attendant prudemment que la justice intervienne, ce qui est un détournement des volontés de la loi quant à leur responsabilité alternative, loi qui n’est que la transposition de la directive européenne « commerce électronique ». Il est permis d’espérer que cette décision les fasse un peu réfléchir.