Avant ce jour, je l'avais déjà cité dans deux articles de ce blog, ceux-ci :
http://satanistique.blogspot.com/2015/12/comment-cyprien-luraghi-sest-moque-de.html
http://satanistique.blogspot.com/2020/01/pedophilie-les-psychiatres-concernes.html
Avec celui qui précède, cela fait donc trois.
Le voici :
http://satanistique.blogspot.com/2023/02/les-complotistes-tous-paranoiaques.html
Mais en fait, je l'avais déjà cité début septembre 2008 sur le site Rue89 dans la discussion sur le harcèlement moral en entreprise où j'avais brutalement perdu mon premier compte "existe", après m'être fait agresser par la riveraine "Pomponette75" dirigée sur sa cible par ses complices de la bande Luraghi la Lyonnaise pseudonymée "Hestia" et le Rennais anciennement Brestois Dominique Le Brun alias "Charles Mouloud", tous deux travailleurs sociaux, que j'avais déjà croisés sur cette même discussion, tandis que le malade mental et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui, à ce moment-là, boudait le site Rue89 depuis le mois de mai parce qu'il n'était pas autorisé par ses modérateurs à y diffamer et injurier qui il voulait comme il voulait, suivait attentivement tous nos échanges et le faisait savoir discrètement sur son propre blog.
La voici rapportée presque intégralement avec explications sur mon ancien blog "Un petit coucou" chez OverBlog, où je l'avais publiée en trois fois entre le 22 et le 23 avril 2011, soit juste avant le décès de Marie-France Pisier, morte dans des circonstances non élucidées à Saint-Cyr-sur-Mer le 24 avril 2011, alors qu'elle était aussi très concernée par la question de la pédophilie, comme on le sait depuis les révélations publiques de sa nièce Camille Kouchner au mois de janvier 2021 :
Cliquer sur les images pour les agrandir et lire les textes.
Il s'agissait donc d'un de mes tout derniers commentaires, concernant l'ancien psychiatre brestois Serge Rodallec, convaincu de pédophilie depuis plusieurs années et déjà condamné pour de tels actes. Il était alors en cavale depuis l'automne 2005 et sera retrouvé en Thaïlande sous une fausse identité au mois de janvier 2010.
Et voici mon ancien article de blog évoquant le 23 juin 2010 ma première rencontre avec Dominique Le Brun alias "Charles Mouloud", à propos de Serge Rodallec, qu'il avait bien connu à Brest lors de ses débuts comme éducateur spécialisé, ledit "Charles Mouloud" ayant été à l'initiative de cette brève discussion privée, et non l'inverse comme il le prétendra mensongèrement en juin 2010 sur le blog de son complice Luraghi :
Noter son commentaire du 24 juin 2010 à 13h05 sur cet article : les extrême-gauchistes de la bande Luraghi s'attaquaient aux victimes de harcèlement dans le travail car selon eux leur combat état celui, peu noble, de la "victimisation". La plupart des cibles de leurs cyberharcèlements en bande organisée se faisaient traiter de "fascistes". Ils ne supportaient pas non plus les féministes. Et nous, nous faisions de la "victimisation". Tous les harcelés dans le travail ne sont pas des lanceurs d'alerte (encore que... ils alertent toujours, a minima, sur des comportements inacceptables), mais tous les lanceurs d'alerte sont peu ou prou victimes de harcèlement moral. Qu'ils apprécient...
De façon secondaire, je serai aussi accusée d'avoir soi-disant "diffamé" Serge Rodallec pour avoir tout simplement posté dans certains de mes commentaires anonymes sur le site Rue89 des liens hypertextes menant vers les articles de la presse locale sur ses premiers procès de 2007.
Il s'avèrera lors de ses nouveaux procès de 2011 et 2012 que c'était bien lui, Serge Rodallec, qui se plaignait d'être "diffamé" par ces articles de presse et faisait donc relayer cette plainte par ses amis et complices de la bande Luraghi, dont Georges Cortez, Français originaire de l'Hérault installé en Thaïlande comme hôtelier et homme d'affaire depuis de nombreuses années, celui-là même qui m'avait très tôt menacée des foudres de son bon ami Frédéric Mitterrand et se vantait au mois d'octobre 2010 d'avoir organisé tous les harcèlements dont j'étais victime depuis le mois de février 2009.
N.B. : Dans l'émission de Frédéric Taddeï du 24 octobre 2007 où Alain Robbe-Grillet était invité pour parler de son dernier roman, il n'avait pas nommé le psychiatre brestois qui, l'ayant lu, avait conclu qu'il n'était pas pervers. Il l'avait seulement désigné comme étant LE grand psychiatre brestois. Aussi, j'ai supposé que c'était Jean-Jacques Kress, le père de la psychiatrie brestoise, mais éventuellement, il pourrait aussi s'agir de Michel Walter, qui est depuis très longtemps à la fois professeur de psychiatrie adulte à la faculté de médecine de Brest et chef des services de psychiatrie du CHU de Brest. C'est l'un ou l'autre, pas un troisième psychiatre brestois.
Par ailleurs, concernant cette émission dont je ne retrouvais plus aucune trace en 2020 et que je ne retrouve toujours pas aujourd'hui, je prie mon aimable lecteur de bien vouloir constater que je n'ai pas halluciné, elle existe bel et bien et est évoquée dans la fiche Wikipédia de Frédéric Taddeï comme ayant suscité des controverses :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fr%C3%A9d%C3%A9ric_Tadde%C3%AF
"En juin 2016, l'émission Ce soir (ou jamais !) s'arrête. Selon PureMédias, la cause en est des audiences faibles, 555 000 téléspectateurs en moyenne et 5,3 % de part d'audience, mais surtout parce que la chaîne veut créer « une nouvelle grande émission culturelle, plus moderne », qui serait nommée "Stupéfiant". PureMédias évoque aussi comme cause possible les controverses provoquées par l'émission, qui avait invité des « personnalités sulfureuses », par exemple Alain Soral, Tariq Ramadan, Marc-Edouard Nabe ou Alain Robbe-Grillet lors de la parution d'Un roman sentimental22,19. Mais selon Télérama, l'émission, diffusée tard le soir, « manquait de piquant », « avec un air de déjà-vu et des invités moins surprenants que dans le passé »23. En septembre 2016 et jusqu’en juin 2017, toujours sur France 2, Frédéric Taddeï présente, un mercredi par mois, une nouvelle émission héritière de Ce soir (ou jamais !), le magazine Hier, aujourd'hui, demain consacré aux idées19,24, où il passe en revue les meilleurs essais parus en librairie25."
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