Les victimes des attentats "islamistes" qui sont organisés par le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses complices cybercriminels sont presque toujours soigneusement choisies, même lorsqu'elles sont très nombreuses - il s'agit alors d'une catégorie d'individus qui se trouve visée.
Lorsqu'elles se comptent sur les doigts d'une main, les attaques correspondantes peuvent être en fait de vrais assassinats déguisés en attentats islamistes, comme par exemple pour les policiers de Magnanville le 13 juin 2016, très probablement désignés aux auteurs des faits par le malade mental Jean-Marc Donnadieu à cause d'un différend entre eux dans l'Hérault, ou bien encore Yvan Colonna le 2 mars 2022, très probablement désigné à son agresseur par le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi à défaut pour lui de pouvoir s'attaquer directement à son ami du FLNC Michel Ucciani, qu'il a toujours détesté depuis les années 1990 et encore plus depuis que celui-ci a rédigé et fait publier sa propre biographie, coupant ainsi l'herbe sous les pieds du malade mental prétendument écrivain qui s'amuse à refaire à sa convenance les bios de bien des individus qui ne lui ont jamais rien fait mais qu'il hait parce que d'une manière ou d'une autre ils le dérangent, généralement comme témoins gênants ou victimes encombrantes de ses exactions diverses et variées.
Il est encore probable que le boucher du Super U de Trèbes tué le 23 mars 2018 ait été désigné à l'auteur de cet attentat comme cible d'un assassinat de ce type.
Et je suis convaincue que c'est aussi le cas de l'informaticien Thierry Nivon, tué à Romans-sur-Isère le 4 mars 2020. Ses habitudes étaient connues et si de plus, comme pour moi et toutes les autres victimes du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, il était illégalement surveillé au moyen de piratages informatiques et d'écoutes illégales, éventuellement assortis de filatures, on savait très précisément où le trouver au moment où il a été tué, et toutes les conditions de ce meurtre ont pu être préméditées, planifiées.
Soutien à toutes les victimes de cet attentat et leurs familles qui veulent d'un procès au cours duquel elles pourraient voir l'auteur des faits s'expliquer ou a minima s'exprimer un peu à la barre.
Dans la mesure où ce dossier contient déjà deux expertises psychiatriques contradictoires, rappelons donc qu'en général elles ne valent pas grand-chose et que leurs résultats sont aussi très souvent commandés de manière occulte, jamais dans l'intérêt des victimes mais toujours au profit de criminels.
En l'occurrence, on sait depuis longtemps que le criminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi a de réguliers échanges avec des psychiatres de l'hôpital psychiatrique de Bohars, du CHU de Brest, depuis 2010 au moins, et qu'il en obtient tout ce qu'il veut, tout comme sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, plusieurs de ces psychiatres étant de toute façon de ses amis politiques de très longue date.
Attaque au couteau à Romans-sur-Isère : une troisième expertise psychiatrique ordonnée
Le Parquet national antiterroriste demande une troisième expertise psychiatrique d'Abdallah Ahmed Osman, l'assaillant lors de l'attaque au couteau qui a fait deux morts et cinq blessés le 4 avril 2020 à Romans-sur-Isère dans la Drôme. La dernière avait conclu à une abolition du discernement.
A Romans-sur-Isère, lors de la reconstitution de l'attentat du 4 avril 2020 © Radio France - Nathalie Rodrigues
Toute la question est de savoir si l'assaillant de l'attaque au couteau de Romans-sur-Isère en avril 2020 sera jugé ou non pour ses actes. Le Parquet national antiterroriste confirme avoir requis une troisième expertise psychiatrique. "Une expertise collégiale a effectivement été ordonnée par le magistrat instructeur" indique-t-il à France Bleu Drôme Ardèche. Les conclusions des psychiatres permettent de savoir s'il est accessible ou non à une sanction pénale.
Cette requête n'est pas forcément une surprise. La dernière expertise réalisée sur Abdallah Ahmed Osman en novembre dernier avait conclu à l'"abolition" de son discernement,
pouvant le rendre ainsi non responsable de ses actes pénalement si les
juges antiterroristes décidaient de retenir cette conclusion.
Elle
faisait suite à un première expertise en 2020 qui avait fait état d'une
altération du discernement, et non d'une abolition. Le réfugié soudanais
Abdallah Ahmed Osman a tué au couteau deux personnes, et en a blessé
cinq autres.
"C'est un espoir pour les parties civiles, d'autant plus que cet espoir est étayé par la première expertise" indique Me Guillaume Fort ce vendredi, "la première expertise a été réalisée juste après les faits terroristes. On peut la considérer comme plus probante. Il semblerait que les conclusions doivent être rendues avant le 15 juin 2023. Nous attendrons les résultats sereinement."
https://fr.wikipedia.org/wiki/Attentat_du_4_avril_2020_%C3%A0_Romans-sur-Is%C3%A8re
Attentat du 4 avril 2020 à Romans-sur-Isère
Attentat du 4 avril 2020 à Romans-sur-Isère | ||
Romans-sur-Isère | ||
Localisation | Romans-sur-Isère, Drôme, France | |
---|---|---|
Cible | Civils | |
Coordonnées | 45° 02′ 47″ nord, 5° 03′ 06″ est | |
Date | 10h45 (UTC+2) |
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Type | Attaque au couteau | |
Armes | Couteau | |
Morts | 2 | |
Blessés | 5 | |
Auteurs | Abdallah Ahmed-Osman | |
Mouvance | Terrorisme islamiste | |
Géolocalisation sur la carte : France
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L'attentat du 4 avril 2020 est un acte terroriste au couteau perpétré en France, le , dans le centre-ville de Romans-sur-Isère, tuant deux passants et en blessant cinq autres. L'auteur serait un réfugié soudanais, rapidement interpellé après les faits.
Faits
L'attaque a lieu durant la période de confinement en raison de la pandémie de Covid-19.
Le , vers 10 h 41, un homme entre dans le bureau de tabac « Le Flash » de la place Ernest-Gailly à Romans-sur-Isère où, muni d'un couteau, il agresse le couple gérant1. Le mari reçoit des coups de couteau à la poitrine et sur le flanc et sa femme aux bras et aux côtes. L'agresseur poursuit son chemin pour entrer dans la boucherie Breyton, cours Pierre-Didier, où il se saisit d'un couteau de boucher pour blesser mortellement un client, Thierry Nivon, au thorax1.
Sorti cours Pierre-Didier, il demande à un piéton s'il est maghrébin ; après que celui-ci lui a répondu qu’il est français, il le blesse en le poignardant dans le dos2. Il blesse ensuite un autre piéton dans le dos puis porte des coups de couteaux mortels au thorax et à l'abdomen de Julien Vinson alors que ce dernier ouvrait les volets de son habitation1,2. Il blesse ensuite un autre piéton au thorax et estomac et finit par une ultime agression boulevard Marx-Dormoy sur une passante en la poignardant à l'artère fémorale1. Ces attaques ont lieu sur une distance de 400 mètres et ont duré un temps total de 15 minutes1.
Enquête
Le jour même, le parquet national antiterroriste se saisit de l'affaire3,4. Le colocataire du suspect, un soudanais est placé en garde à vue. Puis le lendemain dans la matinée un troisième soudanais, également proche du suspect est placé en garde à vue. L'un d'eux avait vu Ahmed-Osman la veille de l'attaque, ce dernier se plaignait du confinement et avait peur d'avoir le coronavirus5.
Le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner se déplace le jour même des faits à Romans-sur-Isère à la rencontre du maire de la ville Marie-Hélène Thoraval, du préfet de la Drôme Hugues Moutouh, du directeur départemental de la sécurité publique Noël Fayet et du procureur de Valence Alex Perrin pour un état des lieux. Le Ministre qualifie aussitôt ce fait de « parcours terroriste » et salue le courage des équipages de police ayant intercepté Abdallah Ahmed-Osman6.
Suspect
Abdallah Ahmed-Osman | |
Terroriste islamiste | |
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Information | |
Nom de naissance | Abdallah Ahmed-Osman |
Naissance | Tendelti (Soudan) |
Nationalité | Soudanais |
Idéologie | Salafisme djihadiste |
Sexe | Masculin |
Actions criminelles | Attentat |
Attentats | Attentat de Romans-sur-Isère |
Victimes | 2 morts et 5 blessés |
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Le suspect, Abdallah Ahmed-Osman, inconnu des services de renseignement7, est un réfugié soudanais âgé de 33 ans, né le à Tendelti au Soudan7. Il a obtenu le statut de réfugié le et un titre de séjour de dix ans cette même année8 délivré par la préfecture de l'Isère5. Il est marié sans enfant avec une Soudanaise restée au pays9 et est de confession musulmane10. Interrogée après l'attaque, la maire de Romans-sur-Isère indique qu'elle ne savait pas que l'assaillant était présent sur le territoire de sa commune11. Avant de s'installer en fin d'année 2019 à Romans-sur-Isère dans un logement loué par l'association « Diaconat protestant »12, il est arrivé dans le département de la Drôme en juin 2018 et a vécu à Moras-en-Valloire10 de septembre 2018 à janvier 2020 où il avait un contrat de professionnalisation via l'Afpa de Romans dans une entreprise de maroquinerie13 dénommée Veyret Techniques Découpe où Ahmed-Osman est passé d'intérim à un contrat CDD et devait obtenir un CDI prochainement14.
Motivation terroriste
Le suspect aurait crié « Allah Akbar » au moment de lancer son agression15. Lors de son arrestation, selon des témoins arabophones, il se serait mis à genoux et aurait récité la profession de foi des musulmans : « il n’est de Dieu que Dieu et Mahomet est son prophète »16. L’enquête retient rapidement la qualification d'attentat terroriste à caractère religieux. Le parquet anti terroriste souligne notamment que la perquisition effectuée au domicile du suspect a révélé des notes manuscrites en arabe dans lesquelles il « se plaint de vivre dans un pays de mécréants »17. Les enquêteurs mettent également la main sur cinq portables5. Le 8 avril, Abdallah Ahmed-Osman est mis en examen pour « assassinats et tentatives d'assassinats en relation avec une entreprise terroriste »18,19.
Conséquences
La maire de Romans, Marie-Hélène Thoraval, dénonce l'opacité de l'accueil des migrants et « demande au gouvernement et au représentant de l'État dans la Drôme que les maires puissent être informés des projets d'installations de migrants sur leur territoire communal », déplorant qu'au lendemain du drame « six mineurs non accompagnés d'origine africaine n'étaient pas en règle au niveau de leurs attestations bien que logés au centre-ville » et « que certains ne parlent même pas français et soient livrés à eux-mêmes »20. Des associations liées à l'accueil des migrants réagissent par un communiqué rappelant au maire d'éviter les amalgames12.
Les habitants de la ville déplorent toutefois que cet attentat, survenu au début du confinement, ait été trop vite oublié21.
Victimes
Il y a deux morts et cinq blessés22, dont deux toujours en soins intensifs au lendemain de l'attaque23.
Nom | Situation | Âge | Infos | Sources |
---|---|---|---|---|
Thierry Nivon | Décédé | 55 ans | Ingénieur informatique, il est tué alors qu'il faisait ses courses à la boucherie. | 24,25 |
Julien Vinson | Décédé | 44 ans | Copropriétaire du café-théâtre « La Charette » à Romans, il est tué devant son fils de douze ans. | 25 |
Serge Fournier | Blessé | 65 ans | Buraliste à Romans. Gravement blessé. | 25,26 |
Ghislaine A. | Blessée | 49 ans | Buraliste à Romans. | 25,26 |
Abdellak M. | Blessé | 59 ans | Blessé dans le dos. | 25,26 |
Jean-François S. | Blessé | 63 ans | Travaille dans la soudure et l'électricité. Victime d'une perforation du poumon. | 25,26 |
Emmanuelle Blachon | Blessée | 48 ans | Professeure de sport, blessée à la cuisse. | 27 |
Notes et références
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