De mon côté, j'ai surtout vu comme complices de terroristes islamistes, des magistrats et des avocats, notamment ceux de Brest, ainsi que des journalistes, par exemple Hélène Sergent de 20minutes.fr qui en début d'année 2019 avait donné un sérieux coup de pouce à une reprise des attentats islamistes organisés par le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi en publiant son soi-disant "témoignage de victime de cyberharcèlements", les miens, en vérité entièrement mensonger, à seule fin de lui redonner un crédit de "victime" d'une soi-disant "folle", moi, crédit qui s'était très sérieusement étiolé après qu'il eut définitivement perdu le 11 avril 2018 le procès qu'il m'avait fait à Paris à compter de 2016.
Rappelons que cette année 2016, celle des débuts prometteurs de ce procès pour son auteur, fut riche en attentats, tous liés à cette procédure. Il y eut notamment la grande fête de Nice du 14 juillet 2016 pour célébrer l'assignation à comparaître qui venait de m'être délivrée le 12 juillet 2016, puis plusieurs attentats ratés ou déjoués du côté de l'île de la Cité où nous avions rendez-vous une première fois en septembre, puis en novembre pour plaider en première instance, après que l'avocat du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi eut obtenu un renvoi, le temps pour lui de répondre à une partie de mes arguments de la première audience - il espérait me faire condamner sans même un constat d'huissier pour quoi que ce soit alors que je me présentais, moi qui étais totalement seule, sans même l'assistance d'un avocat, face à une bonne dizaine de "déconnologues" venus là pour m'intimider, avec tous les éléments de preuve nécessaires, constats d'huissier y compris, pour obtenir une condamnation de leur chef le cyberharceleur Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Les résultats de ce premier round du terroriste islamiste Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de son avocat spécialisé Romain Darrière contre une soi-disant "folle" "cyberharceleuse" qui était venue se défendre seule, sans avocat, et dont ils pensaient ne faire qu'une bouchée, fut leur défaite en janvier 2017. Le terroriste en chef en avait déjà perdu de sa crédibilité, ce qui avait bien calmé ses ouailles. Et l'annulation de toute sa procédure en appel en avril 2018 - qui eut également pour conséquence que mes demandes en réplique contre le cyberharceleur ne pouvaient plus être examinées - n'avait pas arrangé son image publique.
En début d'année 2019, il cherchait donc à se refaire une santé et avait bénéficié de l'aide de cette journaliste de 20minutes.fr.
Non seulement elle avait accepté de publier son faux témoignage, en me refusant catégoriquement tout droit de réponse comme tout commentaire sur sa publication, alors qu'elle acceptait sans problème des menaces de mort à mon encontre, mais elle lui avait également conseillé de s'inscrire sur Twitter pour y mener ses campagnes de calomnies habituelles à mon encontre, afin de pouvoir y recruter de nouveaux complices.
Cette journaliste a quitté 20minutes.fr le 6 septembre 2022 au soir selon l'annonce qu'elle avait faite elle-même sur Twitter à cette date et semble depuis toujours à la recherche d'un nouvel emploi.
Voir ici :
https://twitter.com/helenesergent/with_replies
Et là :
https://fr.linkedin.com/in/hsergent
Elle a été domiciliée à Soisy-sous-Montmorency dans le Val d'Oise où elle se trouve peut-être toujours et a eu une entreprise répertoriée dans le secteur d'activité de la programmation informatique créée le 4 juin 2011 et fermée le 31 janvier 2012 :
https://viadeo.journaldunet.com/p/helene-sergent-1404425
https://www.societe.com/etablissement/madame-helene-sergent-53345114200012.html
Et curieusement, il y a quelques minutes, avant que je ne commence à rédiger tout ce qui précède, on en trouvait encore sur Internet une photographie dans son bureau montrant que le fond d'écran de son ordinateur était un portrait de Jawad Bendaoud, l'hébergeur de terroristes de novembre 2015 - là, je ne la retrouve déjà plus nulle part, comme quoi je suis toujours hypersurveillée au moyen de piratages informatiques par le terroriste en chef et ai encore manqué de réflexe : je devrais systématiquement bondir sur ce genre de perle avec mon outil de capture d'écran quand j'en trouve.
Twitter a été accusé mercredi devant la Cour suprême des Etats-Unis de fermer les yeux sur les agissements en ligne de l’Etat islamique (EI). Le tribunal doit décider si le réseau social peut être poursuivi en justice pour complicité en cas d’actes de terrorisme.
«Il y a ici une accusation d’aveuglement délibéré. Vous saviez que l’EI utilisait votre plateforme», a noté la juge Sonia Sotomayor, s’adressant à l’avocat représentant le réseau social. Les neuf juges de l’instance se sont saisis d’une plainte déposée par les proches d’une victime d’une attaque de l’EI dans une discothèque d’Istanbul en 2017.
Selon la famille, Twitter est complice de cet acte de terrorisme pour n’avoir pas retiré des tweets du groupe islamiste terroriste ni cessé de recommander ces messages, via des algorithmes automatisés. La plateforme américaine assure de son côté qu’être un service utilisé par des dizaines de millions de personnes dans le monde ne prouve pas qu’elle «aide en connaissance de cause» des groupes terroristes.
Une loi de 1996 qui défend les hébergeurs de contenu
Mardi, une audience sur une question similaire a eu lieu: la famille d’une victime des attentats terroristes de 2015 à Paris accuse YouTube (filiale de Google) d’avoir soutenu la croissance de l’EI en suggérant des vidéos du groupe à certains utilisateurs.
Au cœur des deux plaintes se trouve la «section 230», une loi de 1996 qui confère une immunité judiciaire aux entreprises numériques pour les contenus mis en ligne par les internautes sur leurs plateformes. Les grandes entreprises du secteur défendent bec et ongles ce statut d’hébergeurs – et non d’éditeurs – qui a selon elles permis l’avènement d’Internet tel qu’il a pris forme.
Les juges de la Cour suprême ont exprimé mardi leurs doutes sur la pertinence de la section 230 aujourd’hui, mais aussi leur réticence à influencer le sort d’une loi devenue fondamentale pour l’économie numérique. Mercredi, ils ont formulé de nombreuses hypothèses pour déterminer comment les plateformes pourraient être tenues complices d’actes de terrorisme. La Cour doit rendre les deux décisions avant le 30 juin.
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