Elles se suivent et se ressemblent. Qu’il s’agisse de Josette Brenterch soutenant qu’elle ne « dénonce » (calomnieusement) personne de chez personne, sauf les rentiers, bien entendu (et pour elle, bénéficiaires d’allocations de chômage, de pensions d’invalidité ou autres en sont tous), ou de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi se déclarant régulièrement contre la violence, sauf quand il s’agit de sauver sa peau à tout prix, évidemment (mais quiconque lui fait de l’ombre, pourrait limiter toutes les libertés qu’il s’octroie aux dépens d’autrui ou le dérange de toute autre manière le met immédiatement en danger de mort selon les estimations très personnelles du psychopathe), ce sont toujours les mêmes…
Avant d’offrir au lecteur le dernier numéro public sur ce thème du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dans ses commentaires sur le site Rue89 comme bien souvent, rappelons donc ceux-ci dont il fut également l’auteur en 2009 :
à Hulk_ De Cyp_
Kondukator Cosmoplanétaire | 00H12 | 22/03/2009 |
J’ai fait ça, et pas qu’une seule fois : mais je n’initie jamais le délire ; je prends le train en marche ou alors je papote sur des fils totalement déserts.
Sauf chez Serraf : mais là c’est normal.
[rajouti]
C’est dur pour lui la vie. OK, mais c’est lui qui l’a voulu. Je n’accorde jamais la moindre excuse à ceux qui se font chier dans la vie. Je suis d’une cruauté sans borne à leur égard.
Quelle que soit sa condition sociale, son milieu familial et tout le reste, se faire la vie belle est une question de choix, de détermination, de tripe et de couilles. Même pour les filles.
2 votes
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Cyp’ le 30/08/2009 à 12:12
@ les RG :
Je préfère écrabouiller les folles furieuses qui se jettent sous les roues de ma bagnoles alors que je roule pépère sur la départementale, plutôt qu’aller me frotter aux CRS ou planter ma caisse dans un platane pour éviter ces cinglées.
D’ailleurs, vous faites plaisir aux CRS, quand vous manifestez : c’est grâce à vous qu’ils peuvent écouter Sardou et payer les traites de leur pavillon Phénix ultra-moche.
Sans vous, ils n’existeraient pas et le monde serait plus sympathique.
Vroum !
http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2016/04/21/fait-defend-frederic-lordon-263817
Au fait, que défend Frédéric Lordon ?
Economiste et philosophe, Frédéric Lordon est abondamment cité par le mouvement « Nuit debout ». On a sélectionné les meilleurs textes et vidéos disponibles en ligne pour vous familiariser avec ses idées.
Par Claire Richard Journaliste. Publié le 21/04/2016 à 11h09
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Commentaires postés
Publié le 21/04/2016 à 13h00
« Nous ne revendiquons rien. Entendez qu’après quelques décennies à
faire, vous et vos semblables, la démonstration de vos talents et de
votre hauteur de vue, l’idée de négocier quoi que ce soit avec vous nous
apparaît absolument sans objet. »
Ça c’est envoyé ! En plus ça rappelle un langage et des attitudes de contestations radicales du temps ou c’était mieux avant. : -)
Ça c’est envoyé ! En plus ça rappelle un langage et des attitudes de contestations radicales du temps ou c’était mieux avant. : -)
2 réponses
Publié le 21/04/2016 à 14h11
J’m’en fous de tout ça. Com-plè-te-ment.
1 réponse
Publié le 21/04/2016 à 15h55
Plus d’espoir ? Plus aucun ?
1 réponse
Publié le 21/04/2016 à 17h11
2 réponses
Publié le 21/04/2016 à 18h22
Lapin_à_Gilles
séparation du médef et de l’Etat.
répond à Itzig Finkelstein
’’ Les enfants croient au Père Noël, les adultes votent ’’
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- 2
1 réponse
Publié le 21/04/2016 à 18h34
Itzig Finkelstein
génocidé
répond à Lapin_à_Gilles
Ni père Noël, ni père fouettard : no vote !
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- 2
1 réponse
Publié le 21/04/2016 à 19h23
Lapin_à_Gilles
séparation du médef et de l’Etat.
répond à Itzig Finkelstein
Turellement, si il y a Père Noel, il y a père fouettard…
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- 1
Publié le 21/04/2016 à 18h36
Ouais ! Un père Noël armé d’un lance-flammes qui foutra le feu aux
banques, à la bourse et à tous ces capitalistes de merdre ! Allons, y a
du boulot en perspective !
1 réponse
Publié le 21/04/2016 à 18h40
Vous savez : il y a les fantasmes et puis il y a la réalité. Qui
jusqu’à preuve du contraire a toujours été sordide et sanglante. La
violence n’est pas mon fort et elle me répugne.
1 réponse
Publié le 21/04/2016 à 19h18
J’appellerais alors fantasme la recherche désespérée de solutions
face à la violence imposée par le système. Oui, le sordide et le
sanglant font partie (naturellement ?) de notre histoire. Mais comment
répondre à une violence infiniment plus perverse et efficace (d’autant
plus qu’elle ne s’impose pas par des divisions blindés, mais par des
attraits de la société dite de consommation) ? Par la non-violence ?
Cela tarabuste le vieux con de 83 balais que je suis et qui n’accepte
pas de se résigner.
1 réponse
Publié le 21/04/2016 à 19h36
Ah ben c’est-à-dire que je suis un objecteur de conscience et ça ne
sert à rien de tenter de convaincre un objecteur des supposés mérites de
la violence. C’est sans doute ringard comme attitude − en mon temps
nous n’étions que 500 pour 250 000 bidasses appelés − mais c’est comme
ça et pas autrement.
Donc j’assiste au spectacle et puis c’est tout. Les bains de sang révolutionnaires ou autres : non merci. On voit que ce ça a donné partout sur la planète et à toutes les époques : jamais le moindre progrès humain, bien au contraire.
Donc j’assiste au spectacle et puis c’est tout. Les bains de sang révolutionnaires ou autres : non merci. On voit que ce ça a donné partout sur la planète et à toutes les époques : jamais le moindre progrès humain, bien au contraire.
5 réponses
Publié le 21/04/2016 à 20h26
« nous n’étions que 500 pour 250 000 bidasses appelés »
Il y avait donc une très large majorité de jeunes hommes prêts à servir leur pays. A l’époque, il n’y avait vraiment pas de quoi critiquer la jeunesse.
Il y avait donc une très large majorité de jeunes hommes prêts à servir leur pays. A l’époque, il n’y avait vraiment pas de quoi critiquer la jeunesse.
Publié le 21/04/2016 à 20h47
Je ne cherche en rien vous convaincre. La violence en soi me fait
horreur. J’ai été rappelé au Maroc en 1955. J’avais décidé, en cas
d’affrontement, de tirer largement au-dessus. Mais si j’avais eu en face
de moi quelqu’un qui avait l’intention de me tuer, j’aurais pensé
d’abord à ma propre peau.
1 réponse
Publié le 21/04/2016 à 20h50
Défendre sa peau à tout prix est tout à fait honorable, évidemment ; -)
Publié le 21/04/2016 à 20h56
Perso je n’ai pas été objecteur de façon frontale mais me suis fait astucieusement réformer, le résultat est le même.
L’objection de conscience j’étais totalement pour, car la conscription obligatoire est le premier crime de la république origine de moult crimes pendant 2 sciecles qui la dévalorise complêtement .
Et j’avoue avoir lu avec bonheur l’histoire vraie d’un mec de ma famille héros de la chouannerie ayant liquidé un nombre incroyable de bleus.
Car la conscription c’est sortir des gamins de leur petit univers pour en faire des criminels.
Votre objection directe vous honore.
L’objection de conscience j’étais totalement pour, car la conscription obligatoire est le premier crime de la république origine de moult crimes pendant 2 sciecles qui la dévalorise complêtement .
Et j’avoue avoir lu avec bonheur l’histoire vraie d’un mec de ma famille héros de la chouannerie ayant liquidé un nombre incroyable de bleus.
Car la conscription c’est sortir des gamins de leur petit univers pour en faire des criminels.
Votre objection directe vous honore.
1 réponse
Publié le 21/04/2016 à 21h03
Je n’ai pas la fibre patriote et encore moins belliqueuse : enfiler
la tenue kaki des donneurs de mort et obéir à leurs chefs : plutôt
crever.
Publié le 21/04/2016 à 21h49
Mourir pour des idées
L’idée est excellente ..
L’idée est excellente ..
1 réponse
Publié le 22/04/2016 à 09h43
1 réponse
Publié le 22/04/2016 à 09h51
Celle la et « les deux oncles » ce sont peut être mes préférées à moi par contre . : -)
1 réponse
Publié le 22/04/2016 à 10h45
Publié le 22/04/2016 à 10h21
1 réponse
Publié le 22/04/2016 à 10h49
(Il a dû écrire ça en prophétisant l’existence des tueurs daeshiés)
O vous, les boutefeux, ô vous les bons apôtres
Mourez donc les premiers, nous vous cédons le pas
Mais de grâce, morbleu ! laissez vivre les autres !
O vous, les boutefeux, ô vous les bons apôtres
Mourez donc les premiers, nous vous cédons le pas
Mais de grâce, morbleu ! laissez vivre les autres !
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