Le nom de Gérard Larcher a encore une fois circulé pour le poste de Premier ministre ces derniers temps.
Il a dit préférer le Sénat.
Où en sont actuellement ses affaires de sextape et autres ?
Avec une vraie prostituée et pas une fausse.
Je rappelle que dans certains cénacles, comprenant de nombreux politiciens et magistrats, même des femmes, une femme ingénieure est nécessairement une prostituée car "les femmes n'ont pas l'intelligence pour être ingénieurs" (sic).
Propos du malade mental évoqué dans cet article du 11 juillet dernier :
http://satanistique.blogspot.com/2024/07/janssen-cie-levallois-perret-seine-1905.html
Et aussi : "Il faudrait être fou pour confier des responsabilités à une femme", etc, etc... et bien pire encore.
Même profil psychologique que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi : ayant quitté l'école très jeune en situation d'échec scolaire, il réussit à un moment donné à se faire embaucher pour travailler dans une salle d'exploitation informatique à une époque où les machines étaient toujours alimentées par cartes perforées et nécessitaient une main d'oeuvre importante pour performer; se prétendant déjà programmeur, ce qu'à l'évidence il n'était pas, il tentera par la suite, à trois reprises, de suivre le stage Control Data de six mois pour devenir programmeur, mais se fera recaler à chaque fois aux tests d'entrée en stage; il en déduira que les tests psychotechniques ne valent guère mieux que les diplômes qui l'ont également toujours rejeté alors qu'il s'estime supérieurement intelligent (c'est un débile profond). Il fait partie de toux ceux qui à défaut de pouvoir poursuivre dans la programmation sont devenus "technico-commerciaux" à la suite de réductions d'effectifs en salles d'exploitation, les machines ayant évolué. Pour lui, dans une société du groupe Cap qui n'a pas tardé à le virer pour "perversité excessive". En effet, il prenait vraiment son pied à massacrer les vrais informaticiens (dont il n'a jamais été), particulièrement les diplômés, en s'acharnant sur eux jusqu'à les conduire au suicide, et ce n'était quand même pas tout à fait ce que sa hiérarchie attendait de lui. Ensuite, ils s'est mis au service de mafieux notoires.
Il s'agit donc d'une pourriture qui était déjà très connue dans le milieu informaticien pour ce qu'elle était vraiment quand elle m'est tombée dessus. Idem Luraghi : sa mythomanie n'échappait à personne quand j'ai commencé à porter plainte contre lui en 2010, mais les magistrats bretons tous corrompus ont fait le choix de le suivre en tous ses délires et inventions calomnieuses à mon encontre. C'était déjà pareil pour l'autre, encore un grand complice de la criminelle et mère maquerelle Josette Brenterch du NPA de Brest.
Lire ou relire à propos de la sextape du Sénat :
http://satanistique.blogspot.com/2024/02/affaire-de-la-sextape-du-senat-dautres.html
Les toutes dernières informations concernant la sextape ou les vidéos associées portent sur l'ouverture d'une enquête et le licenciement pour "faute" de la secrétaire davantage prostituée que secrétaire :
Chantage à la sextape : enquête sur les deux vidéos qui font trembler le Sénat
Source : TF1 Info
Depuis plusieurs semaines, la vénérable institution du Sénat est secouée par une affaire de chantage à la vidéo intime.Une
salariée de la Haute assemblée aurait enregistré et filmé à son insu un
influent sénateur, avant de tenter de monnayer ces images.Regardez cette enquête du 20H de TF1.
Il semble bien que le sujet dérange. Au Sénat, dès qu'on évoque l'affaire des vidéos dites compromettantes, les regards se font fuyants, tandis que ceux qui s'expriment sont embarrassés. "Oui, on en parle forcément. C'est vrai qu'on a tous été un peu choqués. Certains étaient au courant", admet Jean Hingray, sénateur Les Centristes des Vosges, dans le reportage du 20H de TF1 ci-dessus. La cause de ce malaise : deux vidéos compromettantes, deux extraits que TF1 a pu visionner.
Dans
le premier, un sénateur apparaît déshabillé dans son bureau. Il
reboutonne sa chemise. Face à lui, une femme, téléphone à l'oreille,
pointe l'objectif vers l'élu. On l'entend laisser un message vocal à
celle qui semble être sa fille. Est-ce une ruse pour filmer l'homme à
son insu ? L'extrait dure près d'1 minute 30. Quant à la deuxième vidéo,
l'homme apparaît nu sur son lit. La voix de la personne qui filme est
similaire à celle entendue sur le premier enregistrement.
De nombreux avantages
Cette femme, une secrétaire médicale du Sénat, aurait filmé l'homme pour le faire chanter. C'est ce qu'affirme l'ancien médecin du Sénat, licencié pour avoir, selon lui, dévoilé l'existence des vidéos. Il l'assure, cette femme se vantait de détenir ses enregistrements. "Elle me dit : 'vous savez, moi, ici, je suis intouchable. Avec ça - pour que vous en soyez bien persuadé, je vous l'envoie - j'ai été dans une toute puissance'", raconte-t-il. Selon le médecin, ce chantage aurait fonctionné. La secrétaire aurait obtenu de nombreux avantages.
TF1 a pu prendre connaissance de ses différents contrats et salaires ces quatre dernières années. Premier fait notable : la transformation de son CDD en CDI arrive bien avant la fin de son contrat. Une décision étonnante, selon une source proche du dossier qui souligne que "ce n'est pas monnaie courante au Sénat". Selon le médecin, ce changement aurait été imposé par le haut responsable du Sénat, filmé à son insu. "Il me demande s'il ne serait pas opportun de demander un passage en contrat à durée indéterminée de cette fameuse secrétaire", poursuit le médecin.
Par la voix de son entourage, le sénateur réfute cette accusation. Selon le médecin, la secrétaire aurait aussi obtenu de nombreuses augmentations. Entre février 2021 et juillet 2023, son salaire est bien passé d'environ 1600 euros à près de 2400 euros net, soit +50 % en deux ans et demi. Si certaines revalorisations obtenues sont liées au point d'indice et donc automatiques, d'autres ont été validées par la questure, c'est-à-dire la Direction administrative et financière du Sénat, un groupe de trois sénateurs auquel appartenait, il y a peu encore, l'homme présent sur les vidéos.
Selon les propos de son entourage, il estime avoir été l'objet d'une lamentable manipulation, mais nie toute forme de chantage. TF1 a pu joindre une source au Sénat qui souhaite rester anonyme. Selon elle, la secrétaire médicale se vantait de ses augmentations. "Elle me disait : 'ouais, t'y crois pas, je les ai bien eus !' Elle a réussi à berner tout le monde", précise cette source. La secrétaire n'a pas répondu à nos sollicitations. Le médecin, lui, a été licencié quelques mois après avoir, selon lui, signalé l'existence de ces vidéos. Il s'estime victime d'une chasse à l'homme.
Le Sénat, de son côté, justifie sa décision par le motif suivant : "Il est apparu que le médecin avait fait le choix de pratiquer, sans en informer sa hiérarchie, une activité professionnelle parallèle". Suite aux signalements du Sénat, une enquête a notamment été ouverte pour transmission de l'image d'une personne présentant un caractère sexuel.
Sextape du Sénat : la maître chanteuse présumée licenciée, nos dernières révélations
INFO PARIS MATCH. La secrétaire médicale qui avait filmé un sénateur dans son bureau, dans une vidéo compromettante, vient d’être licenciée par le Sénat pour « faute ». Paris Match révèle par ailleurs d’invraisemblables errements au sein de l’institution, en lien avec cette affaire…
Passé le souffle de la déflagration, la sidération, puis les enseignements ?
En février dernier, le Canard enchaîné révélait l’existence d’une « sextape », une vidéo compromettante, tournée en 2021 par une secrétaire médicale du Sénat dans le bureau d’un sénateur alors influent. Vidéo tournée à l’insu du parlementaire en question et que la femme, âgée d’une soixantaine d’années, aurait utilisée pour obtenir une augmentation. Paris Match avait alors pu visionner et authentifier les images.
Trois...
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