Claude Janssen, fils et petit-fils de carrossiers, a conservé une activité dans l'automobile jusqu'en 1970.
"Carrossier de qualité depuis toujours, Janssen est devenu de plus en plus étroitement lié à Panhard après la Première Guerre Mondiale, et leurs liens avec cette grande entreprise leur ont permis de mieux résister à la dépression que beaucoup de leurs contemporains. Leurs dernières carrosseries furent des limousines et des cabriolets sur châssis CS et DS en 1937. L'arrivée de la construction intégrale Dynamic de Panhard signifiait qu'il n'y avait plus besoin du travail de Janssen. Claude Janssen s'est ensuite associé à Binder pour distribuer les voitures de General Motors en France. En 1970, désormais directeur général de la Banque Worms, il vend Binder & Janssen à Christian Vilaseca, futur directeur général de Jaguar France."
Le 29 mars 1926, les Janssen de Levallois-Perret et Paris avaient ouvert une succursale à La Madeleine, près de Lille, dans le Nord, où se retrouvaient dès lors plusieurs membres de la famille, comme nous l'avons vu avec l'établissement de leur généalogie :
http://satanistique.blogspot.com/2024/07/claude-janssen-banquier-francais-fils.html
A noter : mes anciens employeurs mafieux bénéficiaient d'un relationnel leur ayant permis de tenter de me vendre chez Panhard & Levassor (qui ne fabriquait plus que des chars depuis très longtemps) à une époque où ils avaient décidé de me faire embaucher directement par un de leurs clients, mais obligatoirement pour un poste très en dessous de mes compétences, si bien que toutes ces tentatives avaient tourné court du fait de mon profil surdimensionné pour les postes envisagés. Certains en avaient aussi à pourvoir qui correspondaient à mes compétences, mais là, c'est mon employeur mafieux et harceleur qui refusait sans même m'en parler et je ne l'apprendrai que plus tard en discutant avec les DRH concernés. Ce malade mental ne m'avait de toute façon jamais demandé mon avis pour rien alors que la discussion est théoriquement au programme des relations employeur-salarié en SSII encore plus qu'ailleurs. En outre, il avait signifié mensongèrement à ces DRH que c'était moi qui refusais leurs propositions d'embauche. Et ensuite, naturellement, il m'avait accusée d'avoir saboté tous ces entretiens d'embauche alors que j'avais bien joué le jeu tout à fait normalement, et toutes les sociétés ainsi démarchées, dont Panhard & Levassor, avaient accepté d'en témoigner en ma faveur et contre lui en toute connaissance de cause, comme d'ailleurs tous mes autres clients, dont aucun n'a jamais témoigné pour mon employeur.
La preuve que ce n'est pas moi qui mens mais la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous ses complices, magistrats corrompus et autres "déconnologues", dont le pédocriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui en 2003 s'était fait offrir la maison de Puy-l'Evêque qu'il occupe toujours aujourd'hui comme propriétaire par le conservateur en chef du patrimoine du château de Malmaison, celui de Joséphine de Beauharnais, Alain Pougetoux, ami de tous les autres spécialistes de Napoléon Bonaparte, parmi lesquels le pédocriminel de la rue du Bac Jean-François Lemaire, ami intime de Claude Janssen :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Panhard
Panhard
Dates clés | 1965 : Fusion avec Citroën 1967 : fin de l'activité civile 2005 : rachat de Panhard par Auverland et création de Panhard General Defense 2012 : rachat par Renault Trucks Defense, renommé « Panhard Defense » |
---|---|
Disparition | 2018 |
Fondateurs | René Panhard et Émile Levassor |
Personnages clés | René Panhard, Émile Levassor Hippolyte Panhard Paul Panhard |
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Forme juridique | Société par actions |
Siège social | Marolles-en-Hurepoix |
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France |
|
Direction | Christian Mons |
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Actionnaires | Arquus |
Activité | Automobile ; véhicule militaire |
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Produits | petit véhicule protégé (PVP), le VBL |
Société mère | Arquus |
Effectif | ~ 300 en 2012 |
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Site web | www.panhard-defense.fr |
Chiffre d'affaires | 100 millions d'euro (2010)1 81 millions d'euro (2012) |
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modifier - modifier le code - voir Wikidata |
Panhard & Levassor est le constructeur automobile français (à moteur à explosion) le plus ancien, surnommé « la doyenne des marques », créée en 1891, dont l'activité civile a été arrêtée en 1967, après sa reprise par Citroën. L'entreprise poursuit la production des véhicules militaires, essentiellement des blindés légers 4 × 4, produits en France dans deux usines à Marolles-en-Hurepoix (Essonne) et Saint-Germain-Laval (Loire). Prenant le nom de Panhard Defense en 2012, elle est rachetée par Renault Trucks Defense et absorbée par Arquus en 2018.
Histoire de Panhard & Levassor
Vers 1800, le Breton François-René Panhard2 vint à Paris travailler comme sellier, puis comme carrossier. Son fils Adrien Panhard développa les affaires et se lança, avec succès, dans la location de voitures hippomobiles.
Le fils d'Adrien, René Panhard, fit l'École centrale de 1861 à 18643 et entra comme cadre à la Société Perin, machines à bois.
Jules Périn, découpeur de bois chez les Meubliers du Faubourg, déposa, en 1845, le brevet d'un guide-lame de scie, et devint fabricant de machines à bois de divers types : scies, dégauchisseuses, mortaiseuses… En 1867, Perin s'associa avec René Panhard, pour fonder la Perin, Panhard & Cie.
René Panhard fit appel, en 1872, à l'ingénieur Émile Levassor, son condisciple de l'École centrale, qui devient actionnaire de la Périn, Panhard & Cie à 10 %4. Ils s'intéressèrent aux moteurs à gaz à partir de 1875 et leur production en série débuta l'année suivante. Le représentant pour la France des moteurs à pétrole Gottlieb Daimler, Édouard Sarazin, entra en contact avec Émile Levassor. Ce dernier épousa, en 1890, la veuve d'Édouard Sarazin et commença la production sous licence des moteurs Daimler puis la construction de voitures à pétrole. En 1886, à la mort de Jules Perin, Emile Levassor entre dans le capital de l'entreprise, qui prend une nouvelle raison sociale : « Panhard & Levassor ».
Le , Levassor écrit à Gottlieb Daimler en lui demandant de venir le rejoindre à Paris, pour voir la voiture à quatre places qu'il venait de mettre au point et le quadricycle qu'Armand Peugeot venait d'envoyer chez Panhard pour mise au point, car son fonctionnement était défectueux. Ce quadricycle, le premier fabriqué par l'entreprise Peugeot, fut finalement vendu par René Panhard le à un Suédois après qu'il eut été mis au point par la maison Panhard & Levassor5.
L'allumage par brûleurs fonctionnant irrégulièrement, Émile Levassor met au point l'allumage par incandescence, brevet déposé par Panhard & Levassor, le . En novembre 1891 débute la production en série de trente automobiles Panhard & Levassor5, dont cinq qui furent vendues la première année. L'industrie automobile était née.
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Panhard, Levassor et Mayade en 1892.
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Véhicule Panhard-Levassor, vers 1890-1895.
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Victoire du canot automobile Panhard-Levassor du comte Robert de Vogüé au Championnat de la Mer annuel de Monaco en 1905.
Après le rachat de la société en difficulté par Citroën en 1965, la production d'automobiles civiles cesse le . La division des machines à bois Perin-Panhard avait été vendue en 1952.
.../...
La société ne disparut pas pour autant, se concentrant sur ses véhicules militaires sous la houlette de Michelin/Citroën, Peugeot, Auverland (ex-Cournil), Renault Truck Défense (Volvo) puis Arquus. Cette société, Panhard Defense, utilisa un logo mêlant le chamois d'Auverland à une graphie inspirée de celle du nom « Panhard » sur ses réclames des années 1920 à 1950. Seule cette dernière est conservée actuellement.
.../...
Historique de la production automobile
1891-1918
Panhard, de son nom complet Panhard & Levassor, est une société de construction d'automobiles française. Héritière de la société Périn-Panhard, elle fut établie en tant que constructeur d'automobiles en 1891, par les deux associés Louis-François-René Panhard et Émile Levassor, avec la participation de Louise Sarazin, veuve d'Édouard Sarazin, lors de l'ouverture de la première usine d'automobiles à pétrole au monde, au 16, avenue d'Ivry, dans le 13e arrondissement de Paris6. C'est par la fabrication sous licence du moteur bi-cylindre Daimler que la maison Panhard & Levassor va commencer sa production de véhicules.
C'est à cette primauté industrielle dans la production de voitures automobiles à moteur à explosion que Panhard & Levassor doit son titre de marque doyenne, qui la place avant Carl Benz, Gottlieb Daimler ou Armand Peugeot. Les marques Bollée, de Dion-Bouton et Serpollet l'avaient précédée dans la production d'automobiles à vapeur. Panhard & Levassor devint un des premiers constructeurs d'automobiles du monde, derrière le meneur, de Dion-Bouton. À cette époque, toute automobile était un objet de luxe. Malgré la naissance de l'industrie de la voiture populaire avec Le Zèbre ou Citroën, Panhard conserva son orientation initiale jusqu'à l'Occupation. En 1894, Le Petit Journal (journaliste Pierre Giffard) lance un concours, ou « pseudo course », pour tout véhicule sans chevaux, entre Paris et Rouen, Peugeot arrive en tête avec deux véhicules, Panhard, troisième, après le déclassement du comte De Dion-Bouton7.
En 1895, la marque s'illustre en étant la plus rapide de la course Paris-Bordeaux-Paris, 1 200 km en 49 h. Un monument commémore cet évènement à la première course d'automobiles au monde, il se situe à Paris, dans le jardin de la place de la Porte Maillot, en face du Palais des congrès. La 6hp gagne Paris-Dieppe et Paris-Marseille avec Hourgières en 1897, puis Paris-Bordeaux avec René de Knyff8 et enfin Marseille-Nice en 1898 avec Charron. En 1900 et 1901, des Panhard s'imposent lors des deux premières Coupe Gordon Bennett. En 1904, la marque remporte également la première Coupe Vanderbilt, à Long Island, et son vainqueur le parisien d'adoption George Heath obtient -à postériori- le titre de Champion d'Amérique de course automobile. Durant les douze premières années de la compétition automobile sur route, Panhard est le constructeur engrangeant largement le plus de victoires, avec un gros quart des succès obtenus dans les épreuves alors offertes aux quatre roues motorisées. Mais outre-Atlantique le bilan est maigre pour des pilotes locaux, Joe Tracy seul obtenant quelques résultats en courses en 1903.
Après la mort d'Émile Levassor en 1897 — qui décède des conséquences de ses blessures lors d'un accident à la course Paris-Marseille —, Panhard & Levassor diminue lentement sa participation aux compétitions sportives avant de l'interrompre totalement en 1908 à la suite d'un drame au Grand Prix de Dieppe qui entraine le décès d'Henri Cissac. Depuis plusieurs années déjà le palmarès des Panhard avait pâli devant la concurrence des Peugeot, Mors, Richard-Brasier ou Darracq. La marque, qui pourtant avait pour la première fois engagé trois véhicules dans ce Grand Prix de l'ACF, va se concentrer désormais sur la production de camions et de voitures de luxe. Ces prestigieuses voitures figuraient dans le peloton de tête de cette catégorie, en France, aux côtés des Amédée Bollée, Delaunay-Belleville, Hispano-Suiza, Delage ou Voisin. Arthur Krebs succède à Levassor et sera le directeur de la marque de 1897 à 1916. Entre 1901 et 1903 Henri Jeannin est le fabricant de la marque en Allemagne. Avant la Première Guerre mondiale, Panhard est le premier constructeur français. Loin devant Renault.
Dès avant le conflit de 1914-1918, Panhard & Levassor lie des contacts étroits avec le ministère de la guerre grâce à Krebs, ancien militaire. Panhard & Levassor va participer à l'effort de guerre et va demeurer l'un des grands fournisseurs de l'armée, encore jusqu'à nos jours.
L'ère des sans-soupape : 1910-1940
Dès 1910, Panhard s'intéressa au moteur sans soupape, selon un brevet déposé par Charles Yale Knight (en). Les soupapes étaient remplacées par des chemises coulissantes couvrant et découvrant les ouvertures d'admission et d'échappement. De 1910 à 1924, Panhard & Levassor proposera à son catalogue aussi bien des voitures mues par des moteurs conventionnels à soupapes que des moteurs sans soupape. Par la suite et jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, tous les modèles de la marque seront équipées de moteurs sans soupape à essence, à gazogène et même Diesel. À l'origine, les chemises coulissantes sont réalisées en fonte, matériau auto-lubrifié. Ces chemises sont épaisses et lourdes et empêchent les montées en régime rapide et les vitesses de rotation élevées. À partir de 1923, Panhard & Levassor innove avec de nouvelles chemises minces, en acier, beaucoup plus légères. Pour éviter le grippage, les chemises externes, moins sollicitées thermiquement, sont revêtues intérieurement de régule, un matériau anti-friction. Grâce à cette avancée technique, les moteurs tournent plus vite et gagnent en nervosité. En 1925, une 20 CV de 4,8 litres conquit le record du monde de l'heure, avec une moyenne de 185,773 km/h. En 1929, fut conçue la barre Panhard, une barre stabilisatrice anti-roulis, qui est encore utilisée pour la suspension arrière de nombreux véhicules à essieu rigide, partout dans le monde.
Les moteurs à doubles chemises coulissantes avaient pour avantage un grand silence de fonctionnement, un couple élevé, garant d'une grande souplesse, présente dès les plus bas régimes ainsi qu'une grande solidité, mais pour inconvénient une consommation d'huile assez élevée due aux importantes surfaces coulissantes des chemises mobiles qu'il fallait bien lubrifier. De plus la précision d’ajustage était élevée et l'usinage était complexe, rendant le coût de fabrication de ces moteurs élevé. Ils étaient donc réservés à des voitures haut de gamme telles que l'étaient les Panhard & Levassor. Quelques tentatives de voitures de moyenne puissance furent tentées avec des 10 ch, mais elles furent toujours beaucoup trop chères face à la concurrence.
Durant la présidence de Raymond Poincaré Panhard & Levassor est la marque officielle de l'Élysée avec ses 18 et 20 CV.
En 1924, Panhard & Levassor rachète la petite marque Delaugère & Clayette, située à Orléans. Désormais, Delaugère & Clayette va devenir l'atelier de carrosserie de Panhard & Levassor.
À la fin des années 1920, la gamme Panhard & Levassor est pléthorique, avec des modèles à moteurs quatre ou six-cylindres (plus quelques confidentielles huit-cylindres) qui se concurrencent au sein de la même gamme. Une rationalisation de la gamme a lieu à partir de 1930 avec les modèles 6CS et 6DS (plus la très rare 8DS). Ces modèles sont presque systématiquement carrossés à l'usine, ce qui est encore assez peu fréquent chez les autres marques de haut de gamme françaises chez qui les voitures sont souvent livrées en châssis puis carrossées à l'extérieur. Les conduites intérieures sont carrossées à l'usine d'Orléans (anciennes usines Delaugère et Clayette), tandis que les carrosseries spéciales (cabriolets, coupés chauffeur…) sont carrossées à l'extérieur, le plus souvent chez Janssen.
En 1934, le modèle évolue avec la carrosserie « Panoramique ». Ce nouveau modèle comporte deux petites vitres, très fortement cintrées, de part et d'autre du pare-brise. Avec ses deux montants très fins, ce dispositif assure une visibilité totale, sans angle mort. Cette période marque l'âge d'or de Panhard & Levassor avant la guerre. C'est à cette époque que les chiffres de production vont atteindre leur sommet. La 8 cylindres sans soupape 35 CV modifiée de Eyston (associé à Froy) établit, en 1934 toujours, au mois de juin, les records du monde des 200 milles, 500 kilomètres, 3 heures, 500 milles, 1 000 kilomètres et six heures, sur l'autodrome de Linas-Montlhéry9, après celui de l'heure au mois de février, et après ceux de Michel Doré sur le kilomètre et le mille en août 1930.
À partir des 6CS et 6DS, et jusqu'à la disparition de la marque, Louis Bionier assure le dessin des modèles. Pendant cette période, Panhard développe une grande gamme d'utilitaires : camions, autocars, autobus, et travaille sur la technologie du gazogène.
En 1936, en pleine mode « aérodynamique », Panhard & Levassor présente la Dynamic. C'est une voiture extrêmement moderne : carrosserie autoporteuse en acier, freinage hydraulique à double circuit, suspension par barres de torsion sur les quatre roues, indépendante à l'avant, vitres panoramiques, et bien sûr moteur six-cylindres sans soupape (2,5 l de 14 CV, 2,9 l de 16 CV ou 3,8 l de 22 CV). Cette vaste voiture (trois places de front à l'avant et quatre à l'arrière) se distingue par son style exubérant et sa direction presque centrale (en fait légèrement décalée sur la droite). La présentation de la Dynamic a lieu au mois de mai, en pleines grèves à la suite de l'arrivée du Front populaire… La clientèle bourgeoise de la marque cherche la discrétion et a d'autres préoccupations que d'acheter une voiture aussi voyante. La Dynamic sera un échec commercial avec seulement 2 600 voitures vendues entre 1936 et 1940.
La production de la Dynamic sera interrompue en 1940. Malgré tout, quelques Dynamic seront encore assemblées, à partir de pièces détachées stockées à l'usine et commercialisées (difficilement) jusqu'en 1948.
.../...
Poursuite de la production de véhicules militaires
La société Panhard conclut des accords avec Citroën, puis Peugeot, et s'oriente vers la construction d'engins blindés sous la dénomination de Société de constructions mécaniques Panhard-Levassor. Alors que Panhard fusionne avec Citroën en 1965, la société en est détachée en 1975 pour devenir une filiale de Peugeot S.A, sous la dénomination de SCMPL, Société de Construction Mécaniques Panhard-Levassor, avec un siège au 18 avenue d'Ivry à Paris. Jean Panhard en est le président de 1965 à 198113.
Panhard : 1967-2005
À partir de 1967, Panhard ne construit plus de véhicules civils, mais la firme poursuit la production des véhicules militaires blindés dans son usine de Marolles-en-Hurepoix, l'engin blindé de reconnaissance.
Jean Panhard avait épousé une Chodron de Courcel en 1940 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Panhard
Jean Panhard
Jean PanhardFonctions Président
Comité des constructeurs français d’automobiles- Président
Automobile Club de France- Biographie Naissance Décès (à 101 ans)
MeauxSépulture Nom de naissance Jean Joseph Léon PanhardNationalité Domicile Formation Activités Père Conjoint Jeanne Chodron de Courcel († 2019)
DistinctionsAutres informations Membre de Liste détailléeJean Panhard ( à Paris - à Meaux1), fut directeur général de Panhard, de 1949 à 1967 puis président de la société de Construction Mécaniques Panhard-Levassor jusqu'en 1981.
Biographie
Ancien élève de l'École polytechnique2 (X33), il est le fils de Paul Panhard, neveu de René, fondateur de la marque automobile du même nom.
Il est président du comité du Salon de l'automobile de 1967 à 19883.
Il est président de l'Automobile Club de France de 1977 à 1989 et de la chambre syndicale des constructeurs automobiles de 1979 à 1982.
Distinctions
- Commandeur de la Légion d'honneur
- Commandeur de l'ordre national du Mérite
- Officier de l'ordre des Arts et des Lettres
- Médaille d'honneur du travail, argent
Bibliographie
- Nouveau dictionnaire national des contemporains : 1961-1962, Paris, Les éditions du Nouveau dictionnaire national des contemporains, , 861 p., p. 656.
Notes et références
- État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970 [archive]
- https://10nplus3.polytechnique.org/uploads/Accueil/panhard.pdf [archive]
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste
- :
Liens externes
https://gw.geneanet.org/pierfit?n=chodron+de+courcel&oc=&p=jeanne
(Jeanne d’Arc Marie Marthe CHODRON de COURCEL)
- Née le 9 septembre 1919 - Vigneux-sur-Seine (91)
- Décédée le 21 mai 2019, à l'âge de 99 ans
- Inhumée le 25 mai 2019 - Libernon (77)
Parents
-
Robert CHODRON de COURCEL, voir Légion d'honneur (Chevalier) 1875-1966 (Secrétaire d'ambassade.)
- Henriette BACOT 1883-1968
Union(s), enfant(s), petits-enfants et arrière-petits-enfants
- Mariée le 17 août 1940, Terjat (03), avec Jean PANHARD, Voir Légion d'Honneur (Commandeur) et Ordre National du Mérite (Commandeur), voir ACF, voir Polytechnique (1933), né le 12 juin 1913 - Paris VIII° (75), décédé le 16 juillet 2014 à l'âge de 101 ans, inhumé le 18 juillet 2014 - cimetière Libernon de Crécy-la-Chapelle (77) (Parents : Paul PANHARD 1881-1969 & Louise BONNEL 1890-1989) (voir note) dont
Fratrie
- Jean CHODRON de COURCEL 1907-1985
- Emmanuel CHODRON de COURCEL, voir «Mangin» 1909-1945
- Xavier CHODRON de COURCEL 1910-1986
- Guillaume CHODRON de COURCEL 1912-1999
- Anne-Marie CHODRON de COURCEL, en religion 1914-2006
- Geneviève CHODRON de COURCEL 1917-2008
- Jeanne CHODRON de COURCEL 1919-2019
- Marguerite Marie CHODRON de COURCEL 1922-1997
- Vincent CHODRON de COURCEL, en religion 1924-1991
- x x
Notes
Décès
La cérémonie religieuse célébrée le samedi 25 mai à 10 heures, en l’église Saint-Georges, place Jean Panhard (anciennement place de l’église) à Crécy-la-Chapelle (Seine-et-Marne), suivie de l’inhumation dans l’intimité familiale, au cimetière de Libernon.
Notes concernant l'union
Sources
- Personne: Cassandre
- Famille: Who'S Who 1998-1999 et BM 1962
- Décès: Junon / Figaro
Aperçu de l'arbre
|
Drôle : en prépa, j'avais un profil de centralienne (problèmes mathématiques à démarrage "astucieux" laissant sur place un grand nombre de taupins) et c'est la thermodynamique qui a causé ma perte en raison de trop bonnes notes pour un certain nombre de mes très sympathiques camarades de classe... une en particulier du fait que j'étais la seule à avoir su résoudre le problème : dès le lendemain, j'étais complètement ostracisée, plus personne ne me parlait et on me tournait ostensiblement le dos en guise de réponse à mes "bonjour"... pour moi, c'était déjà un choc énorme, bien évidemment totalement inattendu, puisque jusque-là, au contraire, j'étais très bien intégrée, mais ce n'était que le tout début du commencement de tout ce que j'ai dû "payer"... à l'évidence, j'avais commis un crime de lèse-majesté... et très certainement, même, bien plus d'un en une seule fois...
Voilà le père de la thermodynamique, mort le à 36 ans du choléra dans la maison de santé du médecin aliéniste Jean-Étienne Esquirol qui avait diagnostiqué la manie, c’est-à-dire le délire généralisé avec excitation, après son admission le 3 août 1932 (à son décès, il en était miraculeusement "guéri") :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sadi_Carnot_(physicien)
Sur sa famille, d'origine bourguignonne, dont le président du même nom, né le 11 août 1837 à Limoges (Haute-Vienne) et mort assassiné le 25 juin 1894 à Lyon (Rhône) :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_Carnot
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