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samedi 20 juillet 2024

L'extrême-gauche a bien gagné les législatives

Ses associés du RN proposaient déjà avant les élections de créer un ministère de la lutte contre la fraude pour traquer les bénéficiaires de prestations sociales qui pourraient tricher, mais surtout pas les entreprises ou les patrons fraudeurs, lesquels sont tous parfaits, comme le savent bien tous les fonctionnaires à leur service, surtout lorsque ces pauvres chefs d'entreprise sont ennuyés ou "dénigrés" par des salariés qui s'en plaignent, nécessairement à tort :

http://satanistique.blogspot.com/2024/06/legislatives-le-rn-propose-un-ministere.html

Or, l'actuel gouvernement lui-même n'attend même pas d'être remplacé pour prendre de nouvelles mesures parmi les plus satisfaisantes pour le professeur en sciences économiques et sociales à la retraite Josette Brenterch, patronne du NPA de Brest depuis plusieurs décennies, laquelle se réjouissait en 2012 de l'élection de François Hollande comme président de la République - elle écrivait sur le blog principal de son complice le trafiquant de drogue, pédocriminel, cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi qu'elle en obtiendrait tout ce qu'elle voulait...

On rappelle ici que l'extrême-gauche française, "radicale", a toujours été violemment opposée à toutes les mesures sociales prônées ou mises en place par des partis politiques plus modérés, comme étant de nature à rendre le capitalisme acceptable et à ramollir toutes les velléités révolutionnaires de citoyens français - bien sûr, ce n'est que le discours pour les troupes, car ceux qui se voient déjà comme les futurs barons du régime de leurs rêves ont autre chose en tête, mais en attendant, l'orientation de toutes leurs luttes est bien celle-là : il s'agit toujours de pourrir le système capitaliste au maximum, jusqu'à ce qu'il devienne totalement invivable pour le plus grand nombre possible de citoyens.

D'où, soit dit en passant, notre opposition systématique pour tout, du temps où nous étions censées participer aux mêmes activités de lutte contre le chômage, la précarité et les exclusions.

 

N.B. : Josette Brenterch a tellement la haine des inspecteurs du travail qui embêtent ses amis patrons mafieux, qu'elle prétend mensongèrement depuis des années que celui d'entre eux qui m'a jadis délivré une attestation contre ces mafieux aurait fait un faux en ma faveur car j'aurais couché avec pour l'obtenir. Il s'agissait d'une femme. Qu'à cela ne tienne, elle prétend tout aussi mensongèrement que cette femme serait un homme. Bien évidemment, elle a toujours soutenu les mêmes allégations mensongères pour l'intégralité de mes témoins contre ses amis mafieux et contre elle-même, quels que fussent ces témoins, hommes ou femmes, fonctionnaires ou autres professionnels. Il s'agit par exemple des DRH que j'ai évoqués récemment dans cet article :

http://satanistique.blogspot.com/2024/07/janssen-cie-levallois-perret-seine-1905.html

Et il en va de même pour tous ceux et toutes celles qui ont un jour pris une décision ou émis un avis me concernant qui ne soit pas conforme à ses prétentions mensongères à mon encontre. Cela commence en fait par l'intégralité de mes professeurs.

Etant pour la plupart bien plus intelligents qu'elle ou tout à fait normaux, ils n'avaient pas connu les mêmes difficultés pour intégrer l'Education nationale :


Le 01/01/2006 à 08:31, Chris a écrit :
"Tous mes meilleurs vœux pour cette année qui vient de débuter.
 
    Dernières nouvelles apprises de la bouche de plusieurs anciennes collègues de Josette:
 
    " C'était une psychorigide qui n'a pas arrêté de nous faire chier tant qu'elle a été avec nous, et cela nous a fait un plaisir énorme qu'elle quitte l'enseignement privé pour rejoindre le public dès qu'elle a eu son CAPES. Dommage qu'elle ne l'ai pas eu de suite."
 
    Je n'ai pas poursuivi les questions, j'étais avec de charmantes professeures, nous avions d'autres sujets de conversation, mais j'en saurais plus, c'est sur. En tout cas elles souriaient entre elles d'un air entendu.
 
    La reine Josette n'a pas l'air d'être appréciée du tout par les collègues qu' elle a fréquentée jeune, quoique qu'elles m'ont dit aussi qu'elle n'avait pas vraiment changée physiquement.
 
    Je me permet d'être cynique, c'est vrai que c'est dur de ne pas en vouloir à la terre entière quand on a toujours été laide, peut-être que sa haine des militaires vient de là. Son père était gendarme et haïr son géniteur pour la mauvaise farce qu'il lui a faite, c'est sans doute naturel.
 
    Pauvre Josette, peut-être devrions-nous être respectueux de son immense détresse, elle souffre, j'en suis sûr.
 
    Non, je rigole, j'ai toujours une énorme envie de lui rentrer dans le chou et de lui faire payer toutes ses saloperies.
 
    A+
 
    Christian"
 
 
 

Je rappelle ici concernant l'auteur de ce message du 1er janvier 2006, Christian Hamon, ancien président de l'association AC ! Brest, qu'à l'instar de nombreuses autres personnes menacées de mort par la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, pour sa part depuis nos conflits de 2005 avec cette femme, il est décédé dans des conditions suspectes à son domicile à Brest le 26 avril 2008, à 58 ans, et curieusement alors que j'avais commencé depuis peu à commenter anonymement des articles du site d'information Rue89.

J'en ai déjà parlé dans ces trois articles :

http://satanistique.blogspot.com/2016/10/deces-en-2008-de-christian-hamon-ancien.html

http://satanistique.blogspot.com/2023/01/comment-josette-brenterch-isole-ses.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/olivier-cuzon-au-media.html

 

 

https://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/bruno-le-maire-tente-de-tenir-les-objectifs-budgetaires-de-2024-2107223

Les dernières initiatives de Bruno Le Maire pour limiter les risques de dérapage budgétaire

Le ministre de l'Economie et des Finances a notifié aux ministères de nouveaux plafonds de dépenses, pour économiser 5 milliards d'euros supplémentaires cette année. Mais le niveau avancé des dépenses à fin mai et les aléas économiques et politiques font peser un gros risque sur le respect de la trajectoire du déficit public.

Bruno Le Maire demande aux ministères de baisser à nouveau leurs dépenses de 5 milliards d'euros en 2024.
Bruno Le Maire demande aux ministères de baisser à nouveau leurs dépenses de 5 milliards d'euros en 2024. (Stéphanie Lecocq/REUTERS)

 

Par Sébastien DUMOULIN

Publié le 11 juil. 2024 à 13:42Mis à jour le 11 juil. 2024 à 19:10

« Je ne suis pas en tongs à la plage, tonne Bruno Le Maire. Je suis à mon bureau de 7 heures à 22 heures et je prépare le budget. » Le ministre de l'Economie et des Finances veut laisser les comptes publics en ordre avant de quitter Bercy. Pour respecter la trajectoire notifiée à la Commission européenne, la France doit contenir son déficit public à 5,1 % du PIB en 2024. Comme il l'avait annoncé, Bruno Le Maire acte donc une nouvelle salve d'économies de 10 milliards d'euros pour le garantir.

Libre à ses successeurs, quels qu'ils soient, de respecter ou non ces consignes de dernière minute. « Ces décisions sont indispensables pour tenir notre trajectoire de finances publiques et revenir dans les clous européens », a prévenu ce jeudi le locataire de Bercy. « Revenir sur ces économies et a fortiori rajouter des dépenses supplémentaires nous écarterait définitivement et irrémédiablement du rétablissement de nos finances publiques. »

Sébastien Dumoulin

 

https://www.mediapart.fr/journal/economie-et-social/180724/la-saignee-de-l-inspection-du-travail-s-accelere

La saignée de l’inspection du travail s’accélère

Bruno Le Maire a annoncé 10 milliards d’économies dans les dépenses publiques et ce ne sont pas des paroles en l’air. Du côté du ministère du travail, cela se traduit par la destruction méthodique des services de contrôle.

Khedidja Zerouali

Le ministère du travail est un bon élève. Quand le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, affirme qu’il faut encore couper dans les dépenses publiques, en faisant des économies de 10 milliards « exclusivement sur le budget de l’État », le ministère de Catherine Vautrin s’exécute. Depuis plusieurs semaines, à Marseille, à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) ou en région parisienne, les syndicats déplorent une accélération dans les réductions d’effectifs et d’unités de contrôle locaux réduits à peau de chagrin. 

 

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