Ah tiens, l'UBS... J'ai failli y aller, autrefois (pas comme lancense d'alerte, hein, comme ingénieur spécialisé dans la conception de systèmes d'information, la gestion et les mathématiques financières... tricoteuse de trucs d'enfer, quoi... j'avais la réputation de faire des miracles dans ce domaine...), j'en ai parlé il n'y a pas très longtemps, ici :
http://satanistique.blogspot.com/2024/06/en-suisse-des-pedocriminels-satanistes.html
Une juge n'a pas respecté le nom de Morad El Hattab dans une décision, il n'en revient pas et pense que c'est une ignare qui n'a même pas lu le dossier.
Ce n'est pas ce que je crois. A moi aussi, on m'a fait le coup. Ces juges ne respectent rien, même pas les lois dont ils sont les garants de l'application. Pourquoi voulez-vous qu'ils respectent nos noms quand ils se foutent ouvertement de nos gueules ?
Pour ma part, dans une décision foutage de gueule intégral, j'ai été désignée sous le nom de "Catherine Millet", auteur de la "La Vie sexuelle de Catherine M.". Mon nom ne ressemble même pas à ça...
Je suis encore tombée sur une pute qui avait décidé de se foutre de ma gueule de cette manière du fait que je suis ingénieur, et c'est tout.
Tout en portant plainte pour des faits graves dont je suis directement victime, je suis aussi lanceuse d'alerte depuis le début, dans les années 1990, puisque j'explique bien à chaque fois comment et pourquoi je me fais attaquer par des mafieux, des trafiquants d'armes et proxénètes comptant aussi de manière très claire depuis 2008 des pédocriminels.
Il n'y a jamais eu aucun rapport avec une quelconque vie sexuelle, mais depuis que tout est devenu public en 2010, tout le monde a pu voir comment la criminelle et mère maquerelle Josette Brenterch du NPA de Brest se fout effectivement de ma gueule depuis des années du fait que je suis ingénieur : elle m'invente des tas d'histoires de cul parfaitement délirantes avec des tas de messieurs que je ne suis même pas sûre de tous connaître.
Son obligé le trafiquant de drogue, pédocriminel, cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi lui-même avait bien expliqué publiquement au tout début de ses campagnes de calomnies publiques à mon encontre que pour se moquer des ingénieurs, les ridiculiser et les décrédibiliser tout à fait, il faut leur inventer des histoires de cul complètement débiles. C'est ce qu'ils font tous, tout le temps, mafieux comme magistrats corrompus.
Une autre fois, c'est le nom de Farid Berrahma, l'ancien caïd marseillais surnommé « le Rotisseur » assassiné à Marseille en 2006, qui a été transformé en Brama. Et la pute de rigoler et se foutre encore de ma gueule dans sa décision : Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Elle est tellement folle qu'elle nous invente maintenant des histoires de gangsters et ne sait même pas que son Brama est un illustre inconnu dans le grand banditisme... Cette fois-là, il s'agissait de la pute Céline Verdier du TJ de Brest et de sa collègue Isabelle Johanny, tout aussi givrée.
Ce ne sont pas des ignares qui n'ont rien lu, elles le font exprès, ce sont des perverses, elles sont toutes immatures, c'est flagrant, et elles utilisent toutes plus ou moins les mêmes procédés pour se moquer du monde, des lois de la République, du peuple.
D'où la nécessité de s'interroger sur leur recrutement et leur formation, à l'ENM, à Bordeaux.
Des gens normaux ne deviennent pas comme ça à l'issue d'une formation dans l'enseignement supérieur, même la plus déstructurante qui soit, ce n'est pas possible. Ce sont déjà des putes avant et elles sont spécialement recrutées puis formées durant leurs études à l'ENM, non pas pour appliquer les lois, mais pour foutre en l'air tout le pays.
Une seule sanction contre un magistrat sur saisine directe du CSM en 16 ans, un simple blâme :
http://satanistique.blogspot.com/2024/07/morad-el-hattab-tres-remonte-contre-la.html
Il y a eu des milliers et des milliers de saisines directes du CSM par des justiciables bafoués dans leurs droits et très en colère.
Qui peut croire qu'ils se seraient tous amusés à monter des dossiers pour s'engager dans cette procédure juste pour embêter les magistrats, sans avoir rien de sérieux à faire valoir ?
On se fout de nous.
La magistrature française se moque du monde en permanence.
P.S. : Concernant le Bataclan, j'ai déjà expliqué ce que c'est : il s'agissait de fêter la confirmation toute proche de ma condamnation sur plainte de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, en appel à Rennes le 2 décembre 2015. Sauf que je n'ai pas été de nouveau condamnée comme en juin 2013 (rappelez-vous les grandes fêtes prétendument "antifascistes" de l'époque, après l'assassinat de Clément Méric, voulu et calculé par ses bons amis de l'extrême-gauche brestoise, en association avec leurs complices du FN de Quimper), mais relaxée de tous les chefs de la poursuite, mon soi-disant "complice" OverBlog aussi, et de manière définitive. Les assassinats de Mohammed Merah de mars 2012 avaient pour but de fêter ma mise en examen dans le cadre de cette affaire, et ainsi de suite. Tous les attentats islamistes commis de 2012 jusqu'à fin 2015 sont liés à cette même procédure. Ceux de janvier 2015 étaient une réplique à l'argumentation principale d'OverBlog pour sa défense dans cette procédure, sur la liberté d'expression, la mienne n'étant pas encore connue à l'époque, vu qu'en première instance, mon avocat avait décidé (bien évidemment sans m'en prévenir au préalable) de ne pas du tout me défendre sur le fond.
On avait aussi eu ça durant le premier délibéré, en 2013, passé inaperçu et non réitéré après le succès de l'assassinat de Clément Méric :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Attentat_de_2013_%C3%A0_La_D%C3%A9fense
Je rappelle l'inquiétude des professionnels du net et de quelques autres après le jugement de première instance à Brest :
http://philippedelbauvre.blogspot.com/2014/01/lassemblee-nationale-doit-dire-non-la.html
Le pédocriminel et cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait rapporté et commenté comme suit sur son propre blog tous les articles publiés à la suite de ce procès :
Pour le second procès opposant Chepita (Josette) à XXXXX X et OverBlog :
- Steven Le Roy a publié dans le Télégramme de Brest un article relatant la première audience publique du procès opposant Chepita (Josette) à XXXXX X le 11 avril 2013, ayant entraîné sa condamnation ainsi que celle d’OverBlog. C’est lisible ici : CLIC.
- Legalis.net publie le jugement de Brest, assorti d’un article fort intéressant, ici : CLIC.
- Jurisexpert en parle : CLIC.
- Une blogueuse − Wendy − s’en indigne : CLIC.
- Marc Rees publie un article dédié à cette affaire sur PC Inpact : CLIC.
- Nicolas Poirier, juriste d’OverBlog, est interviewé par PC Inpact : CLIC. Ses explications sont pour le moins… hallucinantes, quand on connaît la réalité de cette affaire. Les amalgames y sont grotesques et répugnants : Josette, qui est la seule victime concernée par le procès de Brest, y est assimilée à une bande de trolls et la comparaison que fait M. Poirier avec le cyber-harcèlement dont a été victime une adolescente sur ask.fm, est particulièrement odieuse. En effet : sur ask.fm la situation était exactement inverse, puisque les salauds qui ont harcelé la malheureuse victime étaient des anonymes, alors que dans notre cas nous étions parfaitement identifiés et… cibles d’un corbeau − par définition, anonyme − et n’avons fait que nous défendre de ses accusations délirantes et affreuses. Et puis les commentaires de Josette, évoqués par Nicolas Poirier dans cette tribune entièrement à charge et d’une mauvaise foi radicale, ont été jusqu’à preuve du contraire, d’une parfaite correction.
- Les Échos se fendent d’un long article traduisant assez bien le petit vent de panique soufflant sur les hébergeurs : CLIC.
- Maître Antony Bem décortique l’affaire sur son site : CLIC.
- Maîtres Virginie Bensoussan-Brulé et Julien Kahn donnent à lire leur point de vue allant à contre-courant de la pensée dominante, ce qui est très bienvenu dans le concert de la presse geek imbécile soutenant les hébergeurs peu scrupuleux sans discernement : CLIC.
- Le Monde du Droit abonde aussi dans le sens du jugement de Brest : CLIC
- La Quadrature du Net s’insurge avec une rare bêtise d’ados attardés sur « la censure privée » et cite le procès de Brest dans cet article publié le 15 janvier 2013 : CLIC. Cette stupidité bornée des hérauts de la liberté d’expression à outrance saute aux yeux en constatant qu’un site haineux d’ultra-droite republie ce même article ici : CLIC… ainsi qu’un des sites de libertariens des plus extrémistes − Contrepoints : CLIC et qu’un site ouvertement fasciste fait de même ici : CLIC.
La criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, qui me faisait pirater, écouter illégalement, harceler et calomnier par son complice le trafiquant de drogue et pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi et toute sa bande de "déconnologues" depuis 2008 en participant elle-même sous son identité véritable à tous ces harcèlements et campagnes de calomnies publiques depuis juin 2010 (début des campagnes de calomnies publiques nominatives à mon encontre le jour même où est annoncée la sortie du tout premier numéro du magazine Inspire d'Al-Qaïda, marquant aussi les tout débuts de l'agitation de Mohammed Merah jusqu'à son accomplissement de mars 2012), m'avait fait poursuivre sur la base exclusive de dénonciations calomnieuses, que je n'ai pu contrer qu'en appel dans le cadre d'une exception de bonne foi qui restait la seule solution technique pour discuter du fond de nos différends... après m'être débarrassée de mon avocat de première instance, avoir remis la procédure sur de bons rails, et trouvé un nouvel avocat qui me suive jusqu'au bout.
En première instance, elle avait obtenu, à la lettre et à la virgule près, tout ce qu'elle avait demandé. Ce n'est donc pas repassé en appel. Merci qui ? Merci moi !
Parmi nos très nombreux différends, il y a depuis 2004 et 2005 ma participation aux activités de l'association AC ! Brest durant ces deux années. Nous étions alors opposées sur tout, dont, notamment, la question de l'accès à Internet pour les chômeurs, précaires et exclus : Josette Brenterch s'y opposait très violemment, estimant que nous n'avions aucun droit à l'information, ni, encore moins, à celui de nous exprimer...
Je les emmerde depuis très longtemps, les années 1990 au moins, voire les années 1970, alors que j'étais toujours tête de classe à Brest. Du coup, ils sont totalement focus sur moi, et je me passerais bien d'avoir droit à cette primauté-là...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire