C'est le pays des banques.
Voir mon précédent article :
http://satanistique.blogspot.com/2024/06/affaire-karachi-proces-en-appel-pour-le.html
D'ailleurs, j'ai bien failli travailler aussi pour l'Union des Banques Suisses, autrefois.
Finalement, cela ne s'est pas fait car mon employeur de l'époque commençait à douter de moi, non pas sur le plan professionnel, mais sur un plan plus personnel, compte tenu de tous les harcèlements et campagnes de calomnies dont j'étais déjà victime et qui l'atteignaient lui aussi.
Pourtant, changer d'air ne m'aurait vraiment pas déplu. Mais à la réflexion et avec tout le recul que j'ai aujourd'hui, je ne sais pas... ils sont partout... c'est l'enfer sur terre...
Toutes les administrations en folie simultanément, et durant des années, j'y ai eu le droit, moi aussi. Et les sabotages divers et variés, les agressions à répétition, les surveillances constantes, etc, etc... et sans avoir jamais fréquenté de pédophile, du moins à ma connaissance, jusqu'à ce que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi se focalise sur moi en 2008.
Je ne suis pas encore morte administrativement, mais c'est tout comme, surtout depuis que ce pédocriminel de la plus haute importance pour toute la magistrature bretonne a décidé de se faire mousser avec une version entièrement fausse de ma biographie : tout mon passé est effacé, je n'ai jamais existé...
Le monde est petit :
Lire ou relire :
http://satanistique.blogspot.com/2024/05/a-lyon-des-pedocriminels-satanistes.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/06/en-belgique-des-pedocriminels-satanistes.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_des_Amerois
Château des Amerois
Château des Amerois | ||
Gravure sur bois du château, vers 1890. | ||
Période ou style | XIXe siècle | |
---|---|---|
Architecte | Romantique | |
Propriétaire initial | Théodore van der Noot d'Assche | |
Propriétaire actuel | Famille Solvay | |
Coordonnées | 49° 44′ 54″ nord, 5° 09′ 04″ est | |
Pays | Belgique | |
Région historique | Wallonie | |
Province | Luxembourg | |
Localité | Bouillon | |
Géolocalisation sur la carte : Belgique
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Le château des Amerois est un château de style romantique du XIXe siècle sis en Wallonie dans la vallée de l'Aulnois au cœur de la forêt de Muno, au sud-est de Bouillon en Belgique. Remplaçant un premier bâtiment détruit par le feu, le château actuel fut construit de 1874 à 1877 pour le prince Philippe de Belgique.
Histoire
En 1847, le comte français Colette-Charles-Gustave du Maisniel, ancien maire de Wattignies, acquiert le vaste domaine des Amerois et le bois de Muno et y fait bâtir une maison de campagne. Théodore van der Noot, marquis d'Assche (en) rachète le domaine en 1858 et y fait construire un château. L'ensemble est racheté en 1868 à 1 million de francs belges par Philippe de Belgique, le frère du roi Léopold II1.
Un incendie ravage le premier château en 1873. Philippe de Belgique fait alors appel à l'architecte Gustave Saintenoy pour le reconstruire en beaucoup plus grand. La chapelle fait l'objet d'une attention particulière et reçoit une polychromie de Jules Helbig.
Le parc abrite un exemplaire de séquoia géant ainsi qu'un épicéa commun de 53 m, répertorié en 1989 comme l'arbre le plus élevé de Belgique2 et une charmille de 158 mètres de long. Des milliers de plantes et de fleurs sont cultivées dans sept serres. Le prince Philippe prévoit aussi de somptueuses écuries. Passionné de chasse, il séjourne plusieurs mois par an au château3. Chaque année, un train spécial partant de Bruxelles amène la famille à la gare de Florenville4. L'épouse du prince, Marie de Hohenzollern-Sigmaringen fait des croquis et des aquarelles du château5 ; la princesse Henriette y tient un journal mélangeant de courts récits du quotidien avec de nombreuses aquarelles de paysages, animaux et activités de loisirs6.
Durant la Première Guerre mondiale, des militaires allemands occupent le château qui sort de cette occupation sans dégâts majeurs, hormis dans la cave à vin7.
À la mort de Philippe, ses trois enfants héritent du château. Le mobilier et les œuvres d'art sont dispersés lors de plusieurs ventes aux enchères4 et le château et vendu pour 7 millions de francs au marchand de bois liégeois Robert Colette. Ce dernier abat pratiquement tous les arbres et revend la propriété trois ans plus tard à Alice Solvay, la nièce d'Ernest Solvay. À la fin du XXe siècle, le domaine appartient toujours à ses descendants8.
Galerie
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Les voitures royales devant la gare de Florenville.
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Le grand salon du rez-de-chaussée.
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Le jardin d'hiver.
Propriétaires
Depuis son origine, le domaine est donc successivement la propriété de :
- 1849 : Colette-Charles-Gustave du Maisniel ;
- 1859 : Théodore van der Noot, marquis de Assche ;
- 1868 : Philippe de Belgique ;
- 1923 : Robert Colette ;
- 1927 : Alice Solvay (1874-1931);
- 1931 : Pierre Solvay, (1901-1989)9;
- 1989 : Fils ainé de Pierre Solvay ainsi que les familles de Wangen et Aubertin9.
Controverse
À l'occasion de l'affaire Dutroux, le château a été cité comme l'un des lieux où se sont déroulés des actes sur enfants10. Fritz Springmeier le mentionne également sous le nom du "château des mères des ténèbres" dans un de ses livres et évoque une pièce rituelle éclairée avec 1000 sources de lumière en son sein11. Sa proximité d'environ 30 km avec le château du Sautou (commune de Donchery) en France voisine racheté par le violeur, pédocriminel et tueur en série Michel Fourniret a également été évoquée.[réf. nécessaire]
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Olivier Defrance, Les vacances des comtes de Flandre. Autour de la Chronique des Amérois, Fondation Roi Baudouin, , 100 p.
Liens externes
- Michel Body, « Le Domaine des Amerois, une terre d’enfance pour le Roi Albert 1er [archive] », (consulté le ).
Notes et références
- Fritz Springmeier, Bloodline of the Illuminatis, p.205.
- (nl) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en néerlandais intitulé « Kasteel Les Amerois » (voir la liste des auteurs).
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