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dimanche 2 juin 2024

En Belgique, des pédocriminels satanistes

 

 

 

 

Les survivantes des réseaux pédocriminels satanistes en parlent, racontent, décrivent, et donnent des noms.

Cela se passe à Lyon d'où est originaire la famille maternelle de l'avocat lyonnais Patrick Baudy, grand protecteur du pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi :

http://satanistique.blogspot.com/2024/05/a-lyon-des-pedocriminels-satanistes.html

http://satanistique.blogspot.com/p/patrick-baudy-perdu-contre-petitcoucou.html

Il en occupe toujours à Saint-Cyr-au-Mont-d'Or, au 20 rue du Lavoir, la maison familiale dite Viallon, du nom de l'aïeul André Viallon, négociant boucher à Lyon en 1875 quand il décède dans sa maison de campagne de Saint-Cyr :

https://satanistique.blogspot.com/2022/11/diane-chatelet-et-ses-filles-le-retour.html

Et cela se passe aussi en Belgique d'où est originaire la famille paternelle du même Patrick Baudy, établie à Couvin, près de la frontière française, au nord des Ardennes, aux XVIIème et XVIIIème siècles, avant que Jean Louis Alexandre Baudy ne se marie à Sedan avec une Sedanaise en 1821 :

https://satanistique.blogspot.com/2023/04/dou-vient-laudace-de-lavocat-lyonnais.html

Désormais française, la famille Baudy quittera Sedan pour Paris dans la seconde moitié du XIXème siècle et ne deviendra pour partie lyonnaise qu'après le mariage en 1939 du médecin Roger Baudy, père de Patrick, avec sa mère Georgette Gaultier, héritière de la maison Viallon, née en 1917 à Romans-sur-Isère.

Patrick Baudy naît après-guerre à Versailles, le 28 mars 1949.

Son père Roger né à Paris en 1915 avait été arrêté le 11 avril 1944 à Izieux, détenu à Compiègne, déporté à Buchenwald, libéré le 11 avril 1945, puis il était revenu en France. Il sera médaillé de la résistance et maire d’Izieux en 1945. Une salle de Saint-Chamond porte son nom.

L'ogre des Ardennes Michel Fourniret est quant à lui né à Sedan le 4 avril 1942.

La ville voisine de Charleville-Mézières sera plus tard celle des tueurs du Brabant des années 1980 Xavier et Thierry Sliman, nés d'un père marocain à Epinal, ville des zététiciens Patrice Seray et Francine Cordier, à l'origine de la Tronche en biais avec Jean-Marc Donnadieu de Béziers, complice du pédocriminel, trafiquant de drogue, cybercriminel, harceleur et calomniateur "islamigré" Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

C'est aussi à Charleville-Mézières que résidaient une partie des complices des terroristes de janvier 2015 à Paris.

Le chef du réseau pédocriminel belge impliqué dans l'affaire Dutroux était Paul Vanden Boeynants, boucher de profession né en 1919, plusieurs fois ministre dans les années 1960 et 1970, et que nous avons déjà rencontré à propos de l'affaire des tueries du Brabant :

https://satanistique.blogspot.com/2023/05/paul-venden-boeynants-un-boucher-en.html

Et le grand chef terroriste des attentats islamistes débutés en 2012 avec les assassinats de Mohammed Merah est le pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, que l'on a vu prendre la défense des époux Dutroux sur le site Rue89 lorsqu'il s'y attaquait régulièrement à tous ceux qui osaient dénoncer ou condamner des faits de pédophilie.

Or, il a bien su par la suite mobiliser des équipes belges pour commettre des attentats islamistes en France et en Belgique.

Aurait-il bénéficié d'une aide quelconque d'Olivier Combe, ancien patron de la DGSI des Ardennes né à Reims en 1961 et condamné pour détention d'images pédopornographiques en première instance en 2021 et en appel en 2022 ?

Reims, où résidait l'un des tueurs de Charlie Hebdo, Saïd Kouachi, est aussi la ville d'origine du violeur d'habitude Patrick Poivre d'Arvor et celle de la famille Zabel originaire d'Epernay, dont Roger journaliste sportif et sa soeur Sylvie épouse de Laurent Depierre, artiste, politicienne engagée à l'extrême-gauche, cybercriminelle hyperactive et complice de Josette Brenterch du NPA de Brest et de ses sbires Pascal Edouard Cyprien Luraghi et Jean-Marc Donnadieu de Béziers pour toutes leurs exactions à mon encontre depuis 2008.

Le terroriste islamiste Sid Ahmed Ghlam (attentat manqué du 19 avril 2015 contre des églises de Villejuif), dont la petite amie était la Brestoise Émilie Lechat-Boizumeau, qui fut curieusement épargnée par la "justice", y a aussi séjourné en 2013 et 2014, à quelques dizaines de mètres du domicile de Saïd Kouachi.

Voir ici :

http://satanistique.blogspot.com/2022/01/pedophilie-olivier-combe-ancien-patron.html

Et dans les deux articles ci-dessous.

Rappelons pour finir que les terroristes islamistes de janvier 2015 Amédy Coulibaly et Chérif Kouachi étaient connus depuis 2010 comme détenteurs de fichiers pédopornographiques :

http://satanistique.blogspot.com/2015/01/les-freres-kouachi-frequentent-tres-tot.html

 

https://www.moniquederrien.com/lex-patron-de-lantiterrorisme-des-ardennes-juge-pour-agression-sexuelle-sur-mineure-et-detention-dimages-pedopornographique/

L’EX PATRON DE L’ANTITERRORISME DES ARDENNES JUGÉ POUR AGRESSION SEXUELLE SUR MINEURE ET DÉTENTION D’IMAGES PEDOPORNOGRAPHIQUE

 

LA LYCÉENNE AVAIT ÉTÉ TENTÉE PAR LE DJIHAD, LE COMMANDANT DE LA DGSI DES ARDENNES AVAIT POUR MISSION DE LA RAMENER DANS LE DROIT CHEMIN. MAIS TROIS ANS PLUS TARD ELLE A PORTÉ  PLAINTE POUR DES FAITS QU’ELLE QUALIFIAIT DE VIOL.

 

Nora*n’avait pas encore 17 ans quand elle a été approchée pour aller mener le Djihad en Syrie, en passant par Beauvais. La plainte très rapide de sa famille a arrêté sa fugue. C’est ainsi qu’Olivier Combe, commandant de la DGSI à Charleville-Mezières, a été chargé du suivi de la jeune fille. Mais l’accompagnement administratif a vite dérapé. En 2019 Nora* a dénoncé des viols, requalifiés depuis en abus sexuels. Elle abordait alors ses études de droit à Reims. L’enquête a par ailleurs permis de découvrir des milliers d’images à caractère pédopornographique au domicile de l’officier. L’affaire occupera, à elle seule et à huis clos, toute l‘audience correctionnelle de ce mardi 22 Juin 2021 à Reims.

La fonction du prévenu rend ce dossier particulièrement sensible. Olivier Combe a 59 ans aujourd’hui. En 2015 il était à la tête de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure des Ardennes, l’élite de la police. Il était chargé à ce titre de la surveillance des réseaux islamistes. Ce qui légitimait les convocations de  Nora* dans son bureau de la préfecture de Charleville-Mezières. L’objectif officiel était bien de contribuer à sa déradicalisation, de l’empêcher de partir en Syrie.

DE LA CONFIANCE A LA MANIPULATION

La confiance des parents de Nora*, musulmans pratiquants, lui était acquise.
Rendez-vous en tête à tête ou  combat d’escrime dans le club de la ville…rien n‘interdisait cet accompagnement parce qu’il s’inscrivait dans un cadre officiel, et par ailleurs rassurant pour la famille. Moins réglementaire, Olivier Combe se permettait aussi d’aller chercher *Nora en voiture à la sortie du lycée, de la conduire dans des lieux plus isolés, en forêt. Et l’ambiguïté s’est installée au fil des rencontres, comme l’emprise qu’il exerçait sur cette lycéenne très pudique, soumise à la fonction de son guide. Il l’éloignait peu à peu de sa famille, la persuadait que leur relation pourrait lui éviter une condamnation.

DÉRAPAGE “CONSENTI”

Elle lui était redevable de l’avoir aidée aprés sa très malheureuse expérience à Beauvais. Là où sa fugue lui avait alors valu d’être sexuellement agressée par celui qui prétendait l’épouser avant de convoler vers la Syrie. Olivier Combe a justifié le dérapage de sa relation avec Nora* par le fait qu’il en était tombé amoureux. Il a reconnu des relations sexuelles sans pénétrations, et consenties par la jeune fille. Ce qu’elle a formellement contesté. Aucun élément matériel ne permet de confirmer l’une ou l’autre de ces deux versions. Par contre, les perquisitions menées au domicile d’Olivier Combe se sont révélées particulièrement inquiétantes. Il  était à la tête d’un véritable atelier informatique doté d’un matériel impressionnant : disques durs, clés USB, ordinateurs, tablettes…

UNE PEDOPORNOGRAPHIE COMPULSIVE

Le patron de la DGSI est apparu comme un informaticien de haut niveau, par ailleurs trés qualifié en électronique. Ces compétences lui ont permis de stocker des milliers de clichés pédopornographiques et de fréquenter des sites spécialisés dans les images de mineures à peine pubère. Olivier Combe filmait par ailleurs des jeunes filles dans la rue. Il réalisait aussi des photomontages, notemment à partir de l’image d’une enfant de dix ans à qui il avait imposé des attouchements. C’est ce qui a conduit la Fondation pour l’Enfance à se porter partie civile dans ce dossier. Olivier Baratelli, l’avocat de la fondation, veut rappeler à l’audience que les images dont il est question, “bouleversent l’innocence … et banalisent la perversité.” Il attend un procèsexemplaire et symbolique

*Le prénom de la victime, mineure au moment des faits, a été modifié.

Lire aussi : L’ancien officier de police sera rejugé

Au terme d’une audience de 8 heures le Procureur de la République Matthieu Bourrette a requis une peine de 4 ans fermes, plus 3 ans de suivi socio-judiciaire avec 18 mois de prison supplémentaires en cas de non-respect, interdiction pendant 5 ans de toute activité professionnelle, inscription au fichier FIGES, interdiction pendant 5 ans de tout port d’arme.


En Avril 2022 la peine d’Olivier Combes a été confirmée en appel à un an de prison ferme pour détention d’images pdopornographiques. Il est relaxé des faits d’abus sexuels

 

https://www.moniquederrien.com/lex-patron-de-la-dgsi-des-ardennes-condamne-pour-pedopornographie/

L’ANCIEN PATRON DE LA DGSI DES ARDENNES CONDAMNÉ POUR PEDOPORNOGRAPHIE


Olivier Combes écope d’un an de prison ferme pour pédopornographie mais  il est relaxé pour les agressions sexuelles dénoncées par Nora*. La plainte de l’étudiante en droit remonte à 2019. Elle disait avoir été violée trois ans plus tôt par le patron de la DGSI des Ardennes. Les faits ont été requalifiés plus tard en agressions sexuelles. Olivier Combes n’a reconnu que des attouchements consentis, ce qui lui vaut une relaxe, même s’il est condamné par ailleurs à de la prison ferme pour sa pédopornographie compulsive. Le parquet a fait appel de sa relaxe

En relaxant Olivier Combes des faits d’agressions sexuelles, le Tribunal Correctionnel de Reims a choisi de ne pas croire la jeune fille qui l’accuse. L’ex patron de la DGSI ardennaise s’en est tenu, quant à lui, à la version d’une « romance » qui a donc convaincu le tribunal. Il peut arriver, en effet qu’un haut gradé de la police tombe amoureux d’une lycéenne et qu’elle accepte ses attouchements. Les faits ont ainsi étéé rapportés par le prévenu.

ANTITERRORISME OU SENTIMENT AMOUREUX

Le comportement d’Olivier Combes n’en reste pas moins choquant, parce qu’il est intervenu dans l’exercice de ses fonctions. Lire par ailleurs :  Dérapage à la DGSI
Nora a été tentée par le djihadisme en 2016. Le patron de l’antiterrorisme ardennais avait pour mission de la dissuader de partir en Syrie. C’est ce qui a favorisé des relations plus qu’étroites entre la jeune fille, qui n’avait pas encore 17 ans, et l’officier de 55 ans.

 

Maitre Pauline Manesse

 

Pour l’avocate de Nora, la relaxe d’Olivier Combes est incompréhensible. Pauline Manesse indique que le dossier fait état de messages dans lesquels il implorait le pardon de sa victime en promettant de ne plus l’importuner. Elle rappelle encore que d’autres très jeunes filles, qui n’ont pas porté plainte, ont été la cible des assiduités du haut gradé. “Je veux, disait l’avocate, que ce dossier soit à nouveau plaidé.” Ce qui sera le cas. Le parquet a fait appel après quelques heures.

UNE PEDOPORNOGRAPHIE ENVAHISSANTE

“La relaxe d’Olivier Combes sur les faits d’agressions sexuelles aura un effet délétère sur ma cliente” dit encore Pauline Maness. Nora a grandi dans une famille musulmane très pratiquante. Et il lui a fallu beaucoup de courage, selon son avocate, pour rapporter au bout de trois ans les agressions sexuelles qu’elle a subies de la part d’un homme dont dépendait son avenir. Sa plainte aura au moins permis de dévoiler les penchants  pédopornographiques ahurissants d’Olivier Combes. Des centaines de fichiers ont été découverts à son domicile à la faveur de l’enquête qui a suivi. Ce qui lui vaut une peine de deux ans d’emprisonnement dont un an ferme. Cette condamnation le laisse en liberté parce qu’elle couvre sa détention préventive. Elle ne concerne que la vie privée du prévenu. Les délits reprochés dans l’exercice de ses hautes fonctions à la DGSI sont relaxés. Le fonctionnement de l’institution n’est pas entaché. Pourtant, le parquet avait eu des réquisitions beaucoup plus sévères à l’audience de Juin dernier. Il a fait appel du jugement. Olivier Combes devrait être bientôt rejugé.

*Le prénom a été modifié

La condamnation d’Olivier Combes a été confirmée en appel le 30 Avril 2022


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