... uniquement contre la fraude sociale et celle à la TVA...
Il pousse un peu, quand même, non ?
On trouve quantité de fraudeurs du fisc parmi ses militants et partisans.
Mes anciens employeurs mafieux, par exemple, les complices de le mère maquerelle Josette Brenterch du NPA de Brest : tous fraudeurs du fisc pour des millions de francs à l'époque des faits, et de l'URSSAF, des ASSEDIC, etc... jusqu'à virer des gens uniquement pour faire supporter par l'ASSEDIC une part de leur revenu salarial habituel et ne plus leur verser que le complément au noir, tout en continuant à les exploiter en clientèle, et même à l'ASSEDIC dans un cas, d'où la découverte du pot-aux-roses... avec sanction uniquement pour l'informaticien qui avait accepté de travailler dans ces conditions, mais lui n'avait pas le choix... Sans parler des faillites frauduleuses et de toutes les autres magouilles...
Comment ? On ne comprend pas ce que je raconte à propos de l'ASSEDIC ?
C'est pourtant simple : pour faire des économies sur les salaires, plutôt que d'arrêter de payer ses salariés, ce qui peut quand même conduire à des procès prud'homaux, il vaut mieux les licencier pour fautes graves (imaginaires, bien sûr) et le faire savoir auprès de leurs futurs employeurs potentiels juste assez pour qu'ils ne puissent pas retrouver du travail tout de suite, de telle sorte qu'ils soient obligés d'accepter de continuer à travailler pour l'employeur licencieur, mais cette fois à ses conditions, qui ne sont plus celles de contrats de travail légaux et librement consentis, mais passent par l'inscription à l'ANPE ou aujourd'hui Pôle emploi, avec versement d'allocations de chômage en guise de nouveaux "salaires" mensuels, complétés par des sommes versées par l'employeur en dehors de tout contrat. Celui de mes anciens employeurs mafieux qui l'a fait, à une certaine époque de manière massive relativement au nombre total de ses salariés, en avait placé un dans ces conditions au service informatique de l'ASSEDIC qui n'a pas tardé à se rendre compte qu'il était inscrit au chômage et percevait des allocations de chômage. Bien sûr, le faux chômeur et vrai fraudeur s'est fait gravement taper sur les doigts : poursuivi, il a été condamné. Mais l'employeur qui l'avait contraint à accepter cette situation n'a jamais été inquiété.
C'est un très bon copain de la mère maquerelle de Brest et de toute sa clique, pas seulement brestoise. A l'époque où il m'est tombé dessus, il bénéficiait déjà de complicités chez les syndiqués Sud ou CGT de La Poste, France Télécom, la Sécurité Sociale, etc... l'Inspection du travail, qu'il était très fier de dire à ses salariés avoir achetée pour n'avoir aucun problème, des fonctionnaires de police, également achetés, etc, etc.. ses juges... plein de monde. Il n'avait de soucis qu'avec les agents du fisc et ceux des RG d'un certain niveau, puisqu'il se plaignait que ses copains flics ne pouvaient pas accéder à ma fiche aux RG.
Élections législatives 2024 : à quoi servirait le ministère de la lutte contre la fraude voulu par Jordan Bardella ?
S’il obtient une majorité de sièges à l’issue des élections législatives, Jordan Bardella a promis de créer un ministère chargé de lutter contre la fraude, estimée à plusieurs dizaines de milliards d’euros selon lui. Mais quel serait le rôle de ce nouveau portefeuille ministériel ?
Faire de la lutte contre la fraude un des arguments de la campagne législatives, plusieurs candidats l’ont fait. Et le Rassemblement national n’y échappe pas : ce lundi 24 juin, alors que Jordan Bardella présentait le programme du parti nationaliste, il a indiqué dans ce dernier qu’«un ministère chargé de la lutte contre la fraude» serait créé si son camp parvient à remporter une majorité de sièges à l’Assemblée nationale.
Dans le détail, le parti entend «permettre aux organismes sociaux d’accéder aux fichiers utiles pour lutter contre la fraude», mais aussi de «contrôler que les personnes qui perçoivent des prestations sont toujours vivantes, en particulier lorsqu’elles vivent à l’étranger» et de «mettre en place la carte vitale biométrique».
La partie du programme mentionnant la lutte contre la fraude promet également de «renforcer les contrôles des importations pour mettre fin à la vente de produits étrangers ne respectant pas les normes françaises» et de «rendre les distributeurs responsables juridiquement en cas de vente de produits non conformes aux réglementations nationale».
En France, «les fraudes seraient de l’ordre de 15 milliards d’euros par an pour la seule TVA, de 10 à 20, voire 25 milliards d’euros pour la fraude aux prestations sociales, alors même que les organismes sociaux n’ont détecté, en 2019, qu’un milliard d’euros de fraude», a par ailleurs justifié le parti politique.
Contrôler le versement des prestation des personnes vivant à l'étranger
En clair, le Rassemblement national entend lutter à la fois contre la fraude à la TVA et la fraude sociale. Sauf que si le montant relayé au sujet de la première s'avère exact conformément à un rapport de la Cour des comptes datant de 2019, la véracité du second chiffre évoqué pose question. En effet, les Sages ont établi plusieurs estimations de la fraude sociales, qui pourrait atteindre 8 milliards d'euros selon eux. Une somme qui serait bien inférieure à celle avancée par le RN.
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