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mercredi 26 juin 2024

Pédocriminalité : Hélène Pelosse donne des noms

 

 

Et le crétin des Alpes de ricaner :


 

Depuis quand le Vatican fait-il partie de ses sources ?

Non mais quel con !

Hélène Pelosse a cité Alexandre Renard, archevêque de Lyon du 28 mai 1967 au 29 octobre 1981, et précédemment évêque de Versailles, où le Lyonnais Patrick Baudy est né en 1949.

Un rapport avec Roger Baudy ?

Il venait du Nord, de Lille où il a vécu, étudié et enseigné, une région où Patrick Baudy lui-même est allé s'amuser après tous ses dégâts en Bretagne, notamment dans le Finistère.

On notera que tout comme Jean-François Revel et René Schérer, Alexandre Renard a fait des études littéraires durant la Seconde Guerre mondiale : il obtient un doctorat ès lettres en 1941, avec deux thèses intitulées « La pédagogie et la philosophie de l'École nouvelle, d'après l'œuvre d'Adolphe Ferrière » et « Les querelles sur les possibilités de la philosophie chrétienne ».

Où ? A Lille ou ailleurs ?

Enfin, il finit sa vie dans le 7ème arrondissement de Paris.

Il faut aussi donner les noms des magistrats corrompus qui systématiquement classent les plaintes sans suite, refusent d'informer ou prononcent des non-lieux sans aucune enquête préalable, comme l'ont toujours fait les magistrats bretons depuis que je suis harcelée par le pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et pour la satisfaction duquel ils ont depuis produit tous leurs faux en écriture publique à mon encontre, ou pire encore, poursuivent et condamnent les victimes de pédocriminels, comme ils l'ont bien fait aussi pour moi avant que je ne réussisse à tout faire annuler en appel, même si je n'ai jamais été victime de leur part d'actes pédocriminels mais d'autres faits criminels : dans tous les cas, leurs pouvoirs extraordinaires restent les mêmes.

De mon côté, je n'hésite pas, ai maintes fois cité le duo brestois de pourritures Isabelle Johanny et Céline Verdier, mais aussi l'ancien conseiller de la Chambre de l’Instruction de la Cour d’Appel de Rennes, que j'ai vu plusieurs fois dans la décennie des années 2010 et que, curieusement, l'on retrouve comme conseiller juridique pour la question des abus sexuels dans l'Eglise auprès du diocèse de Rennes après sa retraite :

http://satanistique.blogspot.com/2022/08/bruno-crepin-ancien-magistrat-rennais.html

La pédophilie est décidément une question prégnante pour tous les magistrats bretons auxquels j'ai affaire depuis 2010.

Dès le 14 novembre 2018, Bruno Crépin, à la retraite depuis le 1er octobre 2018, avait intégré le Conseil d'Administration de l'association Accueillir et Partager de la paroisse Saint-Augustin de Rennes où il apportait déjà de l'aide à des personnes en difficulté, notamment des étrangers, en partenariat avec les CDAS et d'autres associations, comme la CIMADE, ce qui en fait un proche de feu Dominique Le Brun alias Charles Mouloud, le premier des dégénérés de la bande de cybercriminels dits "déconnologues" du pédocriminel et terroriste "islamigré" Pascal Edouard Cyprien Luraghi à m'avoir attaquée sur Internet à compter de juillet 2008 pour avoir quelques mois plus tôt évoqué sur le site Rue89 les procès et condamnations de fin 2007 pour actes pédocriminels de l'ancien psychiatre brestois Serge Rodallec, un de ses anciens amis de Brest, qui se cachait alors en Thaïlande :

https://st-augustin-rennes.fr/actualites/autre/2018/PV%20AG%20Accueillir%20et%20Partager%2014%20nov%202018.pdf

Et le 1er janvier 2021, il était nommé membre du Conseil de Médiation du diocèse de Rennes pour une durée de trois ans renouvelable :

https://rennes.catholique.fr/nominations/#1622558551821-bdf11bd1-9bce

A priori, il y est toujours, il se trouve toujours dans l'annuaire du diocèse de Rennes avec le statut de laïc :

https://rennes.annuaire-eglise.net/#search?ts=s&term=bruno%20crepin 

Que je sache, la "médiation" n'a pas pour but d'aider les victimes d'abus sexuels à se faire entendre de la justice. Ce serait plutôt "on lave son linge sale en famille" en écrabouillant toutes les victimes qui refusent de fermer leurs gueules, comme il l'a fait pour toutes les victimes de la bande de pédocriminels, cybercriminels et terroristes islamistes Luraghi & Co durant la décennie des années 2010, de surcroît dans la joie et la bonne humeur, tout comme ces "déconnologues" et tous leurs complices magistrats de Brest et Quimper : leurs attentats islamistes le faisaient rigoler, faire massacrer des familles entières d'ingénieurs par et pour le plaisir de cette bande de débiles mentaux le faisait tout autant rigoler. Il n'a cessé de rigoler et se moquer de la femme ingénieure que je suis que du jour où je l'ai contraint à revenir sur ses précédentes décisions scandaleuses au profit des Luraghi, Le Brun et autres assassins d'ingénieurs, toutes des faux en écriture publique, fin 2017. Là, il m'a ostensiblement fait la gueule et a demandé aussi sec à faire valoir ses droits à la retraite.


 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Renard

Alexandre Renard


Alexandre Renard
Image illustrative de l’article Alexandre Renard
Biographie
Nom de naissance Alexandre Charles Albert Joseph Renard
Naissance
Avelin (France)
Ordination sacerdotale
Décès (à 77 ans)
Paris 7e (France)
Cardinal de l'Église catholique
Créé
cardinal
par le
Pape Paul VI
Titre cardinalice Cardinal-prêtre de San Francesco di Paola ai Monti (1967-1976)
Cardinal-prêtre de la Trinité-des-Monts (1976-1981)
Évêque de l'Église catholique
Ordination épiscopale par le
card. Achille Liénart
Dernier titre ou fonction Archevêque émérite de Lyon
Archevêque de Lyon
(Primat des Gaules)
Évêque de Versailles

Blason
« Ex Fide in fidem » (Rm 1,17)
« De la foi, vers la foi »
(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org

Alexandre Renard, né le à Avelin (Nord) et mort le dans le 7e arrondissement de Paris1, est un cardinal français, évêque de Versailles de 1953 à 1967 et archevêque de Lyon de 1967 à 1981.

Biographie

Prêtre

Alexandre Renard entre au grand séminaire de Lille en 1924 et est ordonné prêtre le pour ce diocèse par le cardinal Liénart. Le début de son ministère est consacré à l'enseignement puisqu'il est d'abord nommé au petit séminaire d'Haubourdin en 1936 puis devient professeur à l'Institut catholique de Lille en 1938. Là, il donne des cours sur la doctrine sociale de l'Église, la morale sociologique et la psychologie pédagogique2. Il est aussi proche des jeunes puisqu'il devient aumônier de la Jeunesse étudiante chrétienne féminine. L'abbé Renard obtient un doctorat ès lettres en 1941, avec deux thèses intitulées « La pédagogie et la philosophie de l'École nouvelle, d'après l'œuvre d'Adolphe Ferrière » et « Les querelles sur les possibilités de la philosophie chrétienne »2.

Évêque

Nommé évêque de Versailles le , il est consacré le suivant par le cardinal Liénart et prend pour devise « Ex fide in fidem ». Son épiscopat est marqué par la restructuration du diocèse par la création des diocèses de la Petite-Couronne, qui entraîne une réorganisation pastorale. Mais il travaille surtout à la réception du concile Vatican II, auquel il a participé. Alexandre Renard a en effet été membre de la Commission pour la discipline des sacrements et a été un des rédacteurs du décret Presbyterorum Ordinis. Il rédige, pour ce faire, plusieurs ouvrages à vocation pastorale, comme Prêtres diocésains aujourd'hui (1963) ou Les religieuses dans le renouveau de l'Église (1964)2.

Cardinal

Fort de cette expérience, le pape Paul VI le nomme archevêque de Lyon le . Immédiatement après, il est créé cardinal au consistoire du , avec le titre de cardinal-prêtre de San Francesco di Paola ai Monti, qu'il conserve jusqu'au , où il prend le titre de cardinal-prêtre de la Trinité-des-Monts, qui revient traditionnellement aux archevêques de Lyon.

Le début de son épiscopat voit aboutir en 1970 le projet de création du diocèse de Saint-Etienne par scission du diocèse de Lyon.

Le , il signe un texte commun contre le racisme avec Bel Hadj El Maafi, imam de Lyon et résistant, le pasteur Yves Dargigue, président de l'Église réformée de Lyon et Jean Kling, grand rabbin de Lyon, où il déclare3 :

Tous les hommes, créés à l'image de Dieu, sont frères et doivent être respectés dans leur différence. Tout croyant doit s'interroger sur la portée réelle, concrète, immédiate de cet enseignement et avoir pleine conscience de sa responsabilité devant Dieu et devant le monde.

Malgré son parcours, le cardinal est très vite mis en difficulté dans son nouveau diocèse, où on le juge trop attaché à la doctrine2, et ne parvient pas réellement à apaiser les choses jusqu'à son départ. Il est confronté aux conséquences provoquées par les mouvements de 1968, qui le bousculent. Son diocèse est divisé et il est impuissant à restaurer l'unité. En , il est contesté sur sa gauche par 200 prêtres de son presbyterium au Forum des prêtres, dont finalement un certain nombre quitte la prêtrise dans les années qui suivent.

Le , après la mort de treize enfants handicapés et leur monitrice quelques jours plus tôt, qui se noient à Lyon4, il intervient lors de l'office multiconfessionnel pour prononcer quelques mots en leur mémoire, aux côtés de Francisque Collomb, maire de Lyon, Richard Wertenschlag, Bel Hadj El Maafi, et Pierre Doueil, préfet du Rhône5.

Il continue cependant à écrire et à publier, et certains points de son action sont à souligner : il développe le dialogue interreligieux à Lyon, avec le judaïsme, l'islam et les autres confessions chrétiennes. Par exemple, il est le premier archevêque de Lyon à entrer dans la Grande synagogue de Lyon. C'est sous son épiscopat qu'est fondé le Chemin Neuf, à vocation œcuménique, à Lyon en 1973, signe que le cardinal soutient le Renouveau charismatique.

Ayant la limite d'âge de 75 ans, il remet sa démission au pape le , laissant l'image d'un évêque isolé, alors que l'Église de France est en pleine tourmente. Il meurt le et est inhumé dans le caveau des archevêques de la cathédrale Saint-Jean de Lyon.

Sociétés savantes

Il est élu membre de l'académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon en 19746.

Notes et références


  • État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970 [archive].

  • Dauzet et Le Moigne 2010, p. 560.

  • 6 janvier 1972, Sud Ouest, Bordeaux (archivé sur Europresse).

  • « Treize enfants et leur monitrice meurent noyés à Lyon », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne [archive], consulté le )

  • « OFFICE MULTICONFESSIONNEL POUR LES VICTIMES DE L'ACCIDENT DE LYON », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne [archive], consulté le )

    1. Dominique Saint-Pierre, Dictionnaire historique des académiciens de Lyon : 1700-2016, (ISBN 978-2-9559433-0-4 et 2-9559433-0-4, OCLC 983829759, lire en ligne [archive]).

    Bibliographie

    • Dominique-Marie Dauzet et Frédéric Le Moigne (dir.), Dictionnaire des évêques en France au XXe siècle, Paris, Le Cerf, , 841 p.
    • Alexandre Renard, La Pédagogie et la philosophie de l'École Nouvelle, Éditions Don Bosco, coll. « Sciences de l'éducation », 325 p. (ISBN 978-2-914547-58-1)
    • Alexandre Renard, L'appel de l'esprit, Nouvelle Cité, coll. « Paroles prises », 102 p. (ISBN 978-2-85313-015-8)
    • Maryannick Lavigne-Louis, « Alexandre Renard », dans Dominique Saint-Pierre (dir.), Dictionnaire historique des académiciens de Lyon 1700-2016, Lyon, Éditions de l'Académie, , p. 1112-1113.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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