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dimanche 14 juillet 2024

Morad El Hattab très remonté contre la magistrature française

 

 

Entièrement d'accord avec lui.

Qu'il existe des délinquants, des criminels, des mafias, c'est une chose.

Que des magistrats en fassent eux-mêmes partie alors qu'ils sont censés être les garants de la loi, c'est totalement inadmissible.

Ce sont les pires criminels qui soient.

 

N.B.: La toute première sanction prononcée par le Conseil Supérieur de la Magistrature sur saisine directe par un justiciable est tombée très récemment, le 13 juin 2024, alors que cette possibilité existe depuis 2008, soit depuis 16 ans. Et il s'agit d'un simple blâme.

Moi aussi, j'ai tenté, avec un excellent dossier. Résultat : rien.

La pute Verdier a bien couché durant toutes ses années d'études post demi-bac, d'abord à Sciences Po Bordeaux (d'où l'on sait que celles qui refusent le système prostitutionnel en place se font éjecter assez rapidement), puis très probablement aussi à l'ENM et au-delà, comme nombre de ses collègues magistrates, dont les rumeurs de coucheries débordent des tribunaux. Cela lui donne le droit de faire assassiner autant d'innocents qu'elle veut. Cela explique aussi ses crises d'hystérie à chaque fois qu'elle est confrontée à une femme ingénieur ou autre qui elle n'a jamais recherché ni bénéficié d'aucune promotion canapé, ou ne s'est jamais prostituée volontairement pour assouvir des ambitions démoniaques.

Toutes ces putes de la magistrature (de vraies de vraies, pour le coup, personne ne les ayant jamais forcées) haïssent l'innocence, le pureté ou l'intégrité des autres femmes et des enfants, qui les renvoient à leur propre indignité fondamentale. Elles ne peuvent absolument pas les supporter. Elles ont besoin de les détruire pour pouvoir elles-mêmes se considérer comme honorables, respectables, ce qu'elles recherchent par-dessus tout. Il faut bien comprendre que ces pauvres femmes n'ont vraiment rien d'autre que le sexe pour acquérir la position sociale de notables, ce sont des nulles en tout, quoiqu'elles n'aient pas souffert de carences éducatives majeures, puisqu'elles sont pour la plupart issues de milieux aisés. 

Ces fêlées, ces cinglées, assassinent de vraies intelligences dans la joie et l'allégresse, car l'intelligence leur fait autant défaut que le sens moral.

La France manque de magistrats, certes, mais leur recrutement est aussi à revoir.

Des tas de gens très compétents et parfaitement sains d'esprit issus de la société civile pourraient venir doubler les effectifs de la magistrature française à l'issue d'une formation minimale de la manière suivante : à chaque magistrat ayant suivi le cursus complet de l'ENM, on adjoint une de ces personnes pour former un tandem qui serait enfin efficace et droit. Les magistrats de formation complète, qui seraient ainsi enfin tous encadrés correctement, n'auraient pas à se plaindre.

A chaque irresponsable son tuteur. C'est bien dans l'esprit des lois, non ?

Mesure d'urgence pour sauver la justice française durant une période de transition, jusqu'au remplacement de tous les irresponsables par de nouveaux magistrats de formation complète recrutés sur des bases nouvelles : exit le demi-bac catastrophique + soin particulier accordé à la personnalité des candidats à l'entrée à l'ENM, avec contrôles réguliers et obligations nouvelles : rendre des comptes, assumer.

Les déguisements d'opérette qui leur montent à la tête pourraient aussi être supprimés.

Non mais c'est quoi, ces subsistances de l'Ancien Régime au XXIème siècle ?

Je rappelle ici que mes anciens employeurs mafieux soutenaient que les femmes n'ont pas l'intelligence pour être ingénieurs et doivent être remises à leur place par la prostitution forcée quand elles s'imaginent qu'elles l'ont. Dans le milieu informaticien, ils étaient bien connus pour ce qu'ils étaient, très peu appréciés, évités, pas prix au sérieux (leurs inventions calomnieuses à mon encontre ont provoqué de vrais éclats de rire chez d'autres). Cependant, tous les magistrats (gravement tarés) saisis de mes plaintes contre eux les ont toujours suivis en tous leurs délires à mon encontre. La pute Verdier elle-même en est encore là aujourd'hui, elle continue à me reprocher d'avoir toujours refusé de me prostituer alors que j'étais ingénieur, et tente encore de m'y contraindre coûte que coûte. C'est extrêmement grave.

Avis d'une de mes avocates déboussolée par la pute Verdier, sa hargne à mon encontre (du jamais vu en 25 ans de carrière, même contre les pires criminels, alors que je n'étais que victime, mais victime de faits graves), et tous ses harcèlements, même à son encontre, à l'occasion de tous ses déplacements au tribunal, pour quelque affaire que ce fût, un harcèlement suivi et pratiqué à l'identique par les autres juges d'instruction et tous les magistrats du parquet, si bien qu'en définitive cette avocate ne m'a pas défendue, ne sachant comment traiter le problème de la CORRUPTION des magistrats :

"Croyez bien que je n'ai pas l'intention de cesser de vous défendre. J'assurerai donc votre défense devant la Cour d'Appel de RENNES.

Le juge d'instruction est sourd à toutes nos demandes, je me demande donc s'il n'est pas préférable de s'orienter vers la Cour d'Appel, car je crains que toute démarche près le TGI de BREST n'ait aucune chance de prospérer.

L'ordonnance de non lieu corroborre malheureusement mon analyse, car je ne vois guère de droit dans la motivation de ladite ordonnance."

Ces magistrats connaissent très bien ma famille, mon passé. Ils savent tous que j'ai fait toute ma scolarité à Brest toujours en tête de classe, avec les meilleures notes en tout sauf en sport. Eux, bien au contraire, sont tous, de tous temps, des nuls en tout. Du coup, ils m'ont toujours manifesté une haine absolument incroyable et sont entièrement d'accord avec mes anciens employeurs mafieux et leurs complices la mère maquerelle Josette Brenterch du NPA de Brest et son obligé le pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui eux aussi sont de tous temps des nuls en tout sauf en saloperies.

Je me répète : aucun de ces salopards ne peut tolérer, ni l'intelligence, ni l'intégrité morale, car ils sont eux-mêmes dépourvus de l'une comme de l'autre (cela va de pair).

Actuellement, la cour d'appel de Rennes, c'est encore une horreur absolue, il n'y a plus que des putes entièrement acquises aux pédocriminels. Je préviens les personnes de Saint-Brieuc, Rennes et ailleurs en Bretagne qui peuvent être concernées, pour le cas où elles ne s'en seraient pas encore rendu compte : elles vont en baver, et d'autant plus que Bernard Simier aussi est de retour. 

Il faudrait peut-être organiser des manifs devant le Parlement de Bretagne.

Allez, on recommence encore une fois : dans nombre d'entreprises privées et d'administrations françaises, il y a bien longtemps que l'on n'exige plus des "travailleurs" qu'ils soient compétents, mais seulement qu'ils obéissent, à tout et à n'importe quoi. Même chose pour les élus, d'ailleurs. A cet effet, on écarte tous ceux qui seraient intègres et aptes à travailler correctement bien avant la toute première candidature ou prise de fonction. C'est notamment le cas des magistrats et magistrates, pour nombre d'entre eux cooptés avant leur entrée à l'ENM ou leur sortie de cette école diplôme en poche, parce qu'ils ou elles ont couché ou se sont déjà compromis d'une autre manière. Tout le reste (concours, élection, etc...) est totalement factice, c'est de la poudre aux yeux.

Les putes sont exactement ce qu'il faut pour casser toutes les victimes des pédocriminels, violeurs et proxénètes (elles ne peuvent se supporter elles-mêmes que si toutes les autres sont aussi des putes et vont tout faire pour l'obtenir, ne reculant devant aucune violence). Ce sont donc de ces femmes-là, totalement aliénées, de véritables psychopathes, des criminelles, qui sont recrutées puis formées de manière très superficielle (elles n'ont pas l'intelligence nécessaire pour recevoir un enseignement très sérieux) pour devenir magistrates.

C'est pour cette raison qu'énormément de victimes sont effarées par la personnalité des magistrates auxquelles elles sont confrontées : la plupart du temps, elles sont bien pires que les hommes avec les femmes et les enfants, et avec elles, les hurlements en audition sont fréquents, et ce sont bien elles qui hurlent, pas les victimes (cas, notamment, de la pute Verdier, une vraie folle).

Enfin, il n'est pas surprenant de retrouver des connexions entre pédocriminels et auteurs d'attentats islamistes ou policiers corrompus : c'est bien un pédocriminel qui organise tous les attentats islamistes qui sont commis en France ou contre des Français et dans les pays limitrophes depuis mars 2012, à savoir le pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Bien évidemment, il mobilise tous les pédocriminels de son réseau.


https://www.actu-juridique.fr/professions/magistrats/flash-le-csm-prononce-sa-premiere-sanction-sur-saisine-directe-par-un-justiciable/

FLASH : Le CSM prononce sa première sanction sur saisine directe par un justiciable

 
Publié le 13/06/2024

Par décision rendue ce mardi 13 juin, le Conseil supérieur de la magistrature vient d’infliger un blâme avec inscription au dossier à un magistrat en raison de son comportement lorsqu’il était juge d’instruction entre 2019 et 2022. C’est la première fois qu’une saisine directe débouche sur une sanction, depuis sa création en 2008. 

 

Toque de magistrat
Toque de magistrat (Photo : ©P. Cluzeau)

 

C’est une première ! Une saisine directe du Conseil supérieur de la magistrature par un justiciable s’estimant victime d’une faute disciplinaire de la part d’un magistrat vient de donner lieu à une sanction. Jusqu’ici, cette procédure créée en 2008 n’avait guère prouvé son efficacité. Beaucoup de plaintes en effet trahissaient une confusion entre cette saisine et un recours, ou bien encore visaient des faits non démontrés, ou ne relevant pas de la faute disciplinaire.

Dans ce dossier, un justiciable qui faisait l’objet d’une information judiciaire ouverte en mai 2010 reprochait au juge d’instruction qui avait repris l’affaire en 2019 d’avoir quitté ses fonctions en juin 2022 sans avoir rendu l’ordonnance de règlement de l’information judiciaire, alors que le réquisitoire définitif remontait à juin 2019. Et ce, bien que ce juge ait reçu, durant presque trois ans, de nombreuses alertes de sa hiérarchie à ce sujet.

Manquements aux devoirs de loyauté et de délicatesse

Le CSM constate un manquement de l’intéressé à son devoir de loyauté à l’égard de sa hiérarchie et de délicatesse vis à vis du justiciable.

Extrait :

« Conformément à son serment, le magistrat exerce ses fonctions avec loyauté. Dès lors, il doit informer loyalement sa hiérarchie de l’évolution des procédures dont il a la charge.

Dans ses relations avec le justiciable, le magistrat est soumis à un devoir de délicatesse lui imposant le respect et la prévenance envers autrui.

Il est constant que M. X s’est engagé à plusieurs reprises à rendre l’ordonnance de règlement relative à l’information judiciaire ouverte à l’encontre de M. Y et en dernier lieu auprès de la présidente de la chambre de l’instruction de la cour d’appel de XX à l’égard de laquelle il s’était engagé à notifier l’ordonnance le 19 avril 2022, puis le 30 avril 2022.

Or, au regard de l’ampleur du travail qu’impliquait la rédaction de l’ordonnance de règlement, qu’il n’avait pas même débutée, il est manifeste que M. X n’était pas en mesure de respecter, vis-à-vis de la présidente de la chambre de l’instruction, les engagements qu’il avait pris oralement le 21 mars 2022 et par courriel le 14 avril 2022.

Si le Conseil considère que ces engagements non suivis d’effet ne relèvent pas des devoirs de légalité, de rigueur et de diligence, contrairement aux moyens soutenus par M. Y, ils caractérisent en revanche un manquement manifeste par le magistrat à son devoir de loyauté à l’égard de sa hiérarchie et à son devoir de délicatesse à l’égard du justiciable.

C’est d’ailleurs sur le terrain de la loyauté que s’est précisément placée la présidente de la chambre de l’instruction dans l’annexe du 15 juillet 2022 établie par ses soins et concernant M. X : « alors que X est capable de réaliser des interrogatoires construits et d’instruire certains dossiers avec la diligence requise, il a également démontré, d’une part, qu’il était incapable de gérer avec méthode un cabinet et de faire preuve de diligence notamment dans les dossiers dont il a hérité à sa prise de fonction et, d’autre part, d’être franc et loyal à mon égard puisqu’il m’a menti sur toutes ces dernières semaines […] ».

Le même constat concernant le défaut de loyauté peut être dressé au regard des engagements pris par M. X auprès du coordonnateur du service de l’instruction, devant lequel il s’était engagé à clôturer sept procédures lors de son évaluation de janvier 2021 précitée, dont celle concernant M. Y ».

La décision peut être consultée en suivant ce lien.

 

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