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Cette parodie de la Cène où l'on voit une petite fille au milieu d'adultes très spéciaux se faire menacer de décapitation et acquiescer en en faisant elle-même le geste est sans aucun doute la scène qui aura le plus choqué.
La même menace pour toutes les victimes tentées de se plaindre et dénoncer leurs bourreaux ?
Petitcoucou en tête ?
Me voilà il y a un paquet d'années, à la maternelle :
Je vais à l'école de La Seyne et ai déjà été remarquée comme "très intelligente".
Depuis le temps que certains malfrats rentrent chez moi comme dans un moulin quand je n'y suis pas, et fouillent absolument partout à la recherche d'informations à mon sujet, ils doivent bien avoir toutes mes photos scolaires et bien d'autres, et même des photos que je ne connais pas.
Ma voisine de palier avait bien vu le premier d'entre eux, dans les années 1990. Elle croyait que c'était un ami à qui j'avais donné mes clés. Ce n'était pas un ami et je ne lui avais pas donné mes clés. Quand elle me l'a décrit avec son loden hors d'âge, je l'ai tout de suite reconnu. C'était un collègue de travail qui ne foutait plus rien au bureau, où il n'avait de toute façon jamais rien fait de bon mais occupait toujours un poste d'ingénieur d'études en informatique pour lequel il n'avait pas les compétences requises. Il y passait tout son temps à monter son agence de détective privé. Et... j'étais son premier contrat... qu'il exécutait en collaboration avec les scientologues que j'ai déjà évoqués ici :
http://satanistique.blogspot.com/2024/08/tronche-en-biais-en-pause-apres-son.html
C'est lui qui a mobilisé toute la CGT contre moi, d'abord en région parisienne, puis à Brest où il s'est associé très tôt aux correspondants locaux de l'Eglise de Scientologie que sont de tous temps les militants de la LCR ou du NPA : techniciens de France Télécom syndiqués à la CGT pour les écoutes téléphoniques illégales pratiquées contre tous mes proches et moi-même, avec en plus la même maladie atteignant toutes nos lignes téléphoniques à chaque nouvelle agression physique à mon encontre (décrochages dans les centraux téléphoniques, de telle manière qu'aucun de nous n'était joignable, ce en l'ignorant totalement, et que nous ne pouvions donc plus communiquer entre nous), facteurs syndiqués à la CGT pour ouvrir tous mes courriers et me voler les plus importants, etc...
Ses visites à mon domicile avaient notamment pour but l'installation de micros pour sonoriser mon appartement.
C'était un type d'Amiens. Un sale type dont la famille est probablement très proche de celle du grande maître de cérémonie (ascendants tous à la SNCF).
Tous les matins, mes collègues de travail étaient briefés sur les contenus de mes conversations privées de la veille au soir, qu'elles aient eu lieu par téléphone ou par présence à mon domicile, et certains ne se gênaient pas pour venir m'interroger sur les contenus de ces conversations d'ordre totalement privé, par exemple avec ma mère à propos d'affaires familiales. Le viol H24 avait commencé, il n'a jamais pris fin, j'y suis maintenant continuellement soumise depuis plus de trente ans, sans aucun moyen de m'y soustraire (vous pensez bien que j'ai tout essayé).
Un mois après le début de ce "traitement", dont le but est bien évidemment de conduire les gens au suicide en un temps record, par exemple par défenestration sur le lieu de travail, j'étais en arrêt de travail pour maladie avec des problèmes cardiaques : même quand le suicide recherché n'est pas obtenu, les dégâts produits par ce genre de torture sont considérables.
Par ailleurs, toutes les personnes que je voyais en dehors du boulot étaient identifiées, approchées, contactées, visitées, dissuadées de continuer à me fréquenter à grands renforts de calomnies, et au besoin, de menaces et violences diverses.
Même les commerçants de mon quartier étaient ainsi visités à mon sujet...
C'est exactement ce que fait aussi le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi depuis 2008. Quand j'ai commencé à commenter anonymement des articles du site Rue89 cette année-là, il a été recruté pour poursuivre avec sa bande de cybercriminels dits "déconnologues" ce travail de tous ses prédécesseurs agissant toujours pour les mêmes commanditaires.
Alors, c'est bien moi, Judas ?
Pas de dénonciation, pas de croix, pas de martyre, pas de révélation, pas de christianisme.
Quand j'ai appris à écrire, je ne connaissais pas encore Rimbaud et sa colorisation des voyelles mais avais à peu près le même système : à chaque voyelle sa couleur, son image et sa valeur.
Le jaune est la couleur du i, l'image associée est le soleil éclatant de mon enfance. Pour moi, c'est la joie, le bonheur, un grand éclat de rire.
Merci, ça me va.
La révélation arrive... lumineuse... stridente...
N.B. : En règle générale, les ingénieurs ne sont pas dérangés par leurs collègues femmes ingénieures, avec lesquelles ils travaillent en bonne intelligence. Ce sont toujours de moins compétents ou des incompétents notoires qui ne peuvent absolument pas les supporter et parmi lesquels on recrute très facilement leurs harceleurs dans le travail ou ailleurs, qu'ils soient ou non rémunérés pour ce travail, mais en général ils le sont, ils négocient tous des primes, des augmentations de salaires ou d'autres avantages matériels ou pour leur carrière en échange de leur participation au massacre ou à l'assassinat de femmes ingénieures, ou le cas échéant, d'autres collègues, avec des motifs similaires. Idem pour tous les magistrats corrompus que j'ai rencontrés : certes, ils ont tous été payés ou récompensés d'une manière ou d'une autre, mais de manière absolument évidente, ils prenaient aussi leur pied à massacrer ou assassiner des ingénieurs ou plus particulièrement une femme ingénieure.
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