Armée de l'Air : deux accidents mortels en deux jours

Voulez-vous que je vous dise ?

Ce n'est pas un hasard.

Comme d'habitude, les crétins ont bien attaqué l'Armée de l'Air à travers ma petite personne...

Et ils n'ont pas fini de rechercher toutes mes anciennes connaissances pour faire assassiner toutes ces personnes...

Je rappelle ici que la première des demandes illégitimes de mes anciens employeurs mafieux et harceleurs, toutes réitérées à maintes reprises, concernait la Défense nationale, où j'avais déjà un pied et pas eux : ils attendaient de moi que j'y commette à leur profit des crimes et délits contre la Nation.

J'ai toujours tout refusé et ai été condamnée à mort pour cette raison.

Condamnation à mort régulièrement confirmée par une palanquée de magistrats tous corrompus.

Les magistrats n'aiment pas les ingénieurs. Ils n'aiment pas non plus l'armée ni les militaires.

En revanche, ils adulent ceux qui leur ressemblent, par exemple la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, que Joël Roma appelait "la grosse" ou "la Mère Sup"...

Barbara Butch lui a prêté ses traits pour la cérémonie d'ouverture des JO 2024.

La couronne de la statue de la Liberté dont elle était coiffée de manière grotesque nous rappelle tous ses liens avec les Etats-Unis et plus particulièrement la ville de New York.

 

https://www.lefigaro.fr/international/lavandou-en-marge-d-un-show-de-la-patrouille-de-france-un-avion-s-ecrase-en-mer-20240816

Un avion de collection s’abîme en mer au Lavandou, le corps du pilote retrouvé

 

Par V.M. et S.T. avec AFP

Publié hier à 17:22, Mis à jour hier à 21:14

 

Une enquête judiciaire a été ouverte pour déterminer les causes du drame, a annoncé le procureur de la République de Toulon. Le crash s’est produit peu avant un spectacle de la Patrouille de France.

Semaine macabre pour l'aviation. Un avion civil Fouga Magister s'est abîmé en mer vendredi au large du Lavandou, dans le sud de la France, avec le pilote resté coincé dans l'habitacle, deux jours après la mort de deux militaires dans la collision de leur avion de chasse dans l'est. Il s'agit d'un homme d'environ 65 ans, né en 1959, a précisé à l'AFP Samuel Finielz, le procureur du Var.

L'avion à réaction biplace subsonique, mythique et très prisé des amoureux de l'aviation mais dépourvu de siège éjectable, se produisait juste avant une démonstration de la Patrouille de France (PAF), selon un porte-parole de l'Armée de l'Air et de l'Espace (AAE). Il s'est abîmé en mer sans possibilité pour le pilote de s'en éjecter. Son corps a été retrouvé rapidement par les secours, coordonnés par le Cross Med, la Direction interrégionale de la mer Méditerranée, «avec des moyens du service départemental d'incendie et de secours du Var et de la gendarmerie maritime», selon la préfecture dans un communiqué.

Selon Bruno Clermont, membre du Centre des hautes études militaires, la victime est Didier Berger, 65 ans, ancien pilote de chasse qui avait racheté cet appareil il y a une trentaine d'années. «Tu as quitté le monde aux commandes de ton Fouga cher Didier. Bienvenue au bar de l'escadrille», conclut l'ex-général de corps aérien dans son post sur LinkedIn. Selon ce militaire, Gérard Berger, père de Didier, «également passionné par ce modèle d'avion et ancien pilote dans la Marine, est décédé dans les mêmes circonstances le 7 septembre 2003 (...) à Ajaccio, aux commandes d'un Zéphyr, la version marine du Fouga Magister».

L'office du tourisme du Lavandou a indiqué à l'AFP que le meeting avait été interrompu et définitivement annulé. «Compte tenu des tragiques circonstances, la PAF a annulé la démonstration et est repartie sur la base de Hyères» (Var), a précisé le porte-parole militaire à l'AFP. L’avion ne faisait pas partie de la patrouille Tranchant.

La «Solidarité» de l'armée

Des images sur les réseaux sociaux, authentifiées par l'AFP, montraient l'appareil légèrement désaxé et manifestement sans contrôle, s'abîmer au milieu d'embarcations de plaisanciers. Il appartenait à un collectionneur ou une entreprise privée, selon la préfecture. «Les pilotes et l'ensemble de la communauté de l'armée de l'Air et de l'Espace témoignent de leur solidarité dans ces moments difficiles», a indiqué l'AAE dans un message sur X. 

Selon le parquet de Toulon, l'enquête a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie des transports aériens. «Sur les circonstances, on y verra plus clair demain ou après-demain», a indiqué une source proche du dossier. L’enquête va aller dans deux directions a précisé Samuel Finielz à l'AFP: «Il faudra d'abord repêcher l'épave de l'aéronef, pour que celle-ci fasse l'objet d'analyses et d'expertises, pour déterminer une éventuelle défaillance mécanique ; puis il y aura des expertises d'ordre médico-légal, pour voir si le pilote n'a pas fait un malaise». Une enquête de sécurité a également été ouverte par le Bureau d'enquêtes et d'analyses, a précisé le BEA sur X.

Le Fouga Magister, mis en circulation dans les années 50, a longtemps fait les beaux jours de la PAF, notamment pour sa grande maniabilité. Il a cessé en 1980 d'équiper la Patrouille, désormais sur Alpha Jet. Il a aussi quitté l'armée en 1996 et fait désormais la fierté de quelques aéroclubs privés.

Ce drame, même s'il concerne un civil, intervient deux jours après la mort de deux pilotes d'un avion de chasse tués dans la collision avec un autre appareil au cours d'un exercice de combat dans le secteur de Colombey-les-Belles (Meurthe-et-Moselle). Le pilote du premier avion s'était éjecté et avait été récupéré blessé par les secours, tandis que de vastes opérations de recherches avaient été entamées pour retrouver les deux occupants de l'autre aéronef, un biplace. Le président de la République a annoncé leur décès mercredi soir. Une enquête judiciaire a été ouverte à Metz pour déterminer les causes du drame. Le Bureau enquêtes accidents pour la sécurité de l'aéronautique d'État (BEA-E) s'est pour sa part saisi de l'enquête de sécurité, comme c'est l'usage en pareille situation.

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https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/crash-de-rafale-qui-etaient-les-deux-pilotes-tues-en-meurthe-et-moselle-2168622

Crash de Rafale : qui étaient les deux pilotes tués en Meurthe-et-Moselle ?

Colombey-les-Belles

De

• Eric Turpin

Jeudi 15 août 2024 à 14:54

 

Deux pilotes, un instructeur et son élève, ont trouvé la mort mercredi lors de la collision entre deux avions Rafale au sud de Toul en Meurthe-et-Moselle : le capitaine Sébastien Mabire, 36 ans, originaire de Brix dans la Manche et le lieutenant Matthis Laurens, 29 ans.

 

         

De gauche à droite, le capitaine Sébastien Mabire et le lieutenant Matthis Laurens - © Armée de l'Air et de l'Espace

 

C'est le président de la République Emmanuel Macron qui a révélé mercredi soir l'identité des deux pilotes tués, quelques heures après la collision entre deux avions Rafale en Meurthe-et-Moselle. Il s'agit du capitaine Sébastien Mabire, 36 ans, et du lieutenant Matthis Laurent, 29 ans.

Le capitaine Sébastien Mabire était originaire de Brix dans la Manche. Il était père de famille. Il a fait ses débuts à Cherbourg-en-Cotentin et Il est entré dans l’armée de l’Air à l’âge de 16 ans, en 2004, après quatre ans au collège Le-Ferronay, et une seconde au lycée Millet de Cherbourg-en-Cotentin, précise la Presse de la Manche. "Devenir pilote, c'était un rêve", avait-il confié à nos confrères.

Il était pilote de chasse depuis 2013.  Il a commencé sa carrière opérationnelle au sein du régiment de chasse 2/30 "Normandie-Niémen", stationné sur la base aérienne de Mont-de-Marsan dans les Landes. Depuis deux ans, le militaire était instructeur au sein de l'escadron de transformation Rafale 3/4 "Aquitaine" basé à Saint-Dizier en Haute-Marne.

Qualifié de chef de patrouille, Sébastien Mabire comptabilisait plus de 2000 heures de vol et 47 missions de combat, réalisés dans le cadre de l'opération Chammal, qui lutte contre l'État islamique, précise l'Armée de l'Air et de l'Espace.

Le lieutenant Matthis Laurens était encore en formation. Pilote de chasse depuis 2021, il était affecté au Rafale au sein du régiment de chasse 2/30 "Normandie-Niémen" depuis novembre 2023 et poursuivait son instruction au sein de l'escadron de transformation Rafale 3/4 "Aquitaine". Le militaire comptabilisait plus de 800 heures de vol

Le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, et le chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’espace étaient attendus ce jeudi sur la base aérienne 113 de Saint-Dizier pour rendre hommage aux victimes et manifester "aux familles et aux frères d’armes des pilotes disparus toute la solidarité de l’Armée de l'Air et de l'Espace".

Eric Turpin

France Bleu