Tiens, encore des phryges ou des vagins : les pianos qui ne sont là que pour la forme...
Ce sont des méduses géantes couchées, inertes, des corps de femmes décapitées qui ne sont plus debout, des vagins tous conquis, dominés, piétinés, chahutés...
Toutes exécutées alignées les yeux bandés pour "trahison" de leurs bourreaux ? Les corps sont bien rangés. Ce sont les Queens d'Henri VIII. Une collection.
Ajout du 09/09/2024 : je viens de voir la séquence précédente, où des hommes en costard cravate ont une drôle d'activité sur les mêmes pianos, que l'on a vus aussi au tout début ouverts et très en chaleur au pied de l'obélisque, fumants... C'est bien ce que je disais le 29/08/2024 : ce sont les Queens d'Henri VIII... et elles ont bien été violées/violentées/tuées lors de cette précédente séquence, l'ensemble étant sans doute à rapprocher, d'une part, des courtisanes ou favorites de l'ancien régime qui boivent la tasse dans la Seine, et d'autre part, des délires du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi à propos des "poulettes de Sarkozy" dont j'aurais fait partie... ou tout simplement des "bourgeoises" hétérosexuelles qui n'ont toujours chacune de relations qu'avec un seul homme...
Place ensuite aux phryges, les bons vagins, ceux des prostituées - pas de feu, du coup... on joue même au furet, comme à la maternelle... les phryges des enfants esclaves sexuels ?
Quel est le message ? Le désir chez les femmes, c'est mal, c'est discriminatoire ?
Lire ou relire :
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/six-femmes-ingenieures-se-sont-succede.html
L'image associée à ce texte n'était évidemment pas à prendre au premier degré. Contrairement à un certain nombre de secrétaires, les femmes ingénieurs ne sont ni les épouses ni les maîtresses de leurs employeurs, sauf, bien sûr, dans l'imaginaire de l'alcoolique Josette Brenterch du NPA de Brest...
Aïe ! Encore des roues par terre...
Plus de malades mais des éclopés.
Retour de guerre ?
Une contribution de l'hôpital des Armées, cette fois ?
P.S. : Je n'ai rien contre les artistes, les sportifs, les handicapés. C'est la mise en scène qui est trop obscure, frappée d'un cynisme effrayant.
Le Dieu vivant des magistrats bretons, le pédocriminel, cybercriminel, trafiquant de drogue, proxénète, assassin et terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi se revendique bisexuel : il viole des petites filles, trompe sa femme sous ses yeux avec la meilleure amie de leur fille, Noémie dite Nono, ne dit jamais non à un bel éphèbe et a bien dû se prostituer dans sa jeunesse. N'ayant pas d'autres compétences que le cul et le crime organisé, il est autant méduse que toutes ses victimes. C'est le Dionysos à peau bleue de la cérémonie d'ouverture des JO qui offre sa propre viande empoisonnée pour le dernier repas du Christ.
Tous vomir et tous mourir ?
Des nageurs ont déjà été hospitalisés durant la quinzaine des JO après l'épreuve dans la Seine.
On nous promet de plus la variole du singe et l'envoi de troupes en Ukraine a été plusieurs fois évoqué ces derniers mois.
Quant aux victimes de viols, de pédocriminels ou de rituels satanistes, on les décapite à tout va à la face du monde...
C'est quoi, ce bordel, MM. Jolly et Reboul, Mmes Bürki et Le Pladec ?
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