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mardi 1 octobre 2024

Santé mentale : les psychiatres brestois veulent plus de moyens...

Tu m'étonnes... C'est le leitmotiv de toute la profession depuis toujours...

Et pourquoi ?

Le pouvoir d'un psychiatre hospitalier se mesure au nombre de lits sous sa coupe. 

C'est tout.

Plus il est sollicité pour des internements en psychiatrie, qu'ils soient justifiés ou non, et plus le psychiatre hospitalier est content, et les laboratoires pharmaceutiques qui s'occupent de ses vacances de rêve aussi.

En 2016, même la petite pute Nathalie Coulon (très impliquée dans l'affaire de la pendaison de plusieurs étudiants en médecine de 4ème année entre octobre 2002 et mars 2003) avait su dire au Télégramme qu'on estime à 1 % le nombre de schizophrènes dans la population générale, ou du moins ne jamais contester cette proposition contenue dans l'article qui lui avait été consacré, lequel se trouve recopié dans cet article récent de mon blog :

http://satanistique.blogspot.com/2024/08/le-roi-des-mouches-est-en-afrique.html

Il y a déjà un bon nombre d'années, nous en étions dans le Finistère à 2,5 % de schizophrènes déclarés et je suppose que ce taux exceptionnellement et anormalement élevé a depuis continué à augmenter de manière artificielle grâce à une multitude d'internements abusifs et de faux diagnostics, vu qu'ici, autant que possible, les psychiatres obéissent toujours aux violeurs, pédocriminels et proxénètes tels les deux complices Pascal Edouard Cyprien Luraghi et Josette Brenterch, ainsi qu'à quantité d'autres malfrats désireux de faire disparaître discrètement leurs victimes trop encombrantes ou divers témoins gênants.

Le Pr Guillaume Bronsard, pédopsychiatre au CHRU de Brest, réclame « une refonte de la filière et un travail collectif pour améliorer la représentation qu’a le grand public de la maladie ».

Et blablabla et blablabla...

A Brest, ils sont surtout en quête d'une amélioration de la représentation qu'a la population locale du psychiatre hospitalier du CHRU de Brest, exerçant aux urgences de la Cavale Blanche, à Morvan, ou dans les services de l'hôpital psychiatrique de Bohars, surtout depuis qu'en 2021 le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGPLP) a rendu son rapport après sa visite de l'établissement psychiatrique de Bohars en mars 2020, confirmant ce que de très nombreux Finistériens avaient ouï dire ou constaté par eux-mêmes avec effroi à propos des "soins" qui y sont prodigués :

http://satanistique.blogspot.com/2021/07/a-brest-lhopital-psychiatrique-de.html

Compte tenu des violences graves qui y sont exercées sur les "patients", et ce sans aucun changement depuis les années 1990, cet établissement aurait dû faire l'objet d'une fermeture administrative depuis très longtemps.


A lire ou à relire :

https://satanistique.blogspot.com/2021/12/enorme-scandale-brest-les-directeurs-du.html

http://satanistique.blogspot.com/2022/03/je-ferais-peur-michel-walter.html

 

 

https://www.letelegramme.fr/france/sante-mentale-nous-sommes-dans-une-phase-critique-juge-un-pedopsychiatre-6672912.php

Santé mentale : « Nous sommes dans une phase critique », juge un pédopsychiatre

 
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Sophie Prévost

Par Sophie Prévost

Pédopsychiatre au CHRU de Brest, le Pr Guillaume Bronsard attend beaucoup de la « grande cause nationale » sur la santé mentale. Il réclame « une refonte de la filière et un travail collectif pour améliorer la représentation qu’a le grand public de la maladie ».

 

Pédopsychiatre au CHRU de Brest et enseignant à la faculté de médecine, le Pr Guillaume Bronsard se dit « très impatient » de savoir de quoi la grande cause nationale sur la santé mentale, voulue par le nouveau Premier ministre, Michel Barnier, va être faite.
Pédopsychiatre au CHRU de Brest et enseignant à la faculté de médecine, le Pr Guillaume Bronsard se dit « très impatient » de savoir de quoi la grande cause nationale sur la santé mentale, voulue par le nouveau Premier ministre, Michel Barnier, va être faite. (Le Télégramme/Sophie Prévost)
 

Comment réagissez-vous à l’annonce du Premier ministre, Michel Barnier, qui veut faire de la santé mentale une grande cause nationale ?

Je suis, comme tous mes collègues psychiatres, très heureux et impatient de savoir de quoi il s’agit précisément. Que ce soit en pédopsychiatrie ou en psychiatrie adulte, notre constat est depuis longtemps le même : les besoins ont considérablement augmenté depuis une vingtaine d’années, mais pas les moyens ! On sait comment améliorer la condition psychique, comportementale et affective des gens, mais il nous manque des ressources correctes pour y arriver. La motivation médicale en a pris un coup, ce qui me fait dire que nous sommes arrivés dans une phase critique, qui mérite réaction.

 

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