Ouais ! Super !
Sous prétexte d'égalitarisme, ils organisent eux-mêmes harcèlements en tous genres et assassinats pour tous ceux qui dès la plus tendre enfance s'avèrent un peu trop doués, raflent toutes les meilleures notes à l'école, puis se font encore remarquer au boulot en faisant quantité de "miracles"...
Or, dans le même temps, les mêmes fonctionnaires ne cessent de réclamer pour eux-mêmes toujours plus de privilèges au détriment des autres, notamment les salariés du privé qu'ils assassinent dans la joie et la bonne humeur au profit de patrons mafieux...
Trois jours de carence et le traitement à 90% en cas d'arrêt de travail pour maladie, ce n'est pas encore l'alignement. Dans le privé, après trois jours de carence, on passe à des indemnités journalières égales à 50% du salaire journalier de base.
Il existe évidemment des conventions collectives qui obligent l'employeur à verser des compléments de salaire, mais cela ne vaut pas pour tout le monde ni tout le temps.
Prenons l'exemple de la mienne, du temps où je travaillais :
https://payfit.com/fr/fiches-pratiques/convention-syntec-arret-maladie/
La convention collective Syntec prévoit le maintien du salaire en cas d’arrêt maladie, d’accident de travail ou de maladie professionnelle.
Catégorie professionnelle | Ancienneté | Maintien du salaire (sous déduction des IJSS + régime de prévoyance) |
---|---|---|
ETAM | De 1 à 5 ans | 1 mois à 100 % + 2 mois à 80 % |
5 ans ou plus | 2 mois à 100 % + 1 mois à 80 % | |
Cadres | 1 an ou plus | 3 mois à 100 % |
Voilà. Si vous n'avez pas au moins un an d'ancienneté, vous n'avez le droit à rien. Du coup, il est très difficile de se maintenir plus d'an dans certaines sociétés relevant de cette convention.
Un an, c'est aussi le temps moyen d'un projet informatique.
Autrement dit, très souvent, on vous embauche pour un projet et on vous vire dès qu'il est terminé ou s'il se prolonge au-delà d'un an, on vous fait remplacer au bout d'un an par un autre informaticien spécialement recruté à cet effet et vous êtes viré.
Les motifs de licenciement allégués sont évidemment toujours bidon. Pour éviter de devoir payer un préavis, l'employeur n'hésite pas à licencier pour des fautes graves toutes imaginaires ou contraint son salarié à lui signer une démission antidatée de trois mois.
Cela m'est arrivé une fois, j'ai été licenciée pour fautes graves alors que j'avais atteint l'année d'ancienneté fatidique.
Et devinez ce qui s'est passé après...
J'ai été réembauchée immédiatement avec un nouveau contrat de travail semblable au premier, parce qu'en réalité, il n'était pas question de lâcher la "bonne gagneuse" que j'étais, mais seulement de me faire perdre le bénéfice de mon année d'ancienneté en cas d'arrêt de travail pour maladie.
Les fonctionnaires, particulièrement tous ceux qui arrondissent leurs fins de mois en venant en aide à de "pauvres" patrons qui se plaignent que des salariés osent leur réclamer leurs droits ou leur faire des procès en cas de besoin, sont toujours d'accord avec ce genre d'opération.
P.S.: Gagner aux prud'hommes contre l'employeur qui vire au motif de fautes graves imaginaires pour réembaucher immédiatement après avec un nouveau contrat (ce qui est nécessaire pour être blanchi de la grosse tache des fautes graves qu'il utilise pour s'assurer l'exclusivité de vos services ad vitam aeternam et faire de vous son esclave pour tout et n'importe quoi, mais particulièrement ses activités criminelles, qui vous font fuir s'il ne vous tient pas d'une manière ou d'une autre, et même sans en arriver là, mais c'est bien le but, il est bien évident que je n'aurais jamais accepté de rempiler avec le dingue qui venait de me faire le coup du licenciement pour fautes si, précisément, je n'y avais pas été contrainte par ce licenciement, l'alternative devant laquelle il m'avait alors placée étant celle-ci : ou bien vous signez, ou bien vous ne travaillez plus jamais), vous vous imaginez peut-être que c'est hyperfacile. Eh bien, non, pas du tout, on rencontre exactement les mêmes problèmes que face à ses complices la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous ses sbires "déconnologues" ou autres : votre avocat est acheté et les juges aussi... ou au moins le président d'audience. Pour espérer gagner ou ne pas trop se faire défoncer (comme je l'ai été en 2013 à Brest avec pour avocat Vincent Omez, qui m'avait fait lui payer des honoraires pour travailler non pas pour moi mais pour la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, laquelle était déjà défendue par ses propres avocats et tous les magistrats brestois, tous corrompus), il faut impérativement se défendre seul, et dans ces conditions, on obtient des crises de démence du juge corrompu qui va par exemple, comme dans ce cas-là, virer tous ses acolytes normaux pour pouvoir pondre le jugement et faux en écriture publique qui lui a été commandé par son corrupteur... Je ne vous dis pas le cirque à l'audience... et il est certain que cela a continué en coulisses, entre magistrats...
Je rappelle ici que le milieu des SSII est dominé par les mafias et que les informaticiens qui y travaillent subissent très régulièrement toutes sortes de saloperies de leurs employeurs sans pouvoir tellement se défendre du fait de l'essence mafieuse de ces sociétés, avec corruption systématique de quantité de fonctionnaires, magistrats, etc...
Même les journalistes qui pourtant ont toujours méprisé les professionnels aux statuts de salariés, tout ingénieurs qu'ils soient (ou bien tous les ingénieurs, quels qu'ils soient), le savent, à tel point qu'en mars 2009 un article avait été publié à ce sujet sur le site Rue89. J'avais tenté de le commenter et des "déconnologues" de la bande du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi m'étaient tombés dessus, ce que j'avais raconté une première fois sur mon ancien blog "Un petit coucou" chez OverBlog en y republiant toute la "discussion" que nous avions eue sous l'article de Rue89, et j'en ai reparlé plus récemment dans cet article du 15 mars 2023 :
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/des-attaques-de-cyprien-luraghi-et-sa.html
Le "texiste mal" qui me harcelait avec ces "déconnologues" dans les commentaires sur cet article du 12 mars 2009 était très probablement la criminelle Josette Brenterch en personne, et c'est aussi très probablement à la suite de cette discussion qu'elle a décidé d'évacuer complètement de ma biographie tout mon passé professionnel réel, pour pouvoir continuer à soutenir que je n'aurais jamais été harcelée dans le travail alors que c'est le lot commun de très nombreux informaticiens.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire