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jeudi 10 octobre 2024

Affaire Grégory, encore celle d'un juge fêlé...



... et de toute une meute de journalistes ayant toujours amplifié toutes ses déviances en les suggérant parfois... avec l'avocat de la CGT venu de Paris pour assurer de sa protection les gros jaloux tous plus ou moins auteurs ou complices du meurtre...

Le nouveau procureur général près la cour d’appel de Dijon, Philippe Astruc, a annoncé le 7 octobre qu'il rouvrait ce dossier. Il vient de Rennes, où il était procureur de la République depuis 2019.

Sans doute fut-ce encore une fête pour le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi et toute sa clique, une bande de cinglés qui adorent faire la chasse aux corbeaux, sauf qu'ils ne les voient jamais où ils sont vraiment... dans leurs propres rangs... dans le miroir tous les matins quand ils se rasent...

Dès le lendemain, 8 octobre, elle a dû se retourner contre eux, je ne sais comment, n'ayant pas le temps de chercher dans la multitude des publications concernant cette affaire.


N.B.: Voici ce que je disais déjà le 13 juillet 2017 sur cette affaire qui par certains aspects se rapproche bien de la mienne, un certain nombre de Brestois, dont la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, ayant décidé très tôt d'assassiner tous les enfants de mon père par haine ou jalousie à son endroit du fait que nous étions tous d'excellents élèves ayant ensuite fait des études d'ingénieurs :

http://satanistique.blogspot.com/2017/07/petits-juges-lambert-et-autres-de-la.html

 

 

https://www.public.fr/affaire-gregory-nouveau-procureur-dijon-prend-decision-historique

Affaire Grégory : le nouveau procureur de Dijon prend une décision historique

 

L'affaire Grégory est toujours en cours d'instruction. Le nouveau procureur de Dijon vient d'ailleurs d'annoncer une grande décision à son sujet.

 

Par Roxane Mirambet - Modifié le
Affaire Grégory : le nouveau procureur de Dijon prend une décision historique


Résumé

Le meurtre de Grégory Villemin est survenu 40 ans plus tôt, et a secoué la France entière.

Or, la justice n’a jamais réussi à mettre la main sur le coupable, en dépit de toutes les pistes envisagées.

Le nouveau procureur de Dijon s’est récemment dit prêt à aller de l’avant dans cette affaire. La vérité va-t-elle enfin éclater ?



L'affaire Gregory a toujours été l'une des histoires criminelles qui a le plus déchaîné les passions, autant en raison de l'horreur des évènements que du mystère qui l'entoure. Tout a commencé 40 ans plus tôt. Le corps sans vie de Grégory Villemin, un enfant de quatre ans, avait été retrouvé ligoté le 16 octobre 1984. Depuis, le coupable n'a jamais été retrouvé.

De nombreux rebondissements ont pourtant eu lieu dans cette affaire criminelle. Certes, le traitement de l'enquête a été, au départ, sujet à de fortes critiques. Il n'en reste pas moins que la justice continue régulièrement de rouvrir ce dossier difficile. C'est ce que vient de faire le nouveau procureur de Dijon, Philippe Astruc. Selon lui, il n'est pas question d'abandonner la recherche du coupable dans l'affaire du petit Grégory.

Le nouveau procureur de Dijon veut "chercher la vérité" dans l'affaire Grégory

Bien que le meurtre du petit Grégory soit survenu 40 ans plus tôt, la justice n'a jamais laissé tomber l'enquête. Philippe Astruc, le nouveau procureur de Dijon, s'inscrit dans la lignée de ses prédécesseurs sur ce point. "Je crois qu'il faut continuer à rechercher la vérité", a-t-il ainsi déclaré aux journalistes de France Bleu Bourgogne. Le dossier Gregory Villemin n'est donc pas sur le point d'être clôturé.

Quarante ans après les faits, l'affaire est ainsi toujours en cours d'instruction auprès de la justice française. Plusieurs suspects ont été envisagés. Néanmoins, aucune piste n'a jamais mené à rien. La dernière en date remonte à 2017, lorsque Muriel Bolle, Jacques Jacob et Marcel Jacob ont été mis en examen. Toutefois, des vices de forme ont mené à l'annulation de ces procédures, laissant les enquêteurs au point de départ. Mais tout espoir n'est pas perdu, à en croire Philippe Astruc.

De nouvelles expertises pourraient faire éclater la vérité dans l'affaire Grégory

À vrai dire, le nouveau procureur de Dijon n'a pas évoqué une quelconque piste qu'il entend, pour le moment, suivre. En revanche, Philippe Astruc affirme que de nouvelles technologies pourraient permettre de faire des avancées dans l'affaire Grégory. Le procureur pense notamment à l'identification d'ADN.

"C'est, par exemple, la technologie qui nous a permis d'identifier neuf ADN", a tenu à rappeler Philippe Astruc. Des analyses de voix sont également envisagées pour identifier le corbeau, la personne mystérieuse qui avait envoyé des lettres aux parents de Grégory Villemin avant le meurtre.

À ce jour, aucune découverte notable n'a toutefois été réalisée par les enquêteurs avec ces nouvelles technologies. Mais la chambre de l'instruction de la Cour d'appel de Dijon a demandé, en mars dernier, de nouvelles comparaisons ADN. Une étude de faisabilité sur une expertise vocale a aussi été requise. De son côté, Philippe Astruc souligne l'importance de continuer avec des enquêtes classiques, en parallèle de l'utilisation de ces expertises et technologies.


https://www.aufeminin.com/actualites/affaire-gregory-continuer-a-chercher-la-verite-le-nouveau-procureur-general-prend-la-parole-40-ans-apres-s4096590.html

Affaire Grégory : "Continuer à chercher la vérité", le nouveau procureur général prend la parole 40 ans après

 
par Jessica Ferret ,
Affaire Grégory : "Continuer à chercher la vérité", le nouveau procureur général prend la parole 40 ans après 
© DR

Le 16 octobre prochain signe les 40 ans de la disparition et du meurtre du petit Grégory, une affaire toujours non élucidée malgré de nombreux rebondissements. Alors que de nouveaux actes d’enquête ont été demandés en mars dernier, le nouveau procureur général à la Cour d’appel de Dijon ne souhaite pas lâcher et est toujours en recherche de vérité.

L’affaire Grégory est sans aucun doute l’une des disparitions d’enfants qui a le plus secoué les Français, pour preuve quarante ans plus tard elle fait encore parler d’elle. Une terrible affaire qui a marqué tout un pays. Pour rappel, le 16 octobre 1984, le petit Grégory Villemin disparaît mystérieusement alors qu’il jouait devant chez lui dans le petit village des plus paisibles de Lépanges-sur-Vologne dans les Vosges. Ses parents signalent sa disparition aux alentours de 17 h, c’est finalement quelques heures plus tard vers 21 h que le corps du petit garçon de quatre ans est retrouvé sans vie dans les eaux de la rivière de la Vologne, à Docelles, à environ 6 kilomètres de son domicile.

Un garçonnet dont le visage va rester gravé dans les mémoires et qui est repêché de ces eaux glacées avec un sac-poubelle sur la tête ainsi que les pieds et les poings liés au moyen d’une cordelette. Une terrible affaire qui va connaître depuis toutes ces années de nombreux rebondissements alors que les parents étaient également harcelés par un corbeau qui a revendiqué le meurtre du petit garçon et que le père, Jean-Marie Villemin, a tué son propre cousin d’une balle de fusil, Bernard Laroche, le 29 mars 1985 alors qu’il était suspecté dans la disparition de son fils, Grégory.

 

© AGENCE - BESTIMAGE
 

L’enquête ré ouverte à de nombreuses reprises

Si Jean-Marie Villemin a purgé une peine de prison pour le meurtre de son cousin, il n’a pour autant jamais arrêté de rechercher la vérité avec sa femme, Chrsitine Villemin. Les années 2000 vont alors permettre de découvrir de nouveaux éléments dans l’enquête grâce à l’évolution et à la modernisation des moyens techniques utilisés par la police scientifique. À la demande des avocats de Jean-Marie et Christine Villemin, l’enquête va être rouverte de nombreuses fois pour procéder à de nouvelles analyses, en avril 2000, en janvier 2009, en 2017, en 2021 lorsqu’ils demandent à rechercher des traces génétiques découvertes sur le petit garçon avec des ADN familiaux.

En 2023, l’un des corbeaux a même été retrouvé grâce à de nouvelles analyses ADN. Quatre décennies après la disparition et le meurtre du petit Grégory, en mars dernier, de nouveaux actes d’enquête ont été demandés suite à de nouvelles « requêtes de la partie civile », c’est-à-dire Jean-Marie et Christine Villemin. Alors que le père de famille a travaillé sur une BD baptisée sobrement Grégory, ces nouvelles demandes d’analyses permettent de relancer l’instruction. Le nouveau procureur à la cour d’appel de Dijon a d’ailleurs affirmé « qu’il ne faut pas lâcher » même si 40 ans sont passés depuis ce fameux jour.

Le nouveau procureur de Dijon porte une attention particulière à cette affaire

« Je crois qu’il faut continuer à rechercher la vérité (...) il faut continuer à travailler, notamment avec des enquêtes classiques, c’est-à-dire des recherches, des témoignages, des vérifications, mais aussi l’apport des éléments techniques, notamment sur les ADN que nous avons scellés et sur l’analyse de la voix du corbeau » a alors affirmé Philippe Astruc lors d’une entrevue avec France Bleu Bourgogne lundi 7 octobre 2024 alors qu’il rappelle : « C’est par exemple la technologie qui nous a permis d’identifier neuf ADN ».

« Il faut continuer ce travail. Chaque fois, on questionne les experts pour savoir si l’on peut utiliser telle ou telle nouvelle méthode (...) pour savoir si c’est suffisamment scientifiquement abouti » conclut-il. En attendant, le mystère de la disparition et du meurtre du petit Grégory reste entier.

Jessica Ferret
 
  

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