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mercredi 9 octobre 2024

Harcèlement moral à Brest : condamnation définitive pour l'ex-directeur de l'Adeupa

La Cour de Cassation a rejeté le pourvoi du condamné hier, mardi 8 octobre 2024.

Rappelons qu'à Brest la question du harcèlement moral en entreprise a toujours suscité des violences extrêmes, notamment toutes celles organisées contre moi par la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et son complice le pédocriminel, harceleur et terroriste "islamigré" Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Cette décision s'inscrit donc dans le mouvement de retournement total qui caractérise les lendemains de fête de ce dernier :

https://satanistique.blogspot.com/2023/12/le-chiffre-7-fetiche-du-terroriste.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/10/8-octobre-2024-lendemain-de-fete-pour.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/10/ase-alerte-du-conseil-economique-social.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/10/le-depute-hugo-prevost-exclu-du-groupe.html

 

 

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest-29200/rejet-du-pourvoi-en-cassation-de-lex-directeur-de-ladeupa-de-brest-condamne-pour-harcelement-6678735.php

Rejet du pourvoi en cassation de l’ex-directeur de l’Adeupa de Brest, condamné pour harcèlement

 

L’ancien directeur de l’agence d’urbanisme de Brest Adeupa, condamné en appel à quinze mois de prison avec sursis pour harcèlement à l’encontre de son assistante, a vu son pourvoi en cassation rejeté ce mardi.

 

La Cour de cassation a rejeté le pourvoi de Benjamin Grebot ce mardi 8 octobre 2024.
La Cour de cassation a rejeté le pourvoi de Benjamin Grebot ce mardi 8 octobre 2024. (Photo d’illustration Le Mensuel/Vincent Michel)

 

Condamné en appel, en septembre 2023, à quinze mois de prison avec sursis pour harcèlement à l’encontre de son assistante, l’ancien directeur de l’agence d’urbanisme de Brest Adeupa avait décidé de se pourvoir en cassation : ce pourvoi a été rejeté le mardi 8 octobre 2024. La Cour de cassation fixe à 2 500 € la somme que Benjamin Grebot devra payer à son ancienne assistante, Françoise L, après avoir constaté « qu’il n’existe, en l’espèce, aucun moyen de nature à permettre l’admission du pourvoi ».

« C’est une procédure dilatoire, qui s’inscrit dans la logique de défense choisie par M. Grebot depuis le début de ce dossier. Encore une fois, on continue à empêcher ma cliente d’être reconnue comme une victime », avait regretté Benjamin Bellec-Pennec, l’avocat de cette dernière, le mercredi 13 septembre 2023. Les faits de harcèlement s’étaient déroulés entre 2015 et 2019.

 

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