Et la plupart des journaux donnent des informations incomplètes qui ne permettent pas de comprendre de quoi il retourne réellement...
Merci à ceux qui informent sérieusement leurs lecteurs.
L'auteur des faits dit avoir agi au nom de Dieu et projetait d'autres assassinats que celui de cette femme, dont il ne peut être exclu qu'elle ait été visée personnellement et non choisie pour cible au hasard.
A l'évidence, il s'agit bien encore d'un attentat "islamiste" imaginé ou inspiré par le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui m'avait déjà virtuellement tuée le 14 juillet 2011 et avait organisé l'attentat de Nice du 14 juillet 2016 pour fêter somptueusement l'assignation à comparaître devant le juge des référés du TGI de Paris qu'il m'avait fait délivrer par acte d'huissier du 12 juillet 2016, une fête islamiste tout à fait conforme à ce qu'il indiquait déjà pratiquer me concernant en 2009, car il ne supportait pas de me voir commenter des articles du site Rue89 dont il se considérait propriétaire, comme d'ailleurs de tout l'espace public sur Internet, où il avait décidé de se faire reconnaître comme "écrivain" et dont il chassait très violemment tous ceux qui pouvaient lui faire de l'ombre.
Voir rappel ici le 22 avril 2016 :
http://satanistique.blogspot.com/2016/04/des-revendications-publiques-dassassins.html
Cyp’ le 30/08/2009 à 12:12
@ les RG :
Je préfère écrabouiller les folles furieuses qui se jettent sous les roues de ma bagnoles alors que je roule pépère sur la départementale, plutôt qu’aller me frotter aux CRS ou planter ma caisse dans un platane pour éviter ces cinglées.
D’ailleurs, vous faites plaisir aux CRS, quand vous manifestez : c’est grâce à vous qu’ils peuvent écouter Sardou et payer les traites de leur pavillon Phénix ultra-moche.
Sans vous, ils n’existeraient pas et le monde serait plus sympathique.
Vroum !
En relation avec la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest depuis le printemps ou l'été 2008 au plus tard, il sait comme tous les amis et complices de cette folle que j'ai été victime de toute une série d'agressions ou de tentatives d'assassinat dans le métro en 1994, à compter de début mai.
Les interviews que donne Judikael Hirel depuis un mois à propos de son agression dans le métro le 13 novembre 2017 ont pu raviver chez mes harceleurs le souvenir de cette série de tentatives d'assassinat de 1994 qui n'avait pas été concluante, puisqu'à chaque fois je m'en étais finalement sortie sans autre dommage qu'une très grosse frayeur.
Or, l'une de ces attaques avait consisté en une tentative de me pousser sous le métro, que j'avais sentie venir juste à temps et pu ainsi éluder. Il faut bien dire qu'ayant déjà été violemment agressée sur ordre de mes harceleurs (une tentative d'étranglement pour commencer le 4 mai 1994 au soir dans un couloir désert de la station Opéra, où je quittais le RER pour prendre le métro et rentrer chez moi), étant de plus continuellement suivie dans tous mes déplacements par leur milice depuis le premier raté du 4 mai 1994, j'étais naturellement sur le qui-vive.
Ce n'était sans doute pas le cas de la secrétaire d'un de mes anciens employeurs qui elle est bien morte de cette manière. Très probablement, elle a été tuée sur ordre des mêmes malfrats qui en 1994 avaient aussi tenté de me tuer de la sorte. Cet ancien employeur ne faisait pas partie de mes harceleurs, il avait lui-même été harcelé par mes harceleurs qui en exigeaient qu'il me licenciât pour faute, ce qu'il n'a jamais fait, car il n'avait rien à me reprocher. Tout ce que ces malfrats lui racontaient sur mes compétences ou mes soi-disant "incompétences" professionnelles le faisait franchement rigoler, il m'en avait parlé.
Paris : une femme meurt après avoir été poussée sur les voies du RER B, le suspect placé en infirmerie psychiatrique
Une femme d'une cinquantaine d'années est morte après avoir été poussée sur les voies du RER B à Paris, à la station "Cité universitaire" dans la matinée du vendredi 14 juillet, a appris franceinfo de source proche de l'enquête. L'homme, soupçonné de l'avoir poussée, a tenté de prendre la fuite avant d'être interpellé à Vitry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne.
Il a déclaré spontanément aux policiers avoir poussé quelqu'un sur les voies, et dit "être Dieu, qu'il devait tuer des gens et qu'il devait faire le bien sur Terre", a appris franceinfo de source proche de l'enquête. Il a aussi indiqué qu'il comptait s'en prendre ensuite "à une personne faible". Le parquet de Paris indique samedi matin à franceinfo que le suspect a été placé en infirmerie psychiatrique, son état étant jugé incompatible avec une garde à vue.
La victime a été poussée "sans raison apparente"
Les faits se sont produits vers 9h30, vendredi 14 juillet, à la station Cité universitaire du RER B en direction de l'aéroport Roissy Charles-de-Gaulle. Toujours selon cette même source, la victime a été poussée "sans raison apparente" au moment où une rame entrait en gare. La femme a d'abord tenté de se relever mais elle a finalement été percutée par la rame en question.
Les autorités ont ensuite procédé à l'évacuation de la rame. La gare a été fermée aux usagers par les autorités et le trafic interrompu entre les gares Denfert-Rochereau et Laplace avant de reprendre en milieu d'après-midi.
Paris : mort d’une femme poussée sur les rails du RER, un suspect interpellé
Un homme né en 1981 a été interpellé et placé en garde à vue ce vendredi. Il a confirmé avoir poussé une femme sur les rails de la station de RER B Cité-Universitaire juste avant l’entrée en gare du train ce matin. Le suspect a été conduit en unité psychiatrique.
C’est un terrible drame qui est survenu ce vendredi matin, à Paris. Une femme d’une cinquantaine d’années est morte après avoir été percutée par un train. Un individu a été interpellé quelques heures plus tard. Il a indiqué aux forces de l’ordre avoir projeté la victime sur les voies, explique au Parisien le parquet de Paris, confirmant une information de Valeurs actuelles.
Il est aux alentours de 9h30, ce vendredi matin, jour de Fête nationale, lorsque cette femme de 52 ans s’apprête à monter dans le RER B, à la station Cité-Universitaire, dans le XIVe arrondissement de Paris. Alors qu’elle patiente sur le quai, en direction du nord, un homme, d’une dizaine d’années plus jeune qu’elle, la projette violemment sur les rails. Les raisons de son geste demeurent inconnues. La victime, d’origine algérienne selon une source policière, « s’est relevée mais n’a pas pu éviter le train qui l’a percutée », indique le parquet de Paris ce vendredi soir. La femme n’a pas survécu au choc.
Interpellé pour des faits de vol à l’étalage
L’auteur des faits, lui, a pris la fuite. Mais cet homme de nationalité guinéenne a finalement été interpellé six heures plus tard. « À 15h40, une patrouille de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) a interpellé un individu né en 1981 pour des faits de vol à l’étalage, ajoute le parquet de Paris. Celui-ci a indiqué être l’auteur des faits survenus ce vendredi matin. Correspondant physiquement aux images de vidéosurveillance de la station RER, il a été placé en garde à vue. » Selon nos informations, il a tenu des propos incohérents devant les policiers et sa garde à vue a été levée dans la soirée. Il a été conduit à l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de Police (I3P).
Par ailleurs, au moment de son interpellation dans le magasin Auchan, l’homme aurait expliqué avoir caché un sac contenant des couteaux près du tramway de Vitry, vouloir tuer des enfants ou s’en prendre à des personnes âgées, puisqu’il s’agit de proies faciles, relate une source proche du dossier.
Une enquête a été ouverte pour assassinat et confiée au troisième district de la police judiciaire parisienne, précise le parquet. Les investigations se poursuivent.
La station Cité-Universitaire a été évacuée juste après les faits et est restée fermée aux usagers plusieurs heures pour les besoins de l’enquête, précise l’AFP. Le trafic a été partiellement interrompu puis est resté très perturbé toute la journée. Il a été « rétabli sur l’ensemble de la ligne » en fin d’après-midi, selon un tweet publié vers 18h30 sur le compte du RER B.
Il y a quelques semaines, c’est un homme de 31 ans qui avait poussé un retraité au passage d’un train de marchandises en gare de Gargenville (Yvelines). La victime s’en était sortie avec des blessures à la tête et aux côtes.
Une femme de 52 ans meurt après avoir été poussée sur les rails du RER B, le suspect conduit en psychiatrie
L’homme arrêté pour assassinat après avoir poussé vendredi 14 juillet matin sur les rails à la station Cité universitaire une femme, a été conduit à l’infirmerie psychiatrique. Sa garde à vue a donc été levée.
par LIBERATION et AFP
C’est la hantise de beaucoup d’usagers. Une femme est morte vendredi 14 juillet après avoir été poussée, «sans raison apparente» selon une source policière, par un homme, interpellé plus tard dans la journée. A 9 h 30, au moment de l’entrée d’un train à la Cité universitaire, une femme a été «projetée sur les rails» par un homme, a relaté le parquet.
Selon une source policière, la victime se trouvait sur le quai du RER B en direction du nord lorsqu’elle a été «violemment» poussée sur les voies. La femme s’est relevée mais n’a pas pu éviter le train, qui l’a percutée et mortellement blessée, selon le parquet. La victime est une femme de 52 ans, de nationalité algérienne, a précisé la source policière.
Interpellé pour vol à l’étalage
L’homme soupçonné des faits a pris la fuite. Mais, interpellé pour vol à l’étalage à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) par une patrouille de la brigade anticriminalité à 15 h 40, il a avoué être «l’auteur des faits survenus (le) matin», a indiqué le parquet. Il aurait assuré aux policiers qu’il était «Dieu» et «devait tuer des gens», en ciblant des «personnes faibles», selon une source policière. Le visionnage des images de vidéosurveillance de la station RER a permis d’établir qu’il correspondait physiquement à l’auteur des faits.
Il a dans un premier temps été placé en garde à vue dans le cadre d’une enquête ouverte pour assassinat et confiée au 3e district de la police judiciaire parisienne, expliquait le parquet vendredi. Mais, la poursuite de sa garde à vue a finalement «été considérée comme incompatible avec son état de santé». Sa garde à vue a été levée vendredi dans la soirée, le suspect ayant été conduit à l’infirmerie psychiatrique.
La station Cité universitaire a été évacuée juste après les faits et est restée fermée aux usagers plusieurs heures pour les besoins de l’enquête. Le trafic a été partiellement interrompu puis est resté très perturbé toute la journée. Il a été «rétabli sur l’ensemble de la ligne» en fin d’après-midi, selon un tweet publié vers 18 h 30 sur le compte du RER B.
Mise à jour le 15 juillet à 11 h 10 : le suspect a été conduit à l’infirmerie psychiatrique et sa garde à vue levée.
Une femme tuée après avoir été "violemment projetée sur les rails" du RER B à Paris : l'homme qui l'a poussée dit avoir agi "au nom de Dieu"
L'homme interpellé transportait des couteaux dans le but de tuer des enfants et des personnes âgées.
Une femme de 52 ans est morte après avoir été poussée sur les voies du RER B à Paris, à la station "Cité universitaire" dans la matinée du vendredi 14 juillet. Les faits se sont produits vers 9h30. L'homme, soupçonné de l'avoir poussée, a tenté de prendre la fuite avant d'être interpellé pour vol à l'étalage dans un magasin Auchan à Vitry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, dans l'après-midi. Il a reconnu être l'auteur des faits.
Selon Valeurs Actuelles, l’individu, Mamadou Mansour B., un Guinéen de 42 ans, aurait proclamé agir "au nom de Dieu" et dit vouloir tuer des enfants et des personnes âgées car ce sont des proies faciles. Toujours selon cette même source, il transportait des couteaux dans trois sacs dans le but de tuer. Il a été conduit à l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de Police.
"Violemment projetée sur les rails"
Selon Le Figaro qui cite une source policière, la victime, de nationalité algérienne, a été "projetée sur les rails" "violemment" et "sans raison apparente" par un homme "de type africain" au moment où une rame entrait en gare. La femme a d'abord tenté de se relever mais elle a finalement été percutée par la rame en question.
Les autorités ont ensuite procédé à l'évacuation de la rame. La gare a été fermée aux usagers par les autorités et le trafic interrompu entre les gares Denfert-Rochereau et Laplace avant de reprendre en milieu d'après-midi.
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