... qui étrangement honorent le terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi, comme je l'avais fait remarquer le 5 mai denier, en le faisant découvrir aux enfants niçois sous un jour qui ne lui correspond pas exactement à la bibliothèque municipale :
http://satanistique.blogspot.com/2023/05/cyprien-luraghi-bien-la-cote-nice.html
Pour rappel : ce malade mental n'a jamais été édité que deux fois, la première fois par Albin Michel dont le correcteur avait entièrement réécrit le bouquin signé Luraghi, et la seconde fois par Jean-Bernard Pouy des éditions Baleine, piégé par son engagement public à éditer tous les romans qui lui étaient proposés pour sa collection "Le Poulpe", quel que soit le travail de correction à réaliser, parfois très important.
Précisons encore que la première fois, il s'agissait, non pas d'un récit, mais d'un vrai roman enrobant des photographies réalisées à l'occasion de la constitution de catalogues d'enfants à vendre ou à prostituer, et que la seconde fois, il s'agissait d'un roman principalement destiné à couvrir de boue la soeur de l'auteur de manière préventive alors qu'elle aurait pu porter plainte contre lui pour des faits suffisamment graves pour l'envoyer à l'ombre pour longtemps (nouveau vol d'enfants pour la prostitution).
Et c'est bien lui qui organise, ordonnne ou commandite tous les attentats "islamistes" commis en France ou contre des Français depuis mars 2012, avec préparation à compter de 2008.
Seuls les deux derniers, du 8 juin 2023 à Annecy et du 14 juillet 2023 à Paris, ont été commis au nom de Dieu, une variante qui amuse beaucoup le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi et qu'il avait annoncée dès le 10 novembre 2022 en publiant à cette date le scénario de l'attaque d'Annecy du 8 juin 2023 :
https://satanistique.blogspot.com/2023/06/lattaque-dannecy-du-8-juin-2023.html
https://satanistique.blogspot.com/2023/07/nouvel-attentat-islamiste-paris-ce-14.html
https://satanistique.blogspot.com/2023/07/attentat-du-14-juillet-2023-paris.html
Une "petite déconnosophie", avait-il titré.
Sophie est le prénom d'une de ses cibles ayant pour particularité d'être chrétienne, très croyante et pratiquante. Il se fout d'elle, de nous, des autorités, de tout.
Voilà quelle est sa "déconnosophie" : désormais il fait des attentats "chrétiens" qui de ce fait ne sont plus traités par l'antiterrorisme, mais uniquement pas ses potes psychiatres du réseau psychiatrique passant par l'hôpital psychiatrique de Bohars où il ne manque pas de complices, et depuis très longtemps, c'est-à-dire l'année 2010 au plus tard.
A noter : l'attentat raté de Notre-Dame de Paris sur l'île de la Cité début septembre 2016, une semaine avant notre première audience devant le juge des référés du TGI de Paris sur la même île de la Cité, où se trouvait toujours ce TGI, la visait autant qu'il s'agissait de fêter ma très prochaine défaite judiciaire à Paris (qui n'est finalement jamais venue), l'attentat de Nice du 14 juillet 2016 étant quant à lui destiné à fêter mon assignation à comparaître à cette audience du 13 septembre 2016, délivrée par huissier le 12 juillet 2016. En effet, la très catholique Sophie allait tous les jours prier à Notre-Dame de Paris où elle passait beaucoup de temps... jusqu'à l'incendie du 15 avril 2019... dont le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, comptant bien des amis ou complices parmi les conservateurs du patrimoine, semblait encore ce 15 avril 2019, bien avant tout le monde, connaître les causes...
Rappelons que l'assassinat du père Hamel à Saint-Etienne-du-Rouvray le mardi 26 juillet 2016 (qui selon moi devait être plutôt prévu pour le dimanche 24 juillet 2016, jour anniversaire du fameux "sitacyp" ouvert le 24 juillet 2001), sitôt salué par des plaisanteries indignes de la Brestoise Julie Le Goïc et de l'ex-journaliste de Libération et ex-loleur Alexandre Hervaud, faisait aussi partie de cette série de 2016 liée à la procédure parisienne du terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi et inaugurée par l'assassinat de deux policiers à Magnanville (c'est la demande d'audience en référé), l'un des deux étant originaire de Pézenas dans l'Hérault où il avait pu croiser le malade mental Jean-Marc Donnadieu de Béziers.
Attentat de Nice: Le procureur requiert la requalification des faits en "homicides et blessures involontaires" à l'encontre de la ville
L'enquête judiciaire concernant les dispositifs de sécurité mis en place à Nice pour la fête nationale en 2016 prend un nouveau tournant. Le procureur requiert la requalification des faits.
"Il y avait une insuffisance criante des moyens de sécurité logistiques, matériels et humains déployés sur la Prom-Party" déplore Virginie Le Roy, l’avocate de l’association Promenade des Anges.
Pour rappel, le 14 juillet 2016 Mohamed Lahouaiej Bouhlel avait foncé avec un camion dans la foule, tuant 86 personnes et en blessant plus de 400 sur la Promenade des Anglais, à Nice.
Dès 2017, une enquête avait été ouverte pour "mise en danger de la vie d’autrui par violation délibérée d’une obligation réglementaire de sécurité ou de prudence" après la plainte déposée par plusieurs parties civiles, pointant un manquement dans la sécurité mise en place pour la Prom-Party 2016 niçoise à l'occasion de la Fête nationale.
"Des défaillances"
Dans cette procédure, quatre personnes sont placées sous le statut de témoin assisté : Christian Estrosi, actuel maire de Nice qui occupait le poste de premier adjoint en 2016, Philippe Pradal, maire en 2016 et actuel député des Alpes-Maritimes, ainsi que l’ancien préfet des Alpes-Maritimes et son ex-directeur de cabinet, comme le rappelle France Info.
"Depuis plus de six ans, les investigations diligentées par les magistrats instructeurs révélaient des défaillances, voire une suite de manquements susceptibles d’avoir directement contribué à la réalisation des faits", martèle le procureur de Nice, Xavier Bonhomme, dans son réquisitoire supplétif. Il réclame la requalification des faits, estimant qu'il s'agit plutôt d'"homicides et blessures involontaires par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi".
Auditionner 60 policiers nationaux
Le ministère public requiert également les auditions de 60 policiers nationaux et municipaux, et d’équipages postés sur certains carrefours de la ville.
Il souhaite par ailleurs que de nouvelles annexes soient rajoutées au dossier : le rapport d’analyse des risques terroristes 2016 commandé par la Ville de Nice, ou encore la copie de l’intégralité des images de vidéosurveillance du 14 juillet 2016 dans la préfecture des Alpes-Maritimes.
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