Cela ne change rien à l'analyse que j'en proposais hier sur la base des premières informations publiées sur cet assassinat :
http://satanistique.blogspot.com/2023/07/nouvel-attentat-islamiste-paris-ce-14.html
Islamistes ou pas, les auteurs des attentats pseudo "islamistes" commis depuis mars 2012 sur ordre du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi ont déjà tué des Musulmans.
Et celui-ci a donné des explications montrant clairement que son attentat et ses autres projets d'assassinats sont de même inspiration que celui du 8 juin dernier à Annecy, dont le terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait établi et publié le scénario dès le 10 novembre 2022 :
http://satanistique.blogspot.com/2023/06/lattaque-dannecy-du-8-juin-2023.html
En outre, le même malade mental s'était encore vanté sur Twitter pas plus tard que le 9 juillet dernier d'avoir tué des gens pour selon lui faire le bien :
http://satanistique.blogspot.com/2023/07/le-terroriste-cyprien-luraghi-avoue.html
Rappelons qu'il écrivait notamment :
Les gens, je les imagine toujours comme si je les avais eus comme touristes dans mes groupes de treks autrefois. Lui, je lui aurais sans doute fait un croche-pied sur un sentier en corniche vertigineux, ni vu ni connu. Il n'aurait manqué à personne dans le groupe.
Un croche-pied sur un sentier en corniche vertigineux en montagne ou sur le quai du métro ou du RER juste au-dessus des rails, c'est bien à peu près le même geste.
Il convient donc de rechercher qui, éventuellement, pourrait avoir commandité l'assassinat de la femme qui a été tuée vendredi matin (d'autant que l'auteur des faits ne semble pas l'inclure dans les personnes "faibles" qu'il voulait ou devait aussi tuer) et de se poser les mêmes questions concernant le précédent d'octobre 2011.
Ce Guinéen dont on ne connaît toujours pas la religion quoique l'Islam soit très largement majoritaire en Guinée était peut-être déjà un lecteur assidu du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi en 2011.
Ce que l'on sait de la mort d'une femme poussée sur les rails du RER B à Paris
Ce vendredi, sur les coups de 9h30, une femme âgée de 52 ans a été "projetée sur les rails" de la station Cité-Universitaire, selon le parquet de Paris. Si elle a pu se relever, elle n'a en revanche pas pu éviter un train qui l'a mortellement percutée.
La femme de nationalité algérienne aurait été poussée "sans raison apparente". Le suspect, déjà auteur de faits similaires, a été arrêté quelques heures plus tard et placé en garde à vue.
· Une agression "sans raison apparente"
Ce vendredi 14 juillet, une femme âgée de 52 ans et de nationalité algérienne, a été poussée sur les rails de la station Cité-Universitaire du RER B à Paris. Vêtue d'un hijab, elle a été poussée "sans raison apparente" par un individu qui a pris la fuite en tramway avant l'arrivée des forces de l'ordre et des secours.
La victime a pu se relever, mais pas éviter l'arrivée d'un train qui l'a mortellement percutée.
Le trafic a été très perturbé toute la journée avant d'être rétabli sur l'ensemble de la ligne vers 18h30.
· L'homme interpellé et identifié
Un peu plus tard dans la journée, vers 15h40, le suspect a été interpellé pour vol à l'étalage dans un supermarché à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) par une patrouille de la brigade anticriminalité.
D'après les images de vidéosurveillance de la station RER, la personne interpellée correspondrait au suspect interpellé. Selon Le Parisien, l'homme âgé d'une quarantaine d'années répond au nom de Mamadou B. et serait de nationalité guinéenne.
· Le suspect connu pour des faits similaires
En octobre 2011, il avait été placé en garde à vue pour avoir poussé un homme de 25 ans sur les rails de la station Strasbourg-Saint-Denis.
Heureusement, le jeune homme avait chuté dans une fosse anti-suicide et le conducteur du train avait pu actionner à temps le freinage d'urgence.
Déjà à l'époque, aucun motif n'avait pu être établi. Selon une source policière, "[le jeune homme] n’a pas vu venir son agresseur. Ce dernier n’a pas dit le moindre mot. Il s’est juste dirigé vers lui, l’a empoigné fermement avant de le projeter sur les rails."
Une hospitalisation d'office avait alors été prononcée en octobre 2011, a appris BFMTV, avec une mesure d'hospitalisation sous contrainte pour une durée de cinq ans, qui a toutefois été abrogée après un avis favorable d'un collège d'experts psychiatriques en 2016.
· Des déclarations troublantes
Après son interpellation ce vendredi, l'homme a assuré aux policiers être "Dieu" et devoir "tuer des gens" en ciblant des "personnes faibles". Il a également avoué les faits qui lui étaient reprochés.
Toujours selon le Parisien, l'homme aurait avoué avoir caché un sac de couteaux à proximité du tramway de Vitry-sur-Seine dans le but de tuer des enfants ou des personnes âgées.
Des déclarations troublantes qui ont valu à Mamadou B. d'être confié à l'Infirmerie Psychiatrique de la Préfecture de Police. Service qui permet d'accueillir des personnes "prises en charge par les services de police, dont les troubles mentaux peuvent présenter un danger pour elle-même ou pour autrui, en vue de leur orientation."
Une enquête a été ouverte pour assassinat et confiée au troisième district de la police judiciaire parisienne, précise le parquet.
Mort d’une femme poussée sur les rails du RER : le suspect avait déjà commis des faits similaires en 2011
INFO LE PARISIEN. L’individu suspecté d’avoir projeté une femme d’une cinquantaine d’années sur les rails du RER B, vendredi matin, a déjà poussé un homme sur les voies du métro il y a près de douze ans. La procédure judiciaire de l’époque s’est achevée par un non lieu.
Lors de son interpellation pour des faits de vol à l’étalage, ce vendredi 14 juillet dans l’après-midi, Mamadou B., un homme âgé d’une quarantaine d’années, a indiqué aux forces de l’ordre être celui qui avait poussé une femme de 52 ans sur les rails du RER B plus tôt dans la journée. Il a été placé en garde à vue pour assassinat avant d’être conduit à l’I3P, l’hôtel psychiatrique de la préfecture de police.
D’après nos informations, confirmées ce samedi soir par une source judiciaire, ce même individu est récidiviste. En effet, le 2 octobre 2011, Mamadou B., alors âgé de 30 ans, avait été placé en garde à vue après avoir projeté violemment un jeune homme sur les rails de la station Strasbourg-Saint-Denis. Il avait fait l’objet d’une procédure pour tentative d’homicide volontaire qui s’est terminée par un non lieu pour cause d’irresponsabilité pénale, le 11 février 2013. Hospitalisé d’office, le 30 octobre 2011, l’individu est resté sous le coup d’une mesure d’hospitalisation sous contrainte pendant cinq ans, abrogée suite à l’avis favorable d’un collège psychiatriques en 2016.
A l’époque, la victime avait chuté, par miracle, dans la fosse anti-suicide et le conducteur de la rame avait eu le temps d’actionner les freins de sa machine. Le pousseur présumé, quant à lui, avait été interné à l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police alors qu’il tenait des propos incohérents face aux enquêteurs.
L’individu correspond aux images de surveillance de la station
Le scénario semble donc s’être répété ce 14 juillet 2023, près de douze ans après les premiers faits. Avec une issue beaucoup plus tragique et le décès de cette quinquagénaire. Ce vendredi, interpellé par une patrouille de la brigade de police secours de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) à 15h40 dans un magasin Auchan, l’individu aurait à nouveau tenu « des propos incohérents », selon une source policière.
Il aurait notamment expliqué avoir caché un sac contenant des couteaux près du tramway de Vitry, vouloir tuer des enfants ou s’en prendre à des personnes âgées. Il aurait aussi précisé avoir déjà fait un séjour en psychiatrie, relate une source policière. L’enquête a été confiée au 3e district de la police judiciaire parisienne.
Quelques heures plus tôt, à 9h30, c’est donc ce même homme qui est soupçonné d’avoir poussé une femme de 52 ans, de nationalité algérienne, sur les rails du RER B à la station Cité Universitaire dans le XIVe arrondissement de Paris. Si elle est parvenue à se relever, indique le parquet de Paris, elle « n’a pu éviter le train — qui circulait en direction du nord — qui l’a percutée ». La victime n’a pas survécu.
Mamadou B. correspond physiquement aux images de vidéosurveillance de la gare étudiée par les enquêteurs, nous confirme une source policière. La perquisition du domicile du suspect n’aurait rien donné. Les investigations se poursuivent.
En 2011, la victime de 25 ans était « tombée vraiment au bon endroit pour éviter d’être électrocuté et de se faire écraser par la rame », soufflait, à l’époque, un policier. « Il n’a pas vu venir son agresseur, poursuivait la même source. Ce dernier n’a pas dit le moindre mot. Il s’est juste dirigé vers lui, l’a empoigné fermement avant de le projeter sur les rails. »
Raya, 14 ans, happée à la même station
Un cas « typique » du pousseur de métro. « Vous attendez tranquillement votre rame et soudain une personne dont vous avez juste croisé le regard vous fait chuter volontairement sur les rails. L’homme interpellé n’est pas en possession de toutes ses facultés mentales », nous expliquait alors une autre source policière.
En trois mois, la station Cité Universitaire a été le théâtre de deux drames. Au mois de mai, une adolescente de 14 ans, Raya, chutait accidentellement sur les rails juste avant l’entrée en gare du train. La jeune fille n’avait pas eu le temps de se mettre en sécurité et avait été mortellement happée par la rame.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire