C'est incroyable, il dit bien que le pic des émeutes a suivi immédiatement la mise en détention de son client et affirme qu'il n'y a pas de corrélation.
Celle-ci est pourtant évidente : nous avons encore eu droit à une fête "islamiste" ou islamo-gauchiste.
Comme d'habitude avec ces fêtes, il ne s'agissait pas tellement de faire pression sur des décideurs, mais bien de fêter une réussite, en l'occurrence la mise en détention du policier, qui n'était déjà pas totalement irréprochable avant les évènements du 27 juin 2023 et a peut-être été spécialement visé par la clique islamo-gauchiste pour son passé de militaire ayant participé à des interventions en Afghanistan, s'il a pu tout comme Nahel se faire piéger par quelques manipulateurs.
En même temps, et comme d'habitude lorsque c'est la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest qui organise, il s'agissait quand même bien d'impressionner très fortement, mais surtout le public. C'est l'ensemble des citoyens français qui était visé par cette nouvelle démonstration de force des émeutes, dont nous avons bien vu qu'elle tend encore à justifier une limitation de la liberté d'expression sur les réseaux sociaux.
Les émeutes de 2005 avaient déjà pour but de faire taire ou d'étouffer la révolte des chômeurs, précaires et exclus du réseau de collectifs AC ! qui venaient de se faire voler par la LCR leur outil de lutte contre le chômage, la précarité et les exclusions.
Toutes les fêtes islamistes organisées par la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses divers complices depuis mars 2012, notamment le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de cybercriminels, ainsi que certains militants du Front national, comme le dénommé Jacques Fornès à Quimper, ont également toujours été associées à diverses tentatives de limiter la liberté d'expression de leurs victimes.
C'est toujours ce qui les motive principalement depuis la popularisation de l'accès à Internet et l'avènement des réseaux sociaux, ils craignent en priorité les victimes de leurs innombrables saloperies, toujours restées soigneusement cachées au public tant que le citoyen lambda ne disposait d'aucun moyen d'expression publique.
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