Il s'agit toujours de Ronan Appéré, qui continue à exercer en dépit d'une condamnation prononcée en janvier 2019 pour injures, coups et blessures ou violences commis sur une femme en mai 2013, laquelle condamnation fut confirmée en appel au printemps 2021.
J'avais évoqué cette affaire dans cet article de blog du 1er mars 2019 :
http://satanistique.blogspot.com/2019/03/violences-faites-aux-femmes-lavocat.html
Son avocat Me Vincent Omez n'a pu obtenir l'annulation de la procédure ni en première instance ni en appel.
Pour moi non plus il n'avait rien obtenu de ce qu'il avait demandé en première instance à Brest en avril 2013, en dehors de l'irrecevabilité des plaintes éhontées de la criminelle Josette Brenterch à mon encontre pour leur partie relevant du droit commun, à savoir les atteintes à l'intimité de sa vie privée qu'elle m'accusait mensongèrement d'avoir commises en révélant au public son identité alors qu'elle s'exprimait sous les deux pseudonymes de "Chepita" et "amnlae" - elle avait en fait elle-même révélé son identité au public avant que je ne le fisse moi aussi, et tout étant toujours bon pour elle pour se "moquer" de moi ou me faire passer pour une débile, elle ne s'en était d'ailleurs pas privée sous le prétexte que j'avais patiemment attendu de n'être pas hors la loi pour faire moi-même cette "révélation", ce qu'elle avait décidé d'interpréter mensongèrement comme mon incapacité à la reconnaître alors qu'elle était à peine masquée, comme montré dans cet article du 28 décembre 2015 :
http://satanistique.blogspot.com/2015/12/des-denonciations-calomnieuses-de.html
Selon les juges brestois, mon avocat du barreau de Brest lors de ce procès tout à fait scandaleux de 2013, les plaintes de la plaignante Josette Brenterch du NPA de Brest à mon encontre étant par ailleurs toutes nulles pour plusieurs motifs (la première des deux portant de surcroît sur des faits présumés d'injures ou de diffamations publiques tous prescrits, si bien que la juge d'instruction s'était illégalement auto-saisie de poursuites autres que celles demandées par la plaignante, mais je ne l'apprendrai qu'après la fin de l'information judiciaire au cours de l'été 2012, mon avocat qui ne m'informait de rien ayant alors daigné me remettre une copie de la première partie du dossier de l'information judiciaire, et la suite de ce dossier qui me fera encore sauter au plafond seulement une semaine avant l'audience du 9 avril 2013), ne se serait donc montré pertinent qu'à ce sujet.
Encore avais-je moi-même soulevé cette question de l'irrecevabilité d'une partie des dénonciations calomnieuses de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à mon encontre lors d'un de nos rendez-vous à son cabinet, sinon nous n'aurions vraiment rien obtenu du tribunal correctionnel de Brest, pas même cette reconnaissance de l'irrecevabilité d'une partie des plaintes de la criminelle coupable-plaignante (elle s'était, elle, bien rendue coupable de multiples atteintes à l'intimité de la vie privée à mon encontre, depuis les années 1990, et particulièrement à compter de juin 2010 en complicité avec ses sbires de la bande du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dans le cadre de leurs monstrueuses campagnes de calomnies publiques à mon encontre, d'où la publication des droits de réponse qu'elle me reprochait devant les juges, et coupable aussi d'une multitude d'autres infractions pénales commises contre mes proches et moi-même à compter des années 1990 et jusqu'au jour de ma condamnation en juin 2013 et encore bien au-delà, puisque tous les crimes et délits dont il s'agit se poursuivent toujours aujourd'hui, après l'assassinat de plusieurs ingénieurs de ma famille, insuffisant pour nos assassins tant que nous ne sommes pas tous morts), qui restait de toute façon sans grand effet sur la condamnation prononcée le 11 juin 2013, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest ayant bien obtenu de ses complices magistrats ultra CORROMPUS de Brest exactement ce qu'elle avait demandé.
D'où
ma reprise en main de ce dossier au cours de l'été 2013 et le
changement d'avocat subséquent, qui auront conduit à l'annulation de
toute la procédure en appel à Rennes le 2 décembre 2015, après qu'une
exception de bonne foi, inexistante selon Me Omez qui comme tout le
monde à Brest adhérait à toutes les inventions calomnieuses de la
criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à mon encontre et ne
défendait en réalité que cette mère maquerelle et criminelle notoire,
eût été plaidée lors de l'audience du 30 septembre 2015 à Rennes, avec
production de nombreux éléments de preuve tous passés sous silence en
première instance à Brest, ce qui n'était pour moi absolument pas prévu
avant l'audience du 9 avril 2013 et fut une découverte extrêmement
choquante au moment même où le président d'audience m'appelait à la
barre - ce fut en effet le moment choisi par mon avocat pour m'annoncer
qu'il n'allait plaider qu'une annulation de la procédure sans aborder le
fond des différends m'opposant à la criminelle Josette Brenterch du NPA
de Brest (pour l'essentiel, il s'agissait de ma propre biographie dont
elle publiait et faisait publier par le malade mental Pascal Edourad
Cyprien Luraghi une version entièrement fausse et particulièrement
infamante, version qu'elle maintenait avec hargne être entièrement vraie
en m'accusant de mentir et de m'inventer une vie qui n'aurait pas été
la mienne) ni produire aucune des très nombreuses pièces que je lui
avais remises avec moultes explications : bel effet coup de massue sur
la tête m'ayant amenée à ladite barre vacillante, puis trois heures
d'audience à lutter contre l'évanouissement alors que j'étais
continuellement calomniée par la criminelle Josette Brenterch du NPA de
Brest et son avocat Me David Rajjou qui à aucun moment n'auront été
contredits par mon propre avocat, le tout dans une salle d'audience
archi comble, toute la ville et même des élèves de 4ème ayant été
conviés à assister à ce spectacle organisé par l'éminemment perverse
Josette Brenterch du NPA de Brest pour aboutir à une condamnation tout aussi scandaleuse
deux mois plus tard, voilà le sort réservé à Brest aux vraies victimes
de la vraie criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, surtout
lorsqu'il s'agit d'ingénieurs qui sont aussi d'anciens excellents élèves
des meilleurs établissements scolaires brestois, très connus dans le
fameux "microcosme" brestois (une vraie mafia).
Pour moi, la
clé du succès en appel fut donc celle-ci : ce n'est pas moi qui mentais
mais bien la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, qui n'a
jamais cessé d'inventer absolument n'importe quoi pour me calomnier tout
en commettant de très nombreuses autres infractions pénales à mon
encontre et contre tous mes proches, comme l'ont toujours su magistrats
et avocats locaux.
Quand les magistrats ne sont pas corrompus, dire la vérité s'avère plus efficace que toutes les comédies imaginées par certains coupables...
Juristes brestois : tous des demi ou quarts de cerveaux totalement tarés qui jalousent les ingénieurs pour leurs cerveaux complets et prennent leur pied à les massacrer ou les assassiner pour cette raison.
Plusieurs d'entre eux n'hésitent pas à se vanter publiquement d'avoir été des cancres... ce qui ne les a pas empêchés de "réussir" - entendez devenir des notables ayant beaucoup de pouvoirs, notamment celui d'assassiner tous ces anciens excellents élèves devant lesquels ils ont toujours crevé de jalousie, à l'égal de la mère maquerelle et criminelle notoire Josette Brenterch du NPA de Brest.
Magistrats, avocats et autres auxiliaires de "justice" du
Finistère : de la merde, des racailles, rien que de la merde et des
racailles, des assassins, des criminels.
Pour moi, la clé du succès en appel fut donc celle-ci : ce n'est pas moi qui mentais mais bien la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, qui n'a jamais cessé d'inventer absolument n'importe quoi pour me calomnier tout en commettant de très nombreuses autres infractions pénales à mon encontre et contre tous mes proches, comme l'ont toujours su magistrats et avocats locaux.
Quand les magistrats ne sont pas corrompus, dire la vérité s'avère plus efficace que toutes les comédies imaginées par certains coupables...
Juristes brestois : tous des demi ou quarts de cerveaux totalement tarés qui jalousent les ingénieurs pour leurs cerveaux complets et prennent leur pied à les massacrer ou les assassiner pour cette raison.
Plusieurs d'entre eux n'hésitent pas à se vanter publiquement d'avoir été des cancres... ce qui ne les a pas empêchés de "réussir" - entendez devenir des notables ayant beaucoup de pouvoirs, notamment celui d'assassiner tous ces anciens excellents élèves devant lesquels ils ont toujours crevé de jalousie, à l'égal de la mère maquerelle et criminelle notoire Josette Brenterch du NPA de Brest.
Magistrats, avocats et autres auxiliaires de "justice" du Finistère : de la merde, des racailles, rien que de la merde et des racailles, des assassins, des criminels.
Vienne: condamnation confirmée en appel pour le ténor du barreau de Brest
Publié le | Mis à jour le
Poitiers
La
cour d’appel de Poitiers a révisé le partage des responsabilités dans
une affaire de violences concernant un avocat pénaliste reconnu du
barreau de Brest, Ronan Appéré.
La justice avait dépaysé loin de la Bretagne cette affaire de violences
remontant à huit ans, comme c’est la coutume dans ce genre de
circonstances.
Ce
soir de mai 2013, la soirée alcoolisée avait tourné mal dans un
restaurant finistérien. L’avocat avait reconnu avoir dépassé les bornes
avec une femme lors de son premier procès.
Mais la suite des faits était contestée. La femme racontait que
l’avocat l’avait ramenée chez elle, puis violemment extirpée du véhicule
et jetée sur le bitume. Ahmed, un ami appelé à la rescousse était
arrivé en collant un claque à l’avocat.
Ce dernier assurait que deux hommes l’avaient agressé alors qu’il
regagnait son domicile. À aucun moment il ne parlait de la plaignante.
Au terme de leur décision, rendue lundi, les conseillers de la cour
d’appel de Poitiers ont débouté l’avocat de sa demande d’annulation du
jugement contesté rendu en janvier 2019.
Ils ont requalifié les faits qui lui étaient reprochés en violences contraventionnelles, prononçant une amende de 500 €.
L’homme poursuivi pour avoir frappé l’avocat a été condamné pour
violences avec une ITT supérieure à huit jours, il écope d’une amende de
500 €. En première instance, il avait été relaxé par le tribunal.
Sur le volet civil, chacun des deux protagonistes de cet épisode doit indemniser sa victime.
Deux avocats finistériens requièrent contre les cours criminelles
Une cour criminelle siégeant sans jurés, dès 2022, dans chaque juridiction française ? Les deux grands avocats pénalistes finistériens, Mes Omez et Appéré, s’insurgent contre cette disposition de la loi Dupond-Moretti.
« La justice dans ce pays est rendue au nom du peuple français et le peuple en est exclu. […]. C’est un projet de la chancellerie fait par et pour les magistrats. On ne veut plus du jury populaire dans ce pays ! », tonnait Éric Dupond-Moretti, le 15 mai 2020, sur France Info, à propos des cours criminelles. Il était alors « Acquitator », l’avocat star qui allait ensuite chez Laurent Ruquier remettre une couche, « parlant de déstockage des affaires ».
Exit les jurés citoyens
Il vous reste 80 % de l'article à lire
Finistère. « On déshumanise la justice par économie »
Le bâtonnier de Quimper, Me Vincent Omez, et son confrère Me Ronan Appéré, pénaliste à Brest (Finistère), sont opposés aux cours criminelles départementales dans la réforme du Garde des Sceaux.
Ils ne citent pas le nom du Garde des Sceaux de tout l’entretien… Ce vendredi 23 avril 2021, le bâtonnier de Quimper, Me Vincent Omez, et son confrère pénaliste de Brest (Finistère), Me Ronan Appéré, disent tout le mal qu’ils pensent du projet de réforme judiciaire du Garde des Sceaux, l’ancien avocat Éric Dupond-Moretti. En particulier du projet d’installation, au 1er janvier 2022, des cours criminelles départementales, après deux ans d’expérimentation contre trois prévus initialement et sans conclusions sur cette expérimentation.
Pourquoi êtes-vous opposés au projet de réforme judiciaire ?
Vincent Omez : Parce que ce projet, qui s’intitule « Pour la confiance dans l’institution judiciaire », montre justement le contraire : une marque de défiance envers la justice en supprimant les jurés populaires des cours d’assises pour les peines encourues de moins de vingt ans de réclusion criminelle.
Dans une tribune parue le 14 avril 2021 dans Libération, Franck Berton ancien confrère du ministre de la Justice quand il était encore avocat, exprime exactement tout ce qu’on peut ressentir : une incompréhension totale du revirement de l’avocat devenu garde des sceaux : « On efface le peuple dans un processus judiciaire dont il est le cœur battant. »
Comment fonctionneraient ces cours criminelles à cinq magistrats professionnels, contre trois juges et un jury populaire aux assises ?
Ronan Appéré : La Chancellerie estime à 57 % le nombre de procès criminels où la peine encourue est de vingt ans maximum. Mais en appel, le dossier resterait jugé par la cour d’assises. Quelle image de la justice cela donnerait si la cour criminelle acquitte un accusé qui sera finalement condamné en appel par une autre composition, et inversement ?
Sans compter qu’il serait fait appel à des avocats honoraires par manque de magistrats ! Les jurés sont l’âme de la cour d’assises. Sans eux, pas de cour d’assises ! Et je ne suis pas d’accord avec le terme de cour criminelle : c’est un gros tribunal correctionnel avec cinq magistrats au lieu de trois.
Qu’est-ce qui vous dérange dans cette nouvelle répartition du contentieux pénal criminel ?
Vincent Omez : Les assises sont l’exemple le plus luxueux de la justice française. Pas financièrement, mais moralement : on prend le temps de juger. « Un juge habitué est un juge mort pour la justice », disait le poète Charles Péguy. Les jurés sont les juges d’un jour, ils ont un regard neuf alors que le regard des magistrats professionnels, comme celui des avocats, finit par s’émousser.
Il faut maintenir cette instantanéité. L’oralité permet à un dossier de papier de prendre vie et fait naître des vérités, des difficultés, de l’humanité. On est en train de déshumaniser encore davantage la justice en ne se basant que sur l’économie.
Où pourrait se trouver cette cour criminelle dans le Finistère ?
Ronan Appéré : Dans une logique comptable, il est possible que ce soit Brest, même si rien n’est défini pour l’instant.
Que pensez-vous du souhait du ministre de filmer la justice ?
Ronan Appéré : En dehors des procès à valeur historique, je suis totalement contre : la justice n’est pas un spectacle.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire