La preuve en est qu’en date du 2 décembre 2015 la Cour d’Appel de Rennes a annulé la condamnation que le Tribunal Correctionnel de Brest avait prononcée à mon encontre le 11 juin 2013 pour de présumés délits d’injures et diffamations publiques que j’aurais commis à l’égard de Josette Brenterch en 2011, et décidé de me relaxer de tous les chefs de poursuite, comprenant également de présumées atteintes à l’intimité de la vie privée de la plaignante pour lesquelles le Tribunal Correctionnel de Brest ne s’était pas clairement prononcé après avoir jugé les plaintes irrecevables.
Je salue ici le courage des trois magistrates ayant rendu cette décision, car je sais que les pressions de Josette Brenterch et de ses divers complices ne serait-ce que sur mes propres avocats en vue d’en obtenir qu’ils ne me défendent pas ont toujours été très fortes, et que les magistrats brestois eux-mêmes, notamment les juges d’instruction, en faisaient partie.
Ces pressions avaient commencé dès l’été 2010, lorsque je m’étais mise en quête d’un avocat pour une procédure en référé en vue d’obtenir la suppression en urgence des montagnes de calomnies et d’ordures que publiait sur mon compte sous la dictée de sa cheftaine Josette Brenterch le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur ses deux blogs alors actifs et publics, l’ICI-BLOG et Tique Toc.
Je ne l’ai jamais trouvé.
Maître André Elard, un pénaliste brestois très connu, fait partie des avocats que j’avais alors consultés.
Je l’avais rencontré le 11 août 2010.
Contrairement à d’autres, par exemple Ronan Appéré qui n’était pas censé me connaître et m’avait néanmoins soutenu que tout ce qui était publié à mon sujet sur les blogs de Cyprien Luraghi n’était que la vérité et ne posait aucun problème, alors que je me plaignais précisément que toutes ces « informations » n’étaient pour la plupart qu’inventions calomnieuses outre qu’elles portaient atteinte à l’intimité de ma vie privée et me mettaient gravement en danger ainsi que de nombreuses autres personnes, Me Elard ne paraissait pas déjà « renseigné » à mon sujet par Josette Brenterch ou l’un de ses complices.
Naturellement, je lui avais parlé des précédents dont ces nouvelles exactions de Josette Brenterch à mon encontre n’étaient qu’une suite, et de l’intervention du juge Raymond André au début des années 2000.
Il m’avait dit qu’il allait le contacter, et aussi voir avec lui quel emploi pourrait m’être proposé, puisque j’étais toujours restée sans travail à la suite des opérations de harcèlement moral dont j’avais été victime à compter des années 1990, ayant tout de même compris jusqu’à plusieurs tentatives d’assassinat, une extrémité à laquelle j’avais « poussé » mes harceleurs du fait que je ne me suicidais pas.
Je n’avais pas osé le contrarier, mais savais depuis longtemps que le juge André qu’il semblait considérer comme un ami ne tenait pas plus que ces derniers à ce que je puisse jamais retravailler et vivre.
Et bien évidemment, il ne m’a jamais rappelée comme il était convenu qu’il le fît pour me rendre compte de cet entretien.
En revanche, le soir même de notre entrevue, je voyais Josette Brenterch revenir me provoquer jusque sur mon blog comme elle l’avait déjà fait du 6 au 16 juillet 2010.
Elle me laissait alors ce commentaire :
Elle venait elle-même de signer la pétition en question.
Son précédent commentaire sur mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog avait été celui-ci, où elle évoquait la dénommée Josette Brenterch :
Les lecteurs assidus du blog Tique Toc de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi se souviennent sans aucun doute de son jeu de l’été 2010, elle offrait une bouteille de chouchenn à qui découvrirait l’identité de mon commentateur « amnlae », que j’avais finalement révélée sur mon blog « Un petit coucou » le 25 août 2010, tout comme l’identité de Chepita qu’elle avait déjà donnée elle-même sur Tique Toc le 1er août 2010.
Elle avait immédiatement réagi à ces « révélations » sur Tique Toc où elle s’exprimait sous le pseudonyme de Chepita et discutait avec les « déconnologues » Banana et Cyp (Cyprien Luraghi).
Voici cette discussion :
- chepita Says:
août 25th, 2010 at 10:20
Quant au coucou, elle a fait la découverte de sa vie, vous avez vu ? Depuis le temps que c’était sous son nez, elle en a mis du temps pour une ingénieuse ! Ah, y a des gens à qui il faut tout dire ! Finalement, moi qui suis pas top en info, loin de là, j’en sais presque autant, on dirait.
- Banana Says:
août 25th, 2010 at 11:02
Hé ben, on dirait que je suis une ingénieuse cuicui aussi alors, de surcroît, bien plus balèze qu’elle parce que moi, sans IP, hein, ben j’avais trouvé )
- chepita Says:
août 25th, 2010 at 11:15
Bonne soirée
- Banana Says:
août 25th, 2010 at 11:22
Trouvé, ouais, apprécié et bien rigolé !
Bonne nuit et doux rêves!
- chepita Says:
août 26th, 2010 at 12:37
En plus, je suis vraiment les bras ballants. Je lui ai tout mis entre les mains, au coucou, je pensais que ça passerait pas les deux ou trois com’ maxi, ben non… il a fallu des semaines avant que je me fasse renvoyer dans mes buts. Y en a qui comprennent vite, mais à qui il faut expliquer longtemps.
Enfin, j’ai quitté ce terrain de jeux de façon définitive. Trop ennuyant ce blog, je préfère quand les gens écrivent eux-mêmes quelque chose, forcément. Je fais quand même des petites visites, juste pour le conchennou.
- cyp Says:
août 26th, 2010 at 12:45
C’est pas pour te faire baver, mais à Puycity, dans l’atelier il fait 28 °C et dehors à peine un peu moins… on sait que ça va pas durer ceci dit…
Sinon tu as très bien fait la super gogole dans tes prmiers coms signés « amnlæ » − des militantes sandinistes, c’est ça ?
Qu’est-ce que c’était drôle… et l’autre super CUI CUI qui a tout gobé ))
Ouais : il est chiant leur blog de Gestapo : c’est de plus en plus minable… et l’autre Chieur Percé qui est totalement barré dans son trip antimusulman, qu’est-ce qu’il est gras et lourd et nul. Genre beauf lepéniste de base : bas du front.
- chepita Says:
août 26th, 2010 at 1:20
Tout juste… Associacion de las mujeres nicaraguenses Luisa Amanda Espinosa… Rapport à une petite photo que j’ai chez moi d’une peinture murale du Nica, et dont le coucou aurait dû se souvenir en particulier (sinon, chez moi, c’est assez envahi par le papier alors c’est dur de se rappeler ce qu’il y a et comment c’est rangé, ça l’est pas forcément, d’ailleurs, mea culpa).Mais, sur ce coup-là, je pensais qu’elle comprendrait tout de suite, je me suis plantée (cui cui trop bas sans doute).
Eh oui, j’ai l’immense honneur d’avoir eu la visite de la dame chez moi dans un passé lointain pour moi… et elle avait évidemment mon adresse mail, et réciproquement. Moi, je n’ai pas changé d’ordi (donc d’IP), elle je ne sais pas, bref nous avons communiqué… dans les deux sens.
Pour finir, et pour que les choses soient claires : comme tu le sais déjà, je n’ai effectivement pas dans mes projets de porter plainte contre qui que ce soit aujourd’hui. J’estime ne pas avoir subi de préjudice le justifiant,malgré les tentatives, constitutives de diffamation (ça, j’en suis certaine) d’il y a quelques années.
Après, chacun choisit, et j’admets fort bien que d’autres fassent autrement que moi, faut pas « jagérer » quand même. Et en cas de besoin, tu sais que je ne suis pas sur la liste rouge dans l’annuaire…
La « révélation » de l’identité de « Chepita » et « amnlae » ne la dérangeait donc absolument pas, mais elle m’avait bien incitée à y procéder pour ses deux pseudonymes, « amnlae » avec le jeu de l’été que proposait « Chepita » sur Tique Toc, et « Chepita » avec ses commentaires sous « amnlae » sur mon propre blog.
Ainsi :
Cependant, à la date du 25 août 2010, elle avait déjà elle-même révélé l’identité de Chepita sur Tique Toc depuis plus de trois semaines.
De plus, elle me laissera par la suite pas moins de 317 commentaires sous son identité complète et véritable de « Josette Brenterch », confirmant ou « révélant » à chaque fois l’identité réelle de Chepita ou celle de mon commentateur « amnlae ».
Dès le mois de juillet 2010, son complice Cyprien Luraghi et elle-même avaient fourni à leurs lecteurs d’innombrables informations qui permettaient de l’identifier très facilement comme étant Josette Brenterch, pilier de l’association AC ! Brest et de la gauche radicale brestoise.
Après le mois d’août 2010, son ami Cyprien Luraghi continuera à la désigner par son nom et son prénom dans plusieurs de ses écrits publics sans qu’elle ne s’y oppose d’aucune manière.
Elle était tous les jours sur les trois blogs, ceux de cet individu et le mien.
Aucun de mes écrits ne pouvait lui échapper, elle consultait mon blog plusieurs fois par jour et le commentait sur ceux de son complice où elle disait bien me lire régulièrement, outre qu’elle me laissait aussi quelques commentaires sur mon propre blog sous le pseudonyme d’ »amnlae ».
Dans ces conditions, il est parfaitement clair que je n’ai jamais commis l’infraction d’atteinte à l’intimité de sa vie privée consistant en la révélation de son identité à son insu pour laquelle elle m’a fait poursuivre à compter du mois d’août 2011.
Dans l’intervalle, jusqu’à la mi-septembre 2010, elle avait répété à plusieurs reprises n’avoir pas matière à se plaindre de quoi que ce soit ni l’intention de déposer plainte, puis elle avait changé d’avis après m’avoir interrogée sur mes propres intentions concernant ses exactions à mon encontre :
A compter de l’automne 2010, elle avait inondé mon hébergeur OverBlog de demandes de suppression de mon blog sans jamais m’en notifier aucune – et pour cause, comme à son habitude, elle ne cessait de mentir et d’affabuler et me calomniait sans toutefois parvenir à tromper son interlocuteur qui avait bien remarqué comme elle me harcelait sur mon blog.
Elle avait aussi déposé une plainte pour diffamation au commissariat de son quartier le 26 novembre 2010. Convoquée par la police pour m’expliquer à ce sujet en date du 7 décembre 2010, j’avais porté plainte contre elle en réplique et sa plainte contre moi avait été classée sans suite le 10 mai 2011 au motif qu’elle avait provoqué l’infraction dont elle s’était plainte.
Dans ses plaintes de l’automne 2010 auprès de mon hébergeur de blog ou de la police, elle prétendait qu’elle venait tout juste de découvrir mon blog, déclarait selon les cas qu’une connaissance ou un membre de sa famille l’avait informée de son existence et qu’elle m’avait identifiée grâce à mon style d’écriture qu’elle aurait reconnu.
Ce n’est qu’avec sa première plainte avec constitution de partie civile, du 19 août 2011, qu’elle commençait à se plaindre d’une atteinte à l’intimité de sa vie privée ayant consisté en la révélation de l’identité de Chepita sur mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog.
Pas une seule fois elle ne s’en était plainte plus tôt, ni dans aucun de ses commentaires sur les trois blogs où elle s’exprimait, ni auprès de mon hébergeur, ni dans aucun courrier qu’elle m’aurait adressé à ce sujet, ni auprès de la police ou des autorités judiciaires auxquelles elle avait volontairement caché sa propre activité – coupable – sur les blogs de Cyprien Luraghi et sur le mien.
Or, comme l’avait déjà jugé le Tribunal Correctionnel de Brest le 11 juin 2013 et l’a confirmé la Cour d’Appel de Rennes le 2 décembre 2015, en l’absence de toute autre plainte à ce sujet, ses plaintes avec constitution de partie civile concernant ces faits présumés d’atteinte à l’intimité de sa vie privée étaient irrecevables.
Mais l’infraction définie par l’article 226-1 du Code Pénal n’avait pas été constituée car elle implique l’absence de consentement de la victime présumée :
« Est puni d’un an d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende le fait, au moyen d’un procédé quelconque, volontairement de porter atteinte à l’intimité de la vie privée d’autrui :
1° En captant, enregistrant ou transmettant, sans le consentement de leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel ;
2° En fixant, enregistrant ou transmettant, sans le consentement de celle-ci, l’image d’une personne se trouvant dans un lieu privé.
Lorsque les actes mentionnés au présent article ont été accomplis au vu et au su des intéressés sans qu’ils s’y soient opposés, alors qu’ils étaient en mesure de le faire, le consentement de ceux-ci est présumé. »
Josette Brenterch ne s’est pas arrêtée là dans ses dénonciations calomnieuses à mon encontre.
J’en exposerai d’autres très bientôt.
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