Je dirais même qu'elle est déjà coupable, là.
C'est une famille "très, très intelligente". En langage extrême-gauchiste et journalistique, c'est une affirmation de culpabilité.
Le grand-père est ostéopathe, une tante est comptable, un oncle a même fait une classe préparatoire - si ça, ce n'est pas l'école du diable "élitiste"... j'en perds mon latin trotskiste...
Et ils ont bien pour habitude d'entonner des chants grégoriens devant l'autel de l'église où chaque été ils (cette famille-là ou tout le village ?) organisent un concert traditionnel - traditionnel concert ou concert traditionnel, peu importe, ils sont "tradi", c'est dit.
D'ailleurs, ils jouent tous d'un instrument : flûte, violon, piano.
C'est un peu comme chez nous, les plus grands coupables que la terre ait pu porter :
http://satanistique.blogspot.com/2021/12/qui-suis-je-pour-etre-devenue-une-cible.html
Tous ingénieurs, nous sommes aussi tous plus ou moins artistes et musiciens.
Même après-guerre, dans une ville qui physiquement n'était pas encore remise des bombardements alliés qui l'avaient entièrement détruite, la même où dans les années 1970, bien après la reconstruction, je suis censée avoir été élevée dans une maison au sol en terre battue au milieu des cochons, mon père fréquentait déjà l'Ecole Nationale de Musique de Brest et son Ecole des Beaux-Arts (et son père avant lui, avec poursuite des études à Paris).
Bref, tout comme nous, ces gens-là ne sont vraiment pas bien, on ne voit pas l'ombre d'un trafiquant de drogue chez eux.
Les infos de 6h - Disparition d'Émile : que sait-on de la famille du petit garçon disparu ?
Émile, porté disparu depuis samedi 8 juillet, n'était pas seul dans la maison de ses grands-parents, au Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence. Plusieurs membres de la famille étaient avec lui.
Émile, deux ans et demi, a disparu samedi 8 juillet dans le hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), après avoir échappé à la vigilance de ses grands-parents. Malgré le dispositif exceptionnel déployé, le petit garçon reste introuvable.
Dans ce village, tout le monde a aperçu les parents au moins une fois à la piscine, au centre équestre ou bien au traditionnel concert qu'ils organisent chaque été à l'église. Marie, la mère d'Émile, Bathilde, Victor, Cassien et les cinq autres oncles et tantes du garçonnet ont l'habitude d'entonner des chants grégoriens devant l'autel.
Flute, violon, piano, "ils jouent tous d'un instrument", raconte une voisine. "Une famille très, très intelligente", a insisté une autre habitante, rappelant que le grand-père est ostéopathe, l'une des tantes âgée de 22 ans est comptable, un des oncles a fait une classe préparatoire. "C'est un clan", a concédé cette riveraine. "L'été, parfois, on fait des grillades entre voisins, mais ils ne sont jamais descendus avec nous".
La grand-mère d'Émile, Anne, est mère au foyer. C'est elle qui a fait l'instruction de ses enfants à la maison. Une famille que le maire souhaite préserver le temps de l'enquête.
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