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mardi 16 août 2016

Une figure du grand banditisme tuée hier soir à Marseille


Le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, de Puy-l’Evêque, dans le Lot, qui se balade avec une corde de pendu pour ses cibles diverses et variées depuis le 26 juillet dernier, jour de l’assassinat du père Jacques Hamel à Saint-Etienne-du-Rouvray, n’a pas encore réagi.


http://www.laprovence.com/actu/en-direct/4076124/.html

Un homme tué par balles à La Cayolle

Mardi 16/08/2016 à 00H34

Peu avant minuit, un individu âgé d’une cinquantaine d’années a été abattu du côté de la cité de La Cayolle (9e), boulevard des Calanques. De source policière, l’homme était « très défavorablement connu » des services de police. Même si la Préfecture de police se veut prudente sur le mobile, la piste d’un nouveau règlement de comptes est privilégiée.

L. D’A.



http://www.laprovence.com/actu/en-direct/4076144/meurtre-a-la-cayolle-la-victime-un-voyou-a-lancienne.html

Meurtre à la Cayolle : la victime, « un voyou à l’ancienne »


Mardi 16/08/2016 à 05H59 – mis à jour à 10H02

Meurtre à la Cayolle : la victime, un voyou à l'ancienne
Photo L.D’A.

Peu avant minuit, un individu âgé de 56 ans a été abattu du côté de la cité de La Cayolle (9e), boulevard des Calanques, alors qu’il circulait à pied. De source policière, l’homme était « très défavorablement connu » des services de police. La piste d’un nouveau règlement de comptes a d’abord été privilégiée.

La victime de cette nuit, retrouvée criblée de balles, a depuis été identifiée. Il s’agit d’Alain Armato, 56 ans, décrit de source policière comme « un voyou à l’ancienne« . Rien à voir avec les réseaux des cités sur fond de trafic drogue. Il était connu des services de police pour association de malfaiteurs, enlèvement, séquestration et évasion. Il était lui-même un proche du roi de l’évasion Pascal Payet. L’enquête a été confiée à la police judiciaire.

L.D’A. et D.T.



http://www.lepoint.fr/faits-divers/un-homme-abattu-a-marseille-16-08-2016-2061517_2627.php

Un membre du grand banditisme abattu à Marseille


Il a été tué par arme à feu lundi soir, vers 23 h 30. Cet homicide porte à 19 le nombre de morts par balle en 2016 dans les Bouches-du-Rhône.


Source AFP
Modifié le 16/08/2016 à 11:50 – Publié le 16/08/2016 à 07:29 | Le Point.fr

Un homme de 56 ans a été abattu par arme à feu à Marseille lundi soir. 
Un homme de 56 ans a été abattu par arme à feu à Marseille lundi soir.  © NurPhoto/ Julien Mattia

Un membre du grand banditisme, âgé de 56 ans, a été tué dans la nuit de lundi à mardi à Marseille, criblé de balles par un ou plusieurs agresseurs qui ont pris la fuite. Alain Armato, la victime, était très connu de la justice et fiché au grand banditisme, a précisé à l’Agence France-Presse une source proche du dossier. Né en Algérie, ce braqueur « grenouillait » dans le milieu criminel marseillais et ses activités criminelles diversifiées « sont susceptibles de lui avoir attiré de nombreux ennemis », a-t-elle ajouté.

En 2011, il avait écopé d’une peine de neuf ans de réclusion pour avoir organisé l’exfiltration par hélicoptère, quatre ans plus tôt, de son ami Pascal Payet, surnommé « le roi de l’évasion » et détenu alors à la prison de Grasse. En 1981, à 21 ans, Alain Armato avait été impliqué dans une affaire de proxénétisme aggravé. Il a été tué vers 23 h 30 en pleine rue, sur l’avenue des Calanques dans la cité de la Cayolle, un quartier sensible du sud de Marseille, a précisé la police. Le meurtre a eu lieu sans témoin direct, dans une rue déserte.

« Le tireur était très précis »


Au total, onze étuis de 9 mm ont été retrouvés sur les lieux du crime : « le tireur était très précis » et a atteint la victime « à de nombreuses reprises », a précisé une source judiciaire. Une autopsie doit être réalisée mardi. Les secours sont intervenus quelques minutes seulement après les faits mais n’ont pas pu ranimer l’homme, a expliqué à l’Agence France-Presse une source proche de l’enquête, confiée à la police judiciaire marseillaise.

Cet homicide porte à 19 le nombre de morts par balle en 2016 dans les Bouches-du-Rhône. Le 7 août, deux hommes d’une vingtaine d’années ont été abattus à la kalachnikov, toujours à Marseille dans le quartier des Chartreux, selon un mode opératoire de règlement de comptes.



Un membre du grand banditisme abattu à Marseille

 

  • Par AFP, AP, Reuters Agences
  • Publié le 16/08/2016 à 12:53

Les secours sont intervenus quelques minutes seulement après les faits mais n'ont pas pu ranimer l'homme.
 
Connu de la justice, notamment pour sa participation à une exfiltration de prison en 2007, Alain Armato, un bandit marseillais, a été abattu en pleine rue dans la soirée de lundi.

Alain Armato a été tué vers 23h30 en pleine rue dans la nuit de lundi à mardi, sur l’avenue des Calanques dans la cité de la Cayolle, un quartier sensible du sud de Marseille. Le meurtre a eu lieu sans témoin direct, dans une rue déserte, «peut-être par deux hommes à moto». Au total, onze étuis de 9 mm ont été retrouvés sur les lieux du crime: «le tireur était très précis» et a atteint la victime «à de nombreuses reprises», a précisé une source judiciaire. Une autopsie doit être réalisée mardi. Les secours sont intervenus quelques minutes seulement après les faits mais n’ont pas pu ranimer l’homme, a expliqué une source proche de l’enquête, confiée à la police judiciaire marseillaise.

Membre du grand banditisme et âgé de 56 ans, Alain Armato a été tué par balles par un ou plusieurs agresseurs qui ont pris la fuite. La victime était connue de la justice et fichée, précise une source proche du dossier. Les services de police le connaissaient pour des faits d’association de malfaiteurs, enlèvement, séquestration et une évasion de prison 2007, décrivant «un voyou à l’ancienne» selon le journal La Provence. Né en Algérie, ce braqueur «grenouillait» dans le milieu criminel marseillais et ses activités criminelles diversifiées «sont susceptibles de lui avoir attiré de nombreux ennemis», a-t-elle ajouté. En 1981, âgé de seulement 21 ans, Alain Armato avait été impliqué dans une affaire de proxénétisme aggravé.

En 2011, trente ans plus tard, il avait écopé d’une peine de neuf ans de réclusion pour avoir organisé l’exfiltration, en 2007, de son ami Pascal Payet, surnommé «le roi de l’évasion» et détenu alors à la prison de Grasse. Pascal Payet, braqueur multirécidiviste et accusé de meurtre avait été emmené par hélicoptère, le pilote ayant été pris en otage par quatre complices. L’opération avait alors été décrite par l’Administration pénitentiaire comme étant «menée par une équipe de professionnels chevronnés».

Cet homicide porte à 19 le nombre de morts par balles en 2016 dans les Bouches-du-Rhône. Le 7 août, deux hommes d’une vingtaine d’années ont été abattus à la kalachnikov, toujours à Marseille dans le quartier des Chartreux, selon un mode opératoire de règlement de comptes.



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