Je l’ai déjà dit à plusieurs reprises et l’avais encore
rappelé le 23 mai dernier, cette « déconnologue » de la bande des
cybercriminels du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard
Cyprien Luraghi y sévissant depuis ses débuts sous le pseudonyme de
« Félicité-Mafoi » s’était révélée en 2011 être la personne qui
transmettait quotidiennement à toute la bande tous mes échanges de
courriers électroniques avec des tiers, qu’elle piratait, ou qu’elle
récupérait sous une forme brute auprès de la personne qui me piratait,
avant de les retransmettre réarrangés à toute la bande, le Konducator et
son épouse Annie en tête.
Ce manège durait ainsi depuis 2008.
Les pervers qui avaient commencé à me harceler sur le site Rue89 en 2008 et avaient dès lors toujours continué à me traquer partout sur Internet ne le faisaient pas sans savoir qui j’étais ni sans connaître bien des éléments de ma vie privée que je ne leur avais jamais communiqués et ne donnais pas non plus dans mes commentaires publics anonymes.
Durant les deux années ayant précédé la révélation de mon identité sur les blogs du malade mental et néanmoins délinquant chevronné Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ce psychopathe et ses amis m’avaient toujours harcelée avec une multitude d’allusions à ces éléments de ma vie privée auxquels ils avaient illégalement accès sans les évoquer de manière franche, une méthode de harcèlement propre à rendre chèvre la plupart de ses victimes et que le professionnel en la matière Pascal Edouard Cyprien Luraghi a toujours appelée dans ses écrits publics le « mimi chatouilleur ».
La technique en est fort simple.
La victime ayant vite fait de se rendre compte que ses agresseurs qu’elle ne connaît pas et auxquels elle n’a jamais fourni d’informations particulières ou très précises la concernant sont pourtant bien renseignés à son sujet – précisément, ils s’évertuent à le lui faire comprendre avec des allusions à des éléments singuliers qu’elle ne peut que reconnaître immédiatement, ce sans jamais lui parler franchement, sur le mode « tu vois, je sais tout de toi mais n’en dirai pas plus » – a naturellement tendance à les interroger, ou à dénoncer comme anormal cet état de fait. C’est pour elle, à ce stade des opérations de harcèlement dont elle est victime, l’erreur fatale à ne surtout pas commettre, car ses harceleurs n’attendent que ça pour la traiter de folle, de mythomane ou de paranoïaque – non, ils n’ont jamais dit ce qu’ils ont dit lorsque les échanges sont oraux et/ou ne laissent pas de trace, ou non, cela ne concerne pas la victime, elle se fait des idées, ou encore : « j’ai deviné tout seul » ou « mon petit doigt m’a dit » et « non, non, je me fous pas de ta gueule », ou comme NEMROD34 sur mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog en se trompant lourdement à ce sujet : « tu ne peux pas prouver que c’est moi qui l’ai écrit », etc… – et tenter de la faire interner, comme le fait d’ailleurs systématiquement pour toutes ses victimes dès qu’elles commencent à réagir le criminel éminemment pervers Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Il faut donc absolument rester zen, faire comme si de rien n’était et prendre son mal en patience en attendant une grosse faute du harceleur, ce que j’ai fait durant deux ans.
J’étais déjà « aguerrie », la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest m’ayant toujours fait harceler de la sorte par ses sbires depuis le début des années 1990, et connaissais donc par coeur le jeu de mes harceleurs et tous les pièges dans lesquels il ne me fallait pas tomber.
Dans ces cas-là, ce sont toujours eux qui perdent leurs nerfs les premiers : ils s’acharnent démesurément sur leur cible qui ne réagit pas ou ne se suicide pas, commettent des fautes, se dévoilent de telle manière qu’ils ne pourront plus nier un certain nombre de faits.
Durant deux ans, donc, d’abord sur le site Rue89, en 2008 et 2009, puis sur le site Le Post, en 2009 et 2010, quantité d’internautes qui fréquentaient ces sites et parfois aussi les blogs de Cyprien Luraghi, dont il leur faisait quotidiennement la publicité, ont pu voir ce malade mental et toute sa bande de « déconnologues » me traquer et me courser absolument partout où je tentais d’intervenir sur Internet, ou n’intervenais même pas, m’injurier, me calomnier, me menacer, exiger systématiquement des modérateurs mon exclusion, et s’attaquer de même à d’autres internautes qu’ils prenaient pour moi ou de mes « complices » – je n’en ai jamais eu un seul.
Des journalistes manifestement complices de ces malfrats commettaient eux aussi des fautes en supprimant mes comptes ou me bannissant de leurs sites sous de faux prétextes très mauvais alors que tout étant public de nombreux internautes étaient témoins du fait que c’est moi qui étais toujours harcelée et injuriée par les « déconnologues » de la bande de Cyprien Luraghi, et non l’inverse.
Ceux-ci ne se prétendaient d’ailleurs pas harcelés ou injuriés, ils exigeaient toujours mon bannissement au motif que je n’aurais été qu’une folle, exactement comme leur inspiratrice ou commanditaire non encore déclarée Josette Brenterch du NPA de Brest avait auparavant toujours exigé que je sois exclue de groupes où je commençais à m’insérer en arguant auprès de leurs responsables que je n’aurais été qu’une folle et qu’il fallait donc, d’après elle, à tout prix m’empêcher de m’exprimer et ne pas m’écouter, encore moins me fréquenter.
Ayant ainsi perdu tous mes comptes sur les sites Rue89 et Le Post tandis que se développaient à mon encontre des campagnes de calomnies pérennes supportées par ces deux sites comme par les blogs de Cyprien Luraghi, le 26 mars 2010 j’ouvrais mon premier blog indépendant de tout site d’information sur la plateforme de blogs OverBlog.
Il m’était alors devenu indispensable de répondre à ces calomnies et de rétablir la vérité quant à ma personnalité et mes activités internautiques depuis 2008. Par ailleurs, je ne pouvais pas tenter de me créer une nouvelle identité sur Internet pour pouvoir continuer à m’y exprimer comme je l’aurais souhaité sans être sans cesse harcelée par Cyprien Luraghi et sa bande, car leurs piratages informatiques à mon encontre leur permettaient de me retrouver immédiatement, tout comme ils leur avaient toujours permis de savoir qui j’étais depuis le début de mes activités sur Internet, quoique j’y sois toujours restée anonyme.
Il ne me restait donc plus qu’à prendre le taureau par les cornes et affronter cette bande de délinquants très pervers qui ne me lâchait pas depuis deux ans et n’était toujours pas disposée à me laisser vivre.
Tout en continuant à m’exprimer sur des sujets tout autres, je commençais donc à raconter ce que je subissais sur Internet depuis deux ans, en citant toujours les extraits de discussion nécessaires pour étayer mes dires.
Or, dès le 10 avril 2010, une personne disant se nommer Sylvie Depierre exigeait du service juridique d’OverBlog la suppression de mon blog, qu’elle présentait comme ayant été créé par une autre personne que moi-même, « pour nuire à Cyprien Luraghi ».
Elle ajoutait :
En réalité, la personne qu’elle désignait nommément était une autre victime de Cyprien Luraghi et de ses amis cyberdélinquants.
C’était la première fois qu’il m’était donné de voir les motifs ou prétextes que ceux-ci pouvaient invoquer pour leurs demandes de suppression de nos comptes et blogs sur Rue89 et Le Post, et je ne tardais pas à identifier l’auteure de cette dénonciation calomnieuse comme étant l’un des membres de cette bande de harceleurs du net depuis le début de ses agissements malveillants, voire criminels.
Il s’agissait de la « déconnologue » répondant au pseudonyme de « Félicité-Mafoi », dont j’ignorais jusque-là l’identité réelle.
Elle me harcelait personnellement depuis le mois de janvier 2009 et savait donc très bien qui était l’auteure réelle du blog, dont les propos publics étaient par ailleurs parfaitement clairs.
Les 16 et 19 avril 2010, j’avais publié à ce sujet les deux articles suivants (cliquer sur les images pour les agrandir et lire les textes) :
Contrairement à ce que Cyprien Luraghi a maintes fois clamé un peu partout par la suite, je n’avais pas révélé l’identité de la riveraine et « déconnologue » Félicité-Mafoi.
Je n’ai jamais révélé aucune des identités de mes harceleurs, même lorsque je les connaissais, avant que la mienne ne soit révélée sur les blogs du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et, toujours par lui-même et ses amis, bien au-delà dans la blogosphère, quelques-uns de ses complices, notamment Jean-Marc Donnadieu de Béziers, lui ayant bien vite emboîté le pas à ce sujet comme pour l’ensemble de ses malfaisances à mon encontre.
Etant donné que depuis maintenant plus de six ans, six longues années ayant fait suite aux deux années initiales de leurs harcèlements à mon encontre, toujours supportés par d’incessants viols de l’intimité de ma vie privée commis notamment par piratages informatiques, ces malfrats ont toujours continué à commettre à mon encontre cette infraction pénale et bien d’autres en toute connaissance de cause et en sachant que je m’en plaignais à juste titre, contrairement à eux, je n’ai plus à me gêner avec eux et publie désormais leurs identités réelles en toute quiétude.
Voici donc ci-dessous deux fiches « Copainsdavant » et « Facebook » de Sylvie Depierre, telles qu’elles sont toujours restées dans mes archives après que j’en ai réalisé des copies avant leur suppression par son auteure, en catastrophe, le 10 avril 2010 au soir… trop tard…
La criminelle est née Sylvie Zabel.
Elle vient d’Epernay et est passée par Reims et Paris avant de suivre son époux Laurent Depierre jusque dans sa Normandie natale – je rappelle que tout comme l’épouse de Cyprien Luraghi, Annie Luraghi née Belléculée, ce dernier fait partie des cyberdélinquants qui ont toujours violé l’intimité de ma vie privée par piratages informatiques depuis 2008 au moins.
Ils sont installés à Saint-Lambert, dans le Calvados, une commune dont elle a été conseillère municipale de 2008 à 2014.
Comme je l’avais alors très vite découvert et bien noté du fait que plusieurs de mes harceleurs anonymes de cette époque se trouvaient localisés dans la région de Reims, Sylvie Depierre née Zabel a toujours bien des amis et de la famille dans cette ville où, en 2005, dans le cadre de nos conflits relatifs à l’association AC ! Brest et tout le réseau de collectifs AC !, sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest bénéficiait déjà d’un de ses meilleurs supporters contre moi en la personne du représentant local d’AC !
Egalement à Reims avec une floppée de ses amis : Jess ou Jessi, la « Blonde qui dérange », une blogueuse du Post ayant également tenu un blog sur OverBlog, où elle avait cru bon de répercuter des tas d’insanités sur mon compte fin 2011 et début 2012, comme l’avait d’ailleurs noté en ces termes sur son propre blog son complice Cyprien Luraghi :
Elle avait affiché un portrait de NEMROD34 sur sa page du Post le 19 avril 2010, après qu’en réponse à un appel à l’aide de Cyprien Luraghi et de ses amis qui venaient d’échouer à obtenir la suppression de mon blog, celui-ci ait lui-même commencé à me harceler, le 13 avril 2010.
Il se trouve à cette adresse :
http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2010/04/18/2037710_posteur-a-la-une-nemrod34.html
Enfin, je rappelle que Josette Brenterch du NPA de Brest, dont, rétrospectivement, la complicité particulière avec Sylvie Depierre est bien perceptible dès son arrivée sur les blogs de Cyprien Luraghi à compter du 30 juin 2010, est elle-même native d’Aunay-sur-Odon, à quelques kilomètres de Saint-Lambert, une région où elle s’était rendue pour des vacances au cours de l’été 2010.
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Ce manège durait ainsi depuis 2008.
Les pervers qui avaient commencé à me harceler sur le site Rue89 en 2008 et avaient dès lors toujours continué à me traquer partout sur Internet ne le faisaient pas sans savoir qui j’étais ni sans connaître bien des éléments de ma vie privée que je ne leur avais jamais communiqués et ne donnais pas non plus dans mes commentaires publics anonymes.
Durant les deux années ayant précédé la révélation de mon identité sur les blogs du malade mental et néanmoins délinquant chevronné Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ce psychopathe et ses amis m’avaient toujours harcelée avec une multitude d’allusions à ces éléments de ma vie privée auxquels ils avaient illégalement accès sans les évoquer de manière franche, une méthode de harcèlement propre à rendre chèvre la plupart de ses victimes et que le professionnel en la matière Pascal Edouard Cyprien Luraghi a toujours appelée dans ses écrits publics le « mimi chatouilleur ».
La technique en est fort simple.
La victime ayant vite fait de se rendre compte que ses agresseurs qu’elle ne connaît pas et auxquels elle n’a jamais fourni d’informations particulières ou très précises la concernant sont pourtant bien renseignés à son sujet – précisément, ils s’évertuent à le lui faire comprendre avec des allusions à des éléments singuliers qu’elle ne peut que reconnaître immédiatement, ce sans jamais lui parler franchement, sur le mode « tu vois, je sais tout de toi mais n’en dirai pas plus » – a naturellement tendance à les interroger, ou à dénoncer comme anormal cet état de fait. C’est pour elle, à ce stade des opérations de harcèlement dont elle est victime, l’erreur fatale à ne surtout pas commettre, car ses harceleurs n’attendent que ça pour la traiter de folle, de mythomane ou de paranoïaque – non, ils n’ont jamais dit ce qu’ils ont dit lorsque les échanges sont oraux et/ou ne laissent pas de trace, ou non, cela ne concerne pas la victime, elle se fait des idées, ou encore : « j’ai deviné tout seul » ou « mon petit doigt m’a dit » et « non, non, je me fous pas de ta gueule », ou comme NEMROD34 sur mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog en se trompant lourdement à ce sujet : « tu ne peux pas prouver que c’est moi qui l’ai écrit », etc… – et tenter de la faire interner, comme le fait d’ailleurs systématiquement pour toutes ses victimes dès qu’elles commencent à réagir le criminel éminemment pervers Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Il faut donc absolument rester zen, faire comme si de rien n’était et prendre son mal en patience en attendant une grosse faute du harceleur, ce que j’ai fait durant deux ans.
J’étais déjà « aguerrie », la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest m’ayant toujours fait harceler de la sorte par ses sbires depuis le début des années 1990, et connaissais donc par coeur le jeu de mes harceleurs et tous les pièges dans lesquels il ne me fallait pas tomber.
Dans ces cas-là, ce sont toujours eux qui perdent leurs nerfs les premiers : ils s’acharnent démesurément sur leur cible qui ne réagit pas ou ne se suicide pas, commettent des fautes, se dévoilent de telle manière qu’ils ne pourront plus nier un certain nombre de faits.
Durant deux ans, donc, d’abord sur le site Rue89, en 2008 et 2009, puis sur le site Le Post, en 2009 et 2010, quantité d’internautes qui fréquentaient ces sites et parfois aussi les blogs de Cyprien Luraghi, dont il leur faisait quotidiennement la publicité, ont pu voir ce malade mental et toute sa bande de « déconnologues » me traquer et me courser absolument partout où je tentais d’intervenir sur Internet, ou n’intervenais même pas, m’injurier, me calomnier, me menacer, exiger systématiquement des modérateurs mon exclusion, et s’attaquer de même à d’autres internautes qu’ils prenaient pour moi ou de mes « complices » – je n’en ai jamais eu un seul.
Des journalistes manifestement complices de ces malfrats commettaient eux aussi des fautes en supprimant mes comptes ou me bannissant de leurs sites sous de faux prétextes très mauvais alors que tout étant public de nombreux internautes étaient témoins du fait que c’est moi qui étais toujours harcelée et injuriée par les « déconnologues » de la bande de Cyprien Luraghi, et non l’inverse.
Ceux-ci ne se prétendaient d’ailleurs pas harcelés ou injuriés, ils exigeaient toujours mon bannissement au motif que je n’aurais été qu’une folle, exactement comme leur inspiratrice ou commanditaire non encore déclarée Josette Brenterch du NPA de Brest avait auparavant toujours exigé que je sois exclue de groupes où je commençais à m’insérer en arguant auprès de leurs responsables que je n’aurais été qu’une folle et qu’il fallait donc, d’après elle, à tout prix m’empêcher de m’exprimer et ne pas m’écouter, encore moins me fréquenter.
Ayant ainsi perdu tous mes comptes sur les sites Rue89 et Le Post tandis que se développaient à mon encontre des campagnes de calomnies pérennes supportées par ces deux sites comme par les blogs de Cyprien Luraghi, le 26 mars 2010 j’ouvrais mon premier blog indépendant de tout site d’information sur la plateforme de blogs OverBlog.
Il m’était alors devenu indispensable de répondre à ces calomnies et de rétablir la vérité quant à ma personnalité et mes activités internautiques depuis 2008. Par ailleurs, je ne pouvais pas tenter de me créer une nouvelle identité sur Internet pour pouvoir continuer à m’y exprimer comme je l’aurais souhaité sans être sans cesse harcelée par Cyprien Luraghi et sa bande, car leurs piratages informatiques à mon encontre leur permettaient de me retrouver immédiatement, tout comme ils leur avaient toujours permis de savoir qui j’étais depuis le début de mes activités sur Internet, quoique j’y sois toujours restée anonyme.
Il ne me restait donc plus qu’à prendre le taureau par les cornes et affronter cette bande de délinquants très pervers qui ne me lâchait pas depuis deux ans et n’était toujours pas disposée à me laisser vivre.
Tout en continuant à m’exprimer sur des sujets tout autres, je commençais donc à raconter ce que je subissais sur Internet depuis deux ans, en citant toujours les extraits de discussion nécessaires pour étayer mes dires.
Or, dès le 10 avril 2010, une personne disant se nommer Sylvie Depierre exigeait du service juridique d’OverBlog la suppression de mon blog, qu’elle présentait comme ayant été créé par une autre personne que moi-même, « pour nuire à Cyprien Luraghi ».
Elle ajoutait :
Or, la personne qui a créé ce blog est une femme, [nom masqué], dont les comptes et les blogs ont été supprimés pour les mêmes faits sur Rue89 et Le Post.
En réalité, la personne qu’elle désignait nommément était une autre victime de Cyprien Luraghi et de ses amis cyberdélinquants.
C’était la première fois qu’il m’était donné de voir les motifs ou prétextes que ceux-ci pouvaient invoquer pour leurs demandes de suppression de nos comptes et blogs sur Rue89 et Le Post, et je ne tardais pas à identifier l’auteure de cette dénonciation calomnieuse comme étant l’un des membres de cette bande de harceleurs du net depuis le début de ses agissements malveillants, voire criminels.
Il s’agissait de la « déconnologue » répondant au pseudonyme de « Félicité-Mafoi », dont j’ignorais jusque-là l’identité réelle.
Elle me harcelait personnellement depuis le mois de janvier 2009 et savait donc très bien qui était l’auteure réelle du blog, dont les propos publics étaient par ailleurs parfaitement clairs.
Les 16 et 19 avril 2010, j’avais publié à ce sujet les deux articles suivants (cliquer sur les images pour les agrandir et lire les textes) :
Contrairement à ce que Cyprien Luraghi a maintes fois clamé un peu partout par la suite, je n’avais pas révélé l’identité de la riveraine et « déconnologue » Félicité-Mafoi.
Je n’ai jamais révélé aucune des identités de mes harceleurs, même lorsque je les connaissais, avant que la mienne ne soit révélée sur les blogs du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et, toujours par lui-même et ses amis, bien au-delà dans la blogosphère, quelques-uns de ses complices, notamment Jean-Marc Donnadieu de Béziers, lui ayant bien vite emboîté le pas à ce sujet comme pour l’ensemble de ses malfaisances à mon encontre.
Etant donné que depuis maintenant plus de six ans, six longues années ayant fait suite aux deux années initiales de leurs harcèlements à mon encontre, toujours supportés par d’incessants viols de l’intimité de ma vie privée commis notamment par piratages informatiques, ces malfrats ont toujours continué à commettre à mon encontre cette infraction pénale et bien d’autres en toute connaissance de cause et en sachant que je m’en plaignais à juste titre, contrairement à eux, je n’ai plus à me gêner avec eux et publie désormais leurs identités réelles en toute quiétude.
Voici donc ci-dessous deux fiches « Copainsdavant » et « Facebook » de Sylvie Depierre, telles qu’elles sont toujours restées dans mes archives après que j’en ai réalisé des copies avant leur suppression par son auteure, en catastrophe, le 10 avril 2010 au soir… trop tard…
La criminelle est née Sylvie Zabel.
Elle vient d’Epernay et est passée par Reims et Paris avant de suivre son époux Laurent Depierre jusque dans sa Normandie natale – je rappelle que tout comme l’épouse de Cyprien Luraghi, Annie Luraghi née Belléculée, ce dernier fait partie des cyberdélinquants qui ont toujours violé l’intimité de ma vie privée par piratages informatiques depuis 2008 au moins.
Ils sont installés à Saint-Lambert, dans le Calvados, une commune dont elle a été conseillère municipale de 2008 à 2014.
Comme je l’avais alors très vite découvert et bien noté du fait que plusieurs de mes harceleurs anonymes de cette époque se trouvaient localisés dans la région de Reims, Sylvie Depierre née Zabel a toujours bien des amis et de la famille dans cette ville où, en 2005, dans le cadre de nos conflits relatifs à l’association AC ! Brest et tout le réseau de collectifs AC !, sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest bénéficiait déjà d’un de ses meilleurs supporters contre moi en la personne du représentant local d’AC !
Egalement à Reims avec une floppée de ses amis : Jess ou Jessi, la « Blonde qui dérange », une blogueuse du Post ayant également tenu un blog sur OverBlog, où elle avait cru bon de répercuter des tas d’insanités sur mon compte fin 2011 et début 2012, comme l’avait d’ailleurs noté en ces termes sur son propre blog son complice Cyprien Luraghi :
- La Blonde qui dérange a publié un article-relais, censuré
le lendemain de sa parution par le service juridique d’Overblog
soudainement zélé ; après remaniement elle l’a remis en ligne ici le 28
décembre : CLIC
(lien vers cette parge conservée sur Archive.org : on notera un
intéressant − comique ? − droit de réponse du service juridique
d’Overblog imposé à la Blonde). Le fil de discussion est à lire. Le 5 janvier elle publie un autre billet : CLIC qui n’est plus accessible, Jess ayant fermé son blog courant 2012 et cette page n’ayant pas été stockée sur Archive.org.
Elle avait affiché un portrait de NEMROD34 sur sa page du Post le 19 avril 2010, après qu’en réponse à un appel à l’aide de Cyprien Luraghi et de ses amis qui venaient d’échouer à obtenir la suppression de mon blog, celui-ci ait lui-même commencé à me harceler, le 13 avril 2010.
Il se trouve à cette adresse :
http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2010/04/18/2037710_posteur-a-la-une-nemrod34.html
Enfin, je rappelle que Josette Brenterch du NPA de Brest, dont, rétrospectivement, la complicité particulière avec Sylvie Depierre est bien perceptible dès son arrivée sur les blogs de Cyprien Luraghi à compter du 30 juin 2010, est elle-même native d’Aunay-sur-Odon, à quelques kilomètres de Saint-Lambert, une région où elle s’était rendue pour des vacances au cours de l’été 2010.
- J’ai
- 53 ans et 20 Copains dans mon réseau
- J’habite à
- Voir
- Ma profession
- Voir
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Années | Etablissement | Ville | Total | ||
1978 à 1981 |
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PARIS | 1 648 | ||
1975 à 1977 |
|
REIMS | 4 436 | ||
1970 à 1973 |
|
EPERNAY | 158 | ||
1968 à 1970 |
|
EPERNAY | 217 | ||
1963 à 1968 |
|
EPERNAY | 513 | ||
1958 à 1963 |
|
EPERNAY | 79 |
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Nom | Ville | Copains de … | ||||
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Nom | Ville | Copains de … | |||
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Sylvie Depierre
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