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vendredi 19 août 2016

Pokémon Go : un évêque italien répond à Julie Le Goïc


Après son tweet prétendument « humoristique » du 26 juillet 2016 concernant le père Jacques Hamel tout juste assassiné qu’elle avait traité de pédophile et les vives protestations qui s’ensuivirent, Julie le Goïc avait encore comparé le religieux à un Pokémon.

Un évêque italien de la ville de Noto en Sicile menace actuellement de porter plainte contre ce jeu qu’il juge diabolique et qualifie de « système totalitaire proche du nazisme » et de « fabrique de cadavres ambulants ».

Un réalisateur américain s’était déjà insurgé de même contre ce jeu fin juillet en raison de son niveau d’intrusion dans le vie privée des joueurs, et des dénonciations de plus en plus précises à cet égard se font jour sur la toile : il s’agirait en fait, sous prétexte de divertissement, d’un vaste système de collecte de données.

Rappelons que la collecte illégale de données personnelles et/ou confidentielles, pour la plupart couvertes par le secret professionnel, au prétexte d’amuser le public avec la révélation tout aussi illégale de l’intimité de la vie privée des victimes, est ce que font quotidiennement le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses complices du NPA, notamment à l’aide de piratages informatiques et d’écoutes illégales.

Ce pervers et délinquant de haut niveau ne se fait pas appeler innocemment le « Konducator », tel l’ancien dictateur roumain Nicolae Ceaușescu, pas plus que ses derniers choix de pseudonymes sur le site Rue89 (Max Schultz et Itzig Finkenstein, les deux visages et deux vies d’un nazi ayant trouvé le salut dans une formidable imposture) ne sont neutres, comme nous l’avons déjà vu.


http://www.20minutes.fr/monde/1910147-20160818-eveque-italien-compare-pokemon-go-systeme-totalitaire-proche-nazisme

Un évêque italien compare «Pokémon Go» à un «système totalitaire proche du nazisme»


ITALIE Mgr Antonio Stagliano accuse le jeu de créer une forte dépendance chez ses adeptes…

Pokémon Go - Illustration
Pokémon Go – Illustration – ALFREDO ESTRELLA / AFP

20 Minutes avec AFP
    • Publié le 18.08.2016 à 12:22
    • Mis à jour le 18.08.2016 à 12:49

Monseigneur Antonio Stagliano, l’évêque de la ville de Noto (Sicile), ne veut pas entendre parler de Pokémon Go, un jeu qu’il juge « diabolique ».

Le religieux menace même de porter plainte contre cette « fabrique de cadavres ambulants », rapporte ce jeudi la presse italienne.

>> A lire aussi : Les tricheurs à «Pokémon GO» risquent le bannissement à vie

Un « système totalitaire proche du nazisme »


Interrogé par plusieurs journaux, l’évêque s’est dit prêt à mener des « actions légales » pour faire interdire le jeu vidéo, véritable phénomène planétaire.

Le réalisateur américain Oliver Stone s’était ainsi insurgé fin juillet contre ce jeu, estimant qu’il pouvait conduire à une forme de « totalitarisme » compte tenu de son « niveau d’intrusion » dans la vie privée.

Mgr Antonio Stagliano avait déjà prononcé un violent réquisitoire contre Pokémon Go il y a moins d’une semaine, l’accusant de créer une forte dépendance chez ses adeptes, « aliénant des milliers et des milliers de jeunes ». Il n’avait pas hésité à comparer le jeu à un « système totalitaire proche du nazisme ».

Bien connu des médias italiens, l’évêque de Noto s’était déjà distingué par ses interprétations de tubes de Noemi et Mengoni en pleine messe, deux chanteurs de rock très connus en Italie.


http://www.erenumerique.fr/pokemon-go-scandale-article-26170-18.html

Pokemon Go entaché d’un SCANDALE ?


Août 18, 2016

pokemon go scandale
Crédits : DavidLafarge

Le phénomène du moment Pokemon Go va vite vous faire redescendre sur terre. Un article paru récemment risque même de faire plonger le jeu dans les enfers.

The Intercept, le site derrière ce scandale, a en effet publié un long, voire très long article, qui met à jour un terrible scandale pour le phénomène du moment, Pokemon Go. En cause ? Une sombre histoire de géolocalisation, des données volées et un patron peu scrupuleux. Avant d’attaquer le vif du sujet, reprenons les origines du problème. John Hanke, actuel PDG de Niantic, travaillait auparavant pour le service Géo (comme géolocalisation) de Google. Ainsi, il était en charge de Google Maps, mais aussi des Google Cars, qui photographiaient et mettaient sur le web habitats et rues. Sauf que cette pratique s’est déjà acquittée d’un scandale en 2010.

google car localisation

Le brevet de Pokemon Go en cause


Le site allemand de la protection des données a en effet mis en cause les Google Cars, mais aussi John Hanke, de vol de données. Cette récolte d’images illégale s’est en effet additionnée à une appropriation peu scrupuleuse de centaines de milliers de réseaux wi-fi. Ces réseaux wi-fi, primordiaux pour la sécurité de l’utilisateur, liste à peu près tout ce qui a attrait à l’identité des internautes : localisation de ceux-ci, mais aussi mails, recherche web, historique du navigateur… Ainsi, Google aurait eu accès à tout cela en laissant patrouiller ses voitures de localisation. Le géant, néanmoins, a su retourner la situation à son avantage, en accusant un hacker, mais aussi en innocentant John Hanke, puis le hacker. Quand le scandale éclate, en 2010, John Hanke fonde Niantic. D’abord au sein de Google, puis indépendamment. Le studio, détaché de la multinationale, n’est pourtant pas totalement indépendant puisqu’elle reçoit des fonds d’investissement de Google et de Nintendo à hauteur de 20 millions. Rien que ça. Peu après, Pokemon Go est pensé, puis développé.

john hanke

Mais selon The Intercept, le titre n’est pas totalement sain. Le jeu aurait en effet repris les bases des événements ci-dessus, tout en allant encore plus loin. Une citation de l’article, capturée sur le Journal International de la Réalité Virtuelle, affirme même : « Selon nous, le vrai défi consiste à motiver les joueurs à fournir leurs données de manière continue, même lorsque l’effervescence autour de la nouveauté se sera dissipée. […] Nous sommes convaincus que l’amusement et le divertissement sont la pierre angulaire d’un tel service de collecte de données ». L’article publié sur The Intercept est extrêmement long, et si vous voulez en apprendre plus (tout en n’étant pas anglophobe), nous vous conseillons de le lire. S’il nourrira à coup sûr les différentes théories du complot, il n’est pas encore vérifié. Nous attendrons donc des déclarations de John Hanke.

Que pensez-vous de ce scandale ? Y croyez-vous ?

pokemon go monnaie


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