Sauf exception, le Parti des Travailleurs (ou POI) a toujours fait bande à part, mais les autres n'en veulent jamais dans leurs rangs communs de toute façon. C'est ainsi que Joël Roma a pu y militer après s'être fait virer de la LCR en 2005 pour cause de désobéissance à la patronne Josette Brenterch, avant de finalement aller militer au Front national après le début des campagnes de calomnies publiques nominatives dont j'ai été victime sur Internet de la part de la même Josette Brenterch à compter de juin 2010 et qui l'avaient lui aussi quelque peu égratigné...
Une fois de plus, ce parti se démarque des autres avec ce soutien tardif aux militants et syndicalistes tous convoqués par la police ces derniers temps pour des auditions dans le Finistère, à Brest et à Quimper, et qu'il dit ainsi "criminalisés", comme s'ils ne l'étaient pas déjà avant toute convocation du seul fait de leurs innombrables actes criminels restant habituellement toujours impunis.
Prenons l'exemple de Roger Calvez, qui a longtemps été associé à Lydie Contignon, ancienne cadre infirmière à l'hôpital psychiatrique de Bohars, où elle a exercé durant plusieurs décennies.
C'est cette femme, adhérente à la CGT et militante au PT ou au POI de très longue date, qui en 2004 avait dit à mon sujet à une personne que j'avais l'occasion de rencontrer de temps en temps : "Méfie-toi d'elle, elle a la réputation d'avoir un QI d'au moins 250 !"
Je ne la connaissais pas, n'en avais jamais entendu parler, mais elle, par contre, semblait très bien renseignée à mon sujet. J'avais donc demandé à la rencontrer, ce qui me paraissait quand même assez naturel et légitime, j'aurais bien aimé savoir d'où elle tenait toutes ses informations me concernant et pouvoir en débattre avec elle. Réponse de l'intéressée : non, il n'en était pas question, mon intelligence était bien trop dangereuse pour elle...
Ben oui, tous ceux qui ont participé aux différentes tentatives d'assassinat dont j'ai été victime depuis les années 1990 le savent bien : ils se sont tous plus ou moins cassé les dents...
Voilà donc une femme qui, tout comme la criminelle Josette Brenterch et tous ses complices brestois et autres, savait pertinemment tous les crimes dont mes proches et moi-même étions victimes depuis des années et ne les a jamais dénoncés, bien au contraire...
Pourquoi ? Comment ? Nécessairement, elle en était bien a minima complice passive.
Lire ou relire :
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/une-plainte-du-ministre-gerald-darmanin.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/des-soutiens-brestois-du-syndicaliste.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/affaire-olivier-cuzon-deja-un-tres-long.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/affaire-olivier-cuzon-le-figaro-retient.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/affaire-olivier-cuzon-article-douest.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/encore-un-soutien-pour-olivier-cuzon.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/de-la-police-des-moeurs.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/au-tour-de-mathilde-panot-detre.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/insoumises-multiplication-des.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/olivier-cuzon-chez-mediapart-avec-sa.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/toute-puissance-des-journalistes-des.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/journalistes-du-telegramme-sous.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/journaliste-du-telegramme-poursuivie.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/plainte-pour-diffamation-dun-elu.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/olivier-cuzon-au-media.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/05/multiplication-des-convocations-la.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/05/en-2008-et-2009-les-guerriers-de.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/05/attaque-au-couteau-brest-ce-1er-mai-2024.html
Le Parti des Travailleurs du Finistère condamne les auditions de manifestants et d’un syndicaliste
Dans un communiqué, le Parti des Travailleurs du Finistère dénonce, samedi 4 mai 2024, la mise en cause « des libertés démocratiques » dans le département. Il condamne notamment l’audition de dix personnes en lien avec la manifestation de défense de l’hôpital de Carhaix (Finistère) et celle du syndicaliste brestois Olivier Cuzon.
Le Parti des Travailleurs du Finistère s’insurge dans un communiqué de presse, transmis le samedi 4 mai 2024, de la remise en cause « des libertés démocratiques » concernant des militants et syndicats. Depuis quelques semaines, plusieurs personnes ont été convoquées par les forces de l’ordre dans le département en lien avec des manifestations mais aussi des écrits syndicaux.
Du mardi 14 mai 2024 au mardi 28 mai 2024, une dizaine de personnes vont être auditionnées par le commissariat de Quimper (Finistère) après une manifestation de défense de l’hôpital de Carhaix (Finistère) à Quimper. Une soixante d’individus avait pénétré dans les locaux du siège département de l’Agence régionale de santé (ARS) alors que s’y trouvaient la directrice générale de l’ARS Bretagne et la directrice du centre hospitalier Brest-Carhaix. Ils sont soupçonnés de « séquestration » et « violence en réunion ».
« Des militants criminalisés »
À Brest (Finistère), c’est le syndicaliste Olivier Cuzon qui a été convoqué au commissariat de Brest (Finistère), le vendredi 19 avril 2024, pour une plainte déposée à son encontre. La parution d’un article sur le site Sud éducation 29, dont il est le directeur de la publication, fait l’objet d’une plainte pour « diffamation et injure publique à l’encontre de la police et de la gendarmerie. »
« Le Parti des Travailleurs du Finistère apporte son soutien aux militants incriminés et se prononce pour l’arrêt immédiat de ces poursuites », conclut le communiqué.
Brest-ville. Le POI veut se faire entendre
Le Parti ouvrier indépendant, absent de la campagne présidentielle, présentera une candidate, Lydie Contignon, sur Brest-ville. Son but: faire en sorte de ne pas ratifier le prochain traité européen.
Nationalisations voulues
De la même façon, le leadership local du POI préconise une vague de nationalisations, notamment dans le secteur de l'industrie navale civile mais aussi des banques, bien entendu. Prêt à s'allier avec qui se battrait àses côtés contre le texte européen, le POI ne craint pas la balkanisation des partis d'extrême-gauche pour ce scrutin. «De toute façon, nous organiserons une manifestation contre le traité. Sielle est commune, ce sera une victoire» pour Lydie Contignon et Roger Calvez, qui veulent «constituer un point d'appui pour la classe ouvrière» au-delà des échéances.
* Parti ouvrier indépendant.
https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-centre-lydie-contignon-pour-le-parti-ouvrier-1581971
Brest centre : Lydie Contignon pour le Parti ouvrier
Initialement suppléante de Denis Breton, Lydie Contignon sera finalement la candidate en titre pour le Parti ouvrier indépendant (POI) dans la circonscription de Brest centre. Infirmière cadre à l'hôpital de Brest, 54 ans, Lydie Contignon est membre du POI depuis sa création en 2008. Elle militait auparavant au Parti des travailleurs. C'est d'ailleurs sous cette étiquette qu'elle s'était présentée à la législative de Brest rural en 1993.
Son suppléant est Roger Calvez, 59 ans. Technicien à l'Université de Bretagne occidentale (UBO), Roger Calvez s'est également présenté à plusieurs élections, cantonales, législatives ou municipales, toujours à Brest.
Hôpital psychiatrique de Brest : Marche contre des suppressions de poste... |
Ce jeudi matin, à l'appel de la CGT, une dizaine de personnes ont pris le départ de l'hôpital psychiatrique, à Bohars, pour une marche de protestation.
« Nous ne sommes pas très nombreux. C'est un peu décevant », reconnaît Lydie Contignon, cadre de santé, qui a été infirmière à l'hôpital psychiatrique du CHRU durant trente-cinq ans.
Ce jeudi matin, à l'appel de la CGT, ils sont une dizaine à dénoncer la suppression annoncée de 7,65 postes équivalents temps plein d'infirmiers au sein de l'établissement, dans le cadre d'un plan de retour à l'équilibre budgétaire de l'hôpital brestois. Soit une baisse de 1.5% des postes médicaux et paramédicaux (510 au total).
Des soins thérapeutiques « transversaux » comme les ateliers poterie et psychologie corporelle sont remis en cause. Les activités sportives sont aussi sur la sellette. Un service de gérontologie psychiatrique serait supprimé.
Pourtant, l'hôpital psychiatrique serait "excédentaire", selon Lydie Contignon.
Les marcheurs doivent rejoindre la place de la Liberté, à Brest. Ils y retrouveront d'autres syndicats et salariés de la Caf Assurance-Maladie et d'autres organismes qui défendent la Protection sociale.
Défense de la sécu : la psychiatrie en 1re ligne
Hier, 300 personnes ont manifesté contre le projet de budget de la Sécurité sociale. Dont des infirmiers de l'hôpital psychiatrique, contre la fin d'un service et d'ateliers thérapeutiques.
« Nous ne sommes pas très nombreux. C'est un peu décevant », reconnaît Lydie Contignon, cadre de santé, qui a été infirmière à l'hôpital psychiatrique du CHRU durant trente-cinq ans.
Pourtant, l'idée était originale. Hier matin, depuis Bohars, à l'appel de la CGT, ils n'étaient qu'une dizaine de salariés à marcher contre la suppression annoncée de 7,65 postes équivalents temps plein d'infirmiers au sein de cet établissement. Restructuration qui entre dans le cadre d'un plan de retour à l'équilibre budgétaire de l'hôpital brestois, en déficit de 8,7 millions d'euros.
Cela représenterait 1,5 % des effectifs médicaux et paramédicaux (510 postes au total). « Pourtant, le pôle psychiatrique n'est pas déficitaire. On est même excédentaire ! On ne comprend pas pourquoi un tel effort nous est demandé. »
Poterie et relaxation menacées
Dans le détail, quatre postes d'infirmiers officiant sur des soins « transversaux » seraient supprimés. Concrètement, les ateliers poterie et psychologie corporelle (relaxation) sont menacés. Or, ces activités s'adressent à tous les patients. « La poterie concerne tous les jeunes et les adultes. Soit 600 personnes par an, indique Lydie Contignon. Au lieu de cinq jours par semaine, l'infirmier ne s'y consacrera qu'une demi-journée ! »
Tennis, voile, foot, piscine... Les activités sportives sont aussi sur la sellette avec la suppression du poste infirmier coordinateur.
Quelles activités continueront d'être proposées aux patients ? « Il ne restera bientôt que l'ergothérapie ! On nous prend des outils de travail », déplore une infirmière. « Ces activités font partie du soin », insiste Lydie Contignon.
Autre remise en cause : le « tutorat », avec la disparition de deux postes infirmiers. « Jusqu'à présent, les jeunes diplômés sont accompagnés par des infirmiers expérimentés en soins psychiatriques. C'est important car la formation à la psychiatrie s'est réduite comme peau de chagrin dans les écoles d'infirmiers. »
Il est aussi prévu de fermer le service de géronto-psychiatrie « Al Lann 2 ». Soit 25 lits en moins. « En contrepartie, l'autre service de gérontologie psychiatrie sera renforcé mais de trois nouveaux lits seulement. » Une infirmière du service ajoute : « Les visites à domicile seront renforcées. Mais sera-t-il possible de garder chez elles des personnes dont beaucoup souffrent d'Alzheimer. Qui va les accueillir sinon ? »
Il y a aussi 0,40 % en moins pour l'équipe d'infirmiers remplaçants. La suppression d'un poste de médecin serait « en pourparlers ». La direction du CHRU devait rendre sa décision mi-novembre. Tous les services sont concernés par le plan de restructuration.
Extrême gauche. Alliance sur deux cantons
Le Parti de gauche et le Parti ouvrier indépendant font alliance pour les départementales. La liste d'extrême gauche présente des candidats sur deux cantons, à Saint-Marc - Kérichen et à Brest Centre - Recouvrance.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire