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samedi 25 mai 2024

Masculinistes : antifemmes, antifas, islamistes...

 

 

Le premier d'entre eux, Marc Lépine, auteur de la tuerie de l'Ecole polytechnique de Montréal du 6 décembre 1989, était né Gamil Rodrigue Liass Gharbi le à Montréal (Québec), d'une mère québécoise et d'un père algérien très violent et jaloux.

Pour son attentat "masculiniste" commis à l'âge de 25 ans alors qu'il éprouvait des difficultés à intégrer l'Ecole polytechnique de Montréal, il n'a pas choisi le 6 décembre par hasard, c'est le jour de Santa Claus ou du Père Noël, patron des écoliers qui descend alors du ciel en compagnie de son âne et de son double maléfique, le Père Fouettard, pour distribuer des cadeaux aux enfants. Il a ainsi violemment rejeté sa mère et sa culture.

L'autre référence des masculinistes, l'Anglo-Américain Elliot Rodger, auteur d'assassinats à Isla Vista, près du campus de l'Université de Californie de Santa Barbara, le 23 mai 2014, voulait tuer sa belle-mère Soumaya Akaaboune, une actrice française d'origine marocaine née le 16 février 1974 à Tanger (voir ci-dessous), et surtout son fils, son demi-frère très populaire, à l'image du père.

Lui-même était né le 24 juillet 1991 à Londres de Peter Rodger, un cinéaste documentariste et photographe britannique issu d'une riche famille anglaise né le à Tenterden, dans le Kent, en Angleterre, et de Li Chin, une Malaisienne d'origine chinoise venue très jeune en Angleterre pour travailler comme infirmière sur plusieurs plateaux de tournage, où elle s'était liée d'amitié avec des personnalités importantes de l'industrie cinématographique. Quand il avait cinq ans, sa famille a déménagé aux Etats-Unis et s'est installée à Woodland Hills, un quartier chic de Los Angeles. Tout comme Marc Lépine, il a connu la séparation ou le divorce de ses parents à l'âge de sept ans, était anti-social, et avait une soeur cadette très différente dont il était jaloux, comme de son petit frère issu du second mariage de son père. Très gâté par ses parents durant toute sa vie écourtée brutalement à l'âge de 22 ans, il ne tolérait pas la frustration. Etant métis, il enviait aussi les enfants et jeunes gens entièrement blancs, surtout les blonds, et détestait les jolies blondes qui l'attiraient et d'après lui le rejetaient.

Sources :

https://en.wikipedia.org/wiki/Elliot_Rodger

https://www.latimes.com/local/lanow/la-me-ln-isla-vista-document-20140524-story.html

 

Souffrant tous les deux de difficultés d'intégration en partie liées à l'immigration, voire au racisme, ils étaient imprégnés de cultures non occidentales à dominante musulmane, et ont finalement tué pour se venger de leurs échecs respectifs, qu'ils attribuaient aux femmes, perçues comme des rivales, des concurrentes plus douées pour l'un, ou des objets de plaisir inaccessibles pour l'autre, les empêchant dans les deux cas d'affirmer leur virilité ou leur domination de mâles, mais à aucun moment ils n'ont violé ou prôné le viol.

La culture du viol reste l'apanage de pervers ou d'individus de cultures non occidentales qui ne présentent pas nécessairement de troubles psychiatriques aussi prononcés que ces deux-là, tous les deux coupés en deux à la fois par le métissage et le divorce de leurs parents.

Cas, par exemple, des violeurs d'habitude Patrick Poivre d'Arvor, Nicolas Hulot et Gérard Miller, du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de tous ses complices, notamment les militants de l'extrême-gauche et prétendus "antifascistes" qui s'attaquent très violemment aux victimes de viols et de pédophilie, avec parfois comme motif l'aspect culturel du viol chez leurs violeurs d'origine étrangère : les victimes auraient alors pour obligation de se laisser faire et se taire par respect pour la culture des violeurs.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Marc_L%C3%A9pine

  • Marc Lépine

    Marc Lépine
    une illustration sous licence libre serait bienvenue
    Biographie
    Naissance

    Montréal
    Décès
    (à 25 ans)
    Montréal
    Sépulture
    Nom de naissance
    Gamil Rodrigue Liass Gharbi
    Nationalité
    Activité
    Autres informations
    Victimes
    14

    Marc Lépine, né Gamil Rodrigue Liass Gharbi le à Montréal (Québec) et mort dans cette même ville le (à 25 ans), est un terroriste canadien.

    Il est l'auteur de la tuerie de masse de l'École polytechnique de Montréal survenue le . Ce jour-là, il assassine quatorze femmes, dont treize étudiantes et une secrétaire, et fait 14 blessés, dont dix femmes. Il se suicide ensuite, laissant une lettre dans laquelle il explique son acte pour des motifs antiféministes1.

    Biographie

    Marc Lépine est né sous le nom de Gamil Rodrigue Liass Gharbi, d'une mère québécoise, Monique Lépine2 (née en 1937), et d'un père algérien, Rachid Liass Gharbi. Il a une sœur cadette: Nadia (1967-1996)3. Les deux enfants grandissent dans la violence avec un père violent et jaloux qui maltraite sa famille. Alors que Marc a sept ans, ses parents se séparent et celui-ci et sa sœur vivent ensuite avec leur mère. Ils voient d'abord leur père sous supervision (ayant tous deux très peur de lui), mais les visites ont pris fin très rapidement, le père ayant cessé les contacts avec les enfants peu après la séparation. Lui et sa sœur ne revirent plus jamais leur père et refuseront de parler de lui à l'avenir. En 1978, il remplace son nom de Gamil Gharbi par celui de Marc Lépine, notamment, selon sa mère, « parce qu'il en avait marre de se faire traiter d’Arabe par d’autres ados »4.

    Durant l'hiver 1980-1981, il tente d'entrer dans les Forces armées canadiennes, mais, selon sa lettre de suicide, il n'est pas admis en raison de son attitude « antisociale ».

    Il commence ses études collégiales en sciences pures en 1982, mais change après la première année pour un programme de technologie de l'électronique, qu'il abandonne au dernier semestre sans donner d'explication5,6,7. Lépine est admis à l'École polytechnique de Montréal en 1986, à la condition qu'il complète deux cours supplémentaires au collège. Il en complète un des deux durant l'hiver 19898,9,10.

    La brève biographie que la police a publiée de lui après les événements le décrit comme un être intelligent, mais troublé11. Selon sa mère, dans la biographie en 2008 Vivre, elle décrit ses enfants complètement à l'opposé, son fils est très secret et très introverti, tandis que sa fille est très extravertie et avec un très fort caractère. Cette dernière, Nadia Gharbi est morte, après des années d'abus d'alcool et de drogues, d'une overdose en 1996 un mois avant ses 29 ans. Sa mère a dû prendre la décision de la débrancher, à l'Hôpital Notre-Dame4,12.

    Tuerie de l'École polytechnique de Montréal

    Influence chez les masculinistes

    Les motivations antiféministes de Marc Lépine auraient été reprises par des hommes masculinistes pour défendre leurs positions. La sociologue Mélissa Blais, relate notamment que le militant masculiniste Peter Zohrab croit que « la solution de Marc Lépine pourrait devenir la voie du futur13 » et des blogs québécois[Lesquels ?] ont pu parler du , date de la tuerie, comme de la « Saint-Marc14 ». Une admiration au sein des milieux masculinistes québécois a également été mise en avant dans le documentaire La Domination masculine (2009). Le réalisateur du film, Patric Jean, doit d'ailleurs annuler en 2009 sa venue au Québec sous la menace de groupes masculinistes[Lesquels ?]14.

    De façon plus générale, la chercheuse Mélissa Blais relève dans les articles de l'époque plusieurs mentions d'une sympathie pour Marc Lépine, par exemple dans un groupe[Lequel ?] d'aide pour les hommes violents15. Sur un plus long terme, la mémoire de Marc Lépine a aussi été commémorée, au cours des années 1990, par des militaires du Régiment aéroporté canadien basé à Petawawa13.

    Au Québec, Donald Doyle menace ainsi en 2005 des groupes de femmes de « finir le travail » de Lépine et en 2006, Mario Morin bloque à Montréal le pont Jacques-Cartier et s'identifie à Lépine en menaçant de faire exploser des centres jeunesse13. Aux États-Unis, la référence à Lépine est également faite en 2014 pour menacer l'Utah State University du « plus grand massacre de l'histoire américaine » si la féministe Anita Sarkeesian n'annule pas sa venue16. Plus récemment, le blogueur antiféministe Jean-Claude Rochefort a été arrétê en 2019 et reconnu coupable d'incitations à la haine contre les femmes en 2023 pour ses posts faisant un décompte célébrant le 30ème anniversaire de la tuerie17.

    Film Polytechnique

    La tuerie de l'École polytechnique de Montréal a fait l'objet d'une adaptation cinématographique réalisée par Denis Villeneuve et sortie en salles le . Marc Lépine est incarné par l'acteur Maxim Gaudette.

    Notes et références


  • « Vidéo. Il y a trente ans au Québec, le premier féminicide de masse revendiqué », Le Monde,‎ (lire en ligne [archive], consulté le )

  • « lapresse.ca/le-soleil/arts-et-… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).

  • Michel Dongois de L'actualité médicale, « Entrevue avec «la 15e victime» de Polytechnique, Monique Lépine [archive] », sur L’actualité, (consulté le )

  • Michel Dongois de L'actualité médicale, « Entrevue avec «la 15e victime» de Polytechnique, Monique Lépine [archive] », sur lactualite.com, Mishmash Média, (consulté le ).

  • (en) Rod McDonnell, Elizabeth Thompson, Andrew McIntosh et William Marsden, « Killer's father beat him as a child; A brutal man who didn't seem to have any control of his emotions », The Gazette,‎ , A1.

  • (en) Greg =Weston et Jack Aubin, « The making of a massacre: The Marc Lepine story Part II », Ottawa Citizen,‎ , A1.

  • Suzanne Colpron, « Marc Lépine était un premier de classe », La Presse,‎

  • (en) Teresa K. Sourour, Report of Coroner's Investigation, (lire en ligne [archive]).

  • (en)Walter Buchignani, « Amid the tragedy, miracles of survival », The Gazette,‎ , A3.

  • (en) Heidi Rathjen et Charles Montpetit, December 6th : From the Montreal Massacre to Gun Control, Toronto, McClelland & Stewart, , 211 p. (ISBN 978-0-7710-6125-7).

  • (en) Wendy Hui Kyong Chun, « Unbearable Witness: towards a Politics of Listening », Journal of Feminist Cultural Studies, vol. 11, no 1,‎ , p. 112–149

  • (en-CA) Ingrid Peritz, « The awful echoes of Marc Lépine », The Globe and Mail,‎ (lire en ligne [archive], consulté le )

  • Mélissa Blais, « Plongée dans l'imaginaire antiféministe : Marc Lépine, héros et martyr ? », Sisyphe.org,‎ (lire en ligne [archive])

  • Anabelle Nicoud, « Des disciples de Marc Lépine font fuir un réalisateur », La Presse,‎ (lire en ligne [archive])

  • Mélissa Blais, Entre la folie d'un seul homme et la violence faite aux femmes : La mémoire collective du 6 décembre 1989. Mémoire en histoire à l'université du Québec à Montréal, Montréal, (lire en ligne [archive])

  • Alex Hern, « Feminist games critic cancels talk after terror threat », The Guardian,‎ (lire en ligne [archive])

    1. Radio-Canada, « Un an de prison ferme pour Jean-Claude Rochefort [archive] » Accès libre, sur ici.radio-canada.ca, (consulté le )

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

  •  :

 

 

https://www.purepeople.com/article/fusillade-de-santa-barbara-il-voulait-tuer-soumaya-des-vraies-housewives_a142103/1

Fusillade de Santa Barbara : Il voulait tuer Soumaya des Vraies Housewives

 
Publié le 27 mai 2014 à 16:16
Par Nicolas N. 
 
Portrait de Soumaya dans "Les Vraies Housewives" sur NT1. Emission diffusée au printemps 2013. On y découvre des images de son beau-fils Elliot Rodger (22 ans), auteur d'une équipée meurtrière qui a fait six morts et treize blessés, le 23 mai 2014 à Santa Barbara. © DR
Elliot Rodger, l'auteur d'une équipée meurtrière le 23 mai 2014, évoquait dans une vidéo son mal-être et le rejet dont il se dit victime de la part des filles.
À l'avant-première de "Hunger Games", le 12 mars 2012 à Los Angeles, Samouya Akaaboune accompagne son mari Peter Rodger. Le fils de ce dernier, Elliot Rodger, les accompagne. Cette séquence a été montrée dans "Les Vraies Housewives" sur NT1. Emission diffusée au printemps 2013. Elliot Rodger (22 ans) est l'auteur d'une équipée meurtrière qui a fait six morts et treize blessés, le 23 mai 2014 à Santa Barbara.
À l'avant-première de "Hunger Games", le 12 mars 2012 à Los Angeles, Samouya Akaaboune accompagnée de son mari Peter Rodger. Le fils de ce dernier, Elliot Rodger, les accompagne. Cette séquence a été montrée dans "Les Vraies Housewives" sur NT1. Emission diffusée au printemps 2013. Elliot Rodger (22 ans) est l'auteur d'une équipée meurtrière qui a fait six morts et treize blessés, le 23 mai 2014 à Santa Barbara.
Soumaya Akaaboune et son fils Jazz dans "Les Vraies Housewives" sur NT1. Emission diffusée au printemps 2013. Tous deux étaient la cible d'Elliot Rodger.
Avant-première de "Hunger Games", le 12 mars 2012 à Los Angeles, Samouya Akaaboune accompagne son mari Peter Rodger. Le fils de ce dernier, Elliot Rodger, les accompagne. Cette séquence a été montrée dans "Les Vraies Housewives" sur NT1. Emission diffusée au printemps 2013. Elliot Rodger (22 ans) est l'auteur d'une équipée meurtrière qui a fait six morts et treize blessés, le 23 mai 2014 à Santa Barbara.
À l'avant-première de "Hunger Games", le 12 mars 2012 à Los Angeles, Samouya Akaaboune accompagne son mari Peter Rodger. Le fils de ce dernier, Elliot, les accompagne. Cette séquence a été montrée dans "Les Vraies Housewives" sur NT1. Emission diffusée au printemps 2013. Elliot Rodger (22 ans) est l'auteur d'une équipée meurtrière qui a fait six morts et treize blessés, le 23 mai 2014 à Santa Barbara.
Soumaya Akaaboune dans "Les Vraies Housewives" sur NT1. Emission diffusée au printemps 2013.
Soumaya Akaaboune dans "Les Vraies Housewives" sur NT1. Emission diffusée au printemps 2013.
Soumaya Akaaboune dans "Les Vraies Housewives" sur NT1. Emission diffusée au printemps 2013.
Soumaya Akaaboune dans "Les Vraies Housewives" sur NT1. Emission diffusée au printemps 2013.
Soumaya Akaaboune et son mari Peter Rodger dans "Les Vraies Housewives" sur NT1. Emission diffusée au printemps 2013.

Une nouvelle fusillade traumatise l'Amérique. Le 23 mai 2014, Elliot Rodger, âgé de 22 ans, faisait six morts et treize blessés dans une équipée meurtrière à Isla Vista, près du campus de l'Université de Californie à Santa Barbara (UCSB), avant de mettre fin à ses jours. Fils de Peter Rodger, réalisateur de la seconde équipe d'Hunger Games, le meurtrier est aussi le beau-fils de Soumaya Akaaboune, une actrice française bien connue des spectateurs de NT1 : elle était l'une des Vraies Housewives, l'émission de télé-réalité diffusée au printemps 2013 sur NT1. Elliot avait prévu de la tuer elle aussi...

Adapté d'un célèbre format américain, Les Vraies Housewives suivait le quotidien de Karine, Christine, Soumaya, Natalie et Christina, cinq francophones fortunées vivant à Los Angeles. Entre tensions et rivalités, le programme nous montrait ces femmes se déchirant et se réconciliant dans un décor de rêve. Dans le premier épisode, nous faisions la connaissance de Soumaya qui se présentait comme "comédienne, d'origine marocaine, installée depuis douze ans à Los Angeles". Soumaya expliquait vivre avec son mari Peter, un réalisateur à succès, et leur fils de 6 ans, Jazz. À aucun moment elle ne fait référence à son beau-fils Elliot, mais ce dernier apparaît dans l'émission quand Soumaya et Peter se rendent à l'avant-première d'Hunger Games, le 12 mars 2012 à Los Angeles. Le jeune homme, alors âgé d'une toute petite vingtaine d'années, mais en paraissant cinq de moins, se tient alors discrètement derrière son père et Soumaya sur le tapis rouge.

137 pages insoutenables

Souffrant d'une forme sévère du syndrome d'Asperger, Elliot Rogder était pourtant suivi par plusieurs thérapeutes. Dans une série de vidéos pour le moins inquiétantes publiées sur YouTube, il expliquait son mal-être et sa frustration d'être rejeté par les filles. Inquiets, les parents d'Elliot avaient signalé ces vidéos à la police qui était venue entendre le jeune homme.

Eliott a également dilué sa colère dans un manifeste de 137 pages insoutenables dans lequel il annonce sa folie meurtrière et profère des menaces à l'encontre de son demi-frère, le fils de Soumaya : "C'est très injuste que certains garçons puissent avoir des vies agréables alors que je n'ai jamais pu y goûter. C'est maintenant confirmé que mon petit frère sera l'un d'eux. Il sera l'un de ces gamins populaires qui sortira avec toutes les filles. Il deviendra l'un de mes ennemis." Dans ce texte, Elliot Rodger prévoit de supprimer son demi-frère ainsi que sa belle-mère : "Pour le tuer, je vais devoir supprimer Soumaya, mais ce ne sera pas facile. Tout ce que j'aurais besoin de faire, c'est de penser à toutes les choses horribles qu'elle m'a dites en plongeant mon couteau dans son cou." La police ne sait pas encore pourquoi il n'a pas mis à exécution cette partie de son sinistre plan.

Vendredi soir, après avoir tué trois personnes à l'arme blanche, il s'est enfui à bord de sa BMW noire, tirant au hasard sur les passants. Sa course meurtrière prend fin quand il renverse un cycliste qui se retrouve sur son capot. La police le retrouve au volant, une balle dans la tête. Dans sa voiture, plusieurs armes à feu et des centaines de munitions. Le père d'une des victimes a fait part de sa colère devant les caméras, accusant le lobby des armes à feu d'être responsable de la mort de son fils de 20 ans.

L'avocat de la famille d'Elliot Rodger a déclaré que ses proches étaient "effondrés" et adressaient leurs "sincères condoléances à toutes les familles des victimes".


https://fr.wikipedia.org/wiki/Peter_Rodger

Peter Rodger


Peter Rodger
Nom de naissance Peter Anthony Rodger
Naissance (59 ans)
Tenterden, Drapeau de l'Angleterre Angleterre
Nationalité Drapeau du Royaume-Uni Britannique
Profession cinéaste et photographe

Peter Anthony Rodger (né le à Tenterden, dans le Kent, en Angleterre) est un cinéaste documentariste et photographe britannique.

Biographie

Peter Anthony Rodger est connu pour son film documentaire Oh My God, sorti en 2009, ainsi que pour son travail en tant que second réalisateur d'unité sur The Hunger Games (2012). Il a remporté un certain nombre de récompenses, notamment du Houston International Film Festival, du Festival international du film de Chicago, des Telly Awards, des Mobius Awards et du US International Film and Video Festival.

Il est le fils du photographe britannique George Rodger et le père d'Elliot Rodger, l'auteur de la tuerie d'Isla Vista en 2014. Il est installé aux États-Unis.

Il a épousé Li-Chin, une assistante de recherche sino-malaisienne pour une société de cinéma. Ils ont eu deux enfants, Elliot et Georgia.

Après son divorce, il épouse l'actrice marocaine Soumaya Akaaboune avec laquelle il a eu un fils, Jazz.

Notes et références

Liens externes

Ressources relatives à l'audiovisuel
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  • Crédit d'auteurs


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