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lundi 9 janvier 2023

Comment le harcèlement moral en entreprise frappe violemment les meilleurs

 

 

 

Deux vidéos sont sorties coup sur coup à ce sujet cette semaine, d'abord chez Blast, une chaîne de journalistes pro-Poutou du NPA, puis chez l'auteur unique Frédéric Delavier.

C'est intéressant. Déjà, on reparle un peu de harcèlement moral dans le travail, c'est bien. Après tous les dégâts causés à compter de 2008 par les pervers David Servenay et autres de Rue89 et leur bande de "fact-checkers" préférés, dits "déconnologues", il était presque inespéré de voir ressurgir ce sujet quelque part, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de dingues ayant très largement diffusé et bien fait passer leurs messages sur la question : non, le harcèlement moral en entreprise n'a jamais existé, il ne s'agit en fait que de "moqueries" parfaitement justifiées à l'égard de "fous", de handicapés mentaux ou de "paranoïaques", et la femme ingénieur d'études en informatiques qui prétend avoir été victime de harcèlement moral dans le travail n'a jamais été ni ingénieur ni informaticienne ni harcelée, c'est juste une folle, un "cas lourd psychiatrique" qui sous couvert d'anonymat sur Internet s'invente une vie qu'elle n'a jamais eue - et heureusement que les valeureux Luraghi et autres "déconnologues" étaient là pour révéler la supercherie au public, dès les années 2008 à 2010 en criant aux fous et aux folles sur les sites Rue89, Le Post et limitrophes, et à compter de juin 2010, en révélant enfin au public par le menu toute ma "vraie vie" de "folle", faite uniquement de nombreux séjours en hôpital psychiatrique juste entrecoupés par des épisodes de prostitution ou d'histoires de cul complètement débiles (bien sûr, il ne s'agit que d'inventions calomnieuses de la part du mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, j'ai bien été harcelée de manière intensive durant plusieurs années alors que j'exerçais comme ingénieur d'études en informatique).

Mais surtout, donc, cette fois-ci, d'un côté comme de l'autre, il n'est plus question de présenter les victimes de harcèlement moral en entreprise uniquement comme des débiles ou des malades mentaux faisant rire énormément le trafiquant de drogue et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses comparses "déconnologues" avec leur "folie" "paranoïaque", mais d'affirmer comme je l'ai toujours fait en citant mon cas personnel en exemple que ce sont bien les meilleurs ou les plus compétents les plus durement touchés par des opérations dites de "harcèlement moral" rarement spontanées, et c'est assez logique dans la mesure où ce sont bien ceux-là qu'il est le plus difficile de prendre en défaut ou de pousser à la faute dans leur travail en vue d'un licenciement juridiquement inattaquable quand on cherche à s'en débarrasser pour des motifs réels toujours inavouables.

Par contre, je ne sais pas si les exemples en provenance du NPA sont forcément les meilleurs ou les plus représentatifs de ce phénomène. 

Après m'avoir fait une guerre presque à mort à compter de l'automne 2004 parce que j'avais commencé à aborder le problème du harcèlement moral en entreprise dans le cadre de mes toutes nouvelles activités associatives à AC ! (Agir ensemble contre le chômage, la précarité et les exclusions), jusqu'à être parvenus après bien des manoeuvres frauduleuses et particulièrement violentes à me faire exclure de l'association d'AC ! Brest à l'automne 2005, et même bien au-delà, comme toujours pour me faire taire, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses coreligionnaires de l'extrême-gauche avaient finalement vu l'intérêt de reprendre ce sujet à propos de France Télécom, dans le but de stigmatiser et dénoncer comme particulièrement inhumaines les nouvelles méthodes de management du groupe venues du privé et qualifiées de "capitalistes". Ils poursuivent aujourd'hui à l'identique avec l'administration fiscale. Sauf que : d'une part, des fonctionnaires de toutes les administrations étaient déjà victimes de harcèlement moral dans le travail, par exemple dans la police, où le taux de suicides est toujours assez important, quoiqu'officiellement celle-ci n'ait jamais été privatisée et n'ait non plus jamais subi de réduction d'effectifs drastique, témoignant du fait que cette cause de harcèlement moral dans le travail n'est pas la seule possible, et d'autre part, on peut quand même s'étonner que des méthodes de management issues du secteur privé ne deviennent condamnables comme constitutives de harcèlement moral qu'à partir du moment où elles s'appliquent à des agents ou anciens agents de la fonction publique - tant que ce ne sont que des salariés du privé qui se font massacrer, jeter au chômage, dans la précarité, ou totalement exclure de tout tissu social, tout va bien, il n'y a aucun problème nulle part, juste des fous ou des folles dont il est parfaitement normal de se "moquer".

Et encore : de manière un peu ironique, de tous temps se sont recrutés parmi ces nouvelles victimes de harcèlement moral dans le travail qui en poussent des cris d'orfraies, d'une part, des techniciens très contents de pouvoir arrondir leurs fins de mois avec des écoutes téléphoniques illégales commises à l'encontre de salariés du privé dans le cadre d'opérations de harcèlement moral dont ceux-ci étaient victimes, et d'autre part, des agents du fisc également très contents de pouvoir tout à la fois arrondir leurs fins de mois et assurer leurs primes de fin d'année avec des redressements fiscaux arbitraires pratiqués à l'encontre des mêmes cibles de harcèlement moral dans le travail.

Enfin, ces derniers, les agents du fisc, ne produisant absolument rien, leur mission, plus clairement définie par la constitution de leurs primes de fin d'année que par la description de leurs postes ou de leurs fonctions, étant de faire rentrer un maximum d'argent dans les caisses de l'Etat, peu importe comment (à cet effet, il vaut bien mieux redresser arbitrairement d'un seul coup afin de les déposséder totalement des revenus et biens qui peuvent leur rester 1000 ou 10000 chômeurs dont il est évident que dans ces conditions ils ne pourront pas se défendre, que de perdre énormément de temps à contrôler et redresser très justement de vrais et gros fraudeurs dont les avocats très agressifs et vindicatifs, voire corrupteurs, pourront ensuite faire tout annuler par la hiérarchie ou la justice administrative), il convient de s'interroger sur leur notation : sur quels critères sont-ils jugés bons, très bons ou les meilleurs par leur hiérarchie ?

La description faite par Frédéric Delavier de "l'enfer du salariat en France", plus générale, correspond davantage au quotidien vécu par le plus grand nombre de victimes de harcèlement moral en entreprise dans ce pays.

P.S. : Comme j'ai jadis travaillé, entre autres, pour la Direction Générale des Impôts (avec laquelle je n'ai eu aucun problème, je le précise compte tenu des harcèlements extrêmement violents dont j'ai été victime par ailleurs), je sais bien que les inspecteurs de la DGI et ceux de la "base" dans les CDI n'ont jamais été sur la même longueur d'onde quant aux jobs leur étant assignés.


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